René Goscinny

🎧🎧🎧 Avis lecture audio 9 🎧🎧🎧

Astérix aux jeux olympiques

Écrit par Albert Uderzo et René Goscinny



🏃 Eh bien je crois bien que c'est la bonne année pour parler de cette bd. L'originalité ici est que je l'ai découverte en format audio et j'ai juste été conquise.



🏃Je me suis dit, ça va être compliqué de suivre une bd en format audio mais en fait pas du tout, j'avais l'impression de voir les différents personnages et les dessins dans ma tête. C'était une belle expérience que je renouvellerai avec plaisir. Évidemment, je conseille de déjà connaître les personnages en amont sinon les images ne pourront pas opérer dans la tête du lecteur.



🏃Le jeu des différentes voix est juste parfait ! Le bruitage est également très bien réussi, les chants et l'ambiance complètement retranscrit ! J'ai donc retrouvé Obélix avec beaucoup de plaisir !



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La lecture du "petit Nicolas "est sans doute intéressante du point de vue historique: la vie quotidienne d'un petit garçon un peu dissipé, racontée avec des mots et une syntaxe d'enfant imaginés par un adulte. Alors les bêtises des gamins, les réflexions qui sont parfois amusantes, sur les uns ou les autres, ça va, mais bon.Essayé de le lire à 11 ou 12 ans, je ne l'avais pas fini, donc je l'ai relu récemment et j'ai trouvé ça plutôt ennuyeux ( et je n'aime pas l'écriture qui se veut orale, imitant mal un parler d'enfant). Alors ça a beau être un "classique", je soupçonne que c'est surtout la nostalgie d'une époque imaginaire qui fait son succès.

Le PREMIER Astérix. Ce n'est pas le meilleur, mais il demeure incontournable. Les bases sont placées, avec des dessins encore jeunes : Obélix, le chef, le Druide et d'autres qui prendront une place plus ou moins importantes par la suite.

Les scènes sont drôles, les jeux de mots encore rare.

Le dessin est un peu déconcertant au début, mais je trouve émouvant cette évolution visible par les autres albums.

Super histoire qui, comme en grande partie chez Astérix, elle nous fait voyager en Espagne cette fois-ci! Tous les poncifs y passent, des touristes à la corrida, à grands renforts de châtaignes gauloises …

Ah qu'il est énervant ce Pépé, fils du chef Hispanique, qui dérobe l'amitié d'Idéfix envers Obélix! Enfant têtu, une tête à claque quoi. Mais quel courage!

Un bon moment qui délasse.

Oui, encore un album qui me plonge dans mon enfance. Je ne l'avais pas, mais je l'ai lu jeune. Alors, pour combler ce trou dans ma collection, je me le suis fait offrir.

Quel régal! Tout y est, et plus encore, dans cet opus qui fait de Rantanplan un héros (ou presque!).

J'adore le passage où il mange des champignons hallucinogènes!

Bref, c'est un livre indémodable et apaisant.

Je ne sais si ce n'est parce que je l'ai lu jeune, maintes et maintes fois, mais ce livre est un monument. Déjà j'ai été obligé de l'acheter tellement mon premier (couverture souple!) a souffert.

Cet épisode le Lucky Like nous offre des portraits excellents, hilarants!

Du conducteur de la diligence, au prêtre, à l'avocat, au joueur de poker, aux bandits et d'autres…

L'histoire est plus que correcte et me fait passer à chaque fois, un bon moment.

Excellente BD, satire de la psychanalyse ou plutôt des psychanalystes. C'est amusant de bout en bout, avec des gags très réussis et des personnages secondaires hilarants.

Ce psychanalyste, intellectuel, veut devenir le plus grands criminel du monde, en posant tel Napoléon quand il le dit lui même. La folie traitée par des fous!

A mon sens, moins humoristique et davantage de mise en place. Un Roméo et Juliette à la gauloise, ce que j'avais plus ou moins déjà deviné à la couverture.

Diviser pour mieux régner, ou pas. Discorde, amour, complot, trahison, frères d'armes, une histoire riche. Entre combats et entraide, la camaraderie gauloise n'est jamais loin.

Une aventure sympathique par laquelle je me suis laissée porter. La rencontre avec les Indiens puis avec les Vikings est amusante. Astérix et Obélix nous montrent avec humour qu'on ne peut pas s'inventer marin ou pêcheur ni même interprète. La façon dont ils se présentent aux autres peuples n'est pas banale mais illustre bien les gaulois, avec auto-dérision.

Quand un romain se met en tête de remplacer le système de troc des gaulois par une économie capitaliste, le tout pour soumettre l'irréductible village… mais c'est sans compter sur ce cher Astérix 😉



Un album franchement sympa. J'ai retrouvé ce célèbre village et ses habitants avec un réel plaisir. Une histoire amusante (et un poil instructive) accompagnée d'illustrations agréables. J'aime les tons comme le coup de crayon.



Une belle satire du capitalisme.

Un épisode sur la crédulité. Une fois encore Astérix incarne le bon sens, ici avec son scepticisme. Il est vrai qu'il est tellement agréable de s'entendre parler d'un avenir radieux qu'il est facile de se laisser avoir mais notre ami n'est pas dupe.

Si j'ai apprécié que le romain est un retour de bâton suite à sa duplicité, j'aurais apprécié que le devin ait une fin davantage à la hauteur de son comportement.

Ce n'est pas une aventure comme je l'entends mais j'ai aimé suivre leurs péripéties. Sans compter que les sujets latents (tels que les histoires de famille, l'achat “aveugle” à un vendeur renommé, etc.) ont su me plaire. Mention spécial au mot de fin sur la consommation d'alcool à modérer. Une fois encore, le graphisme a su parfaitement accompagner ma lecture.

Pas vraiment d'aventure dans cet épisode. J'ai aimé les Romains tournant en bourrique, le jeu des revendications sociales, etc. La différence de niveau de vie, la confrontation de deux cultures, etc. Des sujets plutôt bien amenés sous le prisme de l'humour.

*****

Par contre, j'ai un peu tiqué sur les esclaves quittant les romains. En effet, ils me semblent être un clin d'œil aux pirates rencontrés dans d'autres épisodes. Or difficile de croire qu'après avoir œuvré pour leur liberté, les gaulois s’amuseraient à les couler systématiquement, non ?

Une lecture légère, pleine d'humour et de solidarité. Cet épisode est typique des aventures d’Astérix dont je me souvenais. La part aventure qui m'a manqué dans certains albums est bien là. J’ai apprécié la découverte d’une nouvelle culture. Le graphisme est toujours aussi plaisant. Je me suis laissée embarquer autant par le coup de crayon que par l’intrigue.

Cet album a su s'amuser même si j’ai été embêtée par le moyen employé pour la victoire d'Astérix.



J'ai bien aimé les accentuation pour démarquer les grecs (profils mis en avant, paroles écrites différemment). L'écart entre les grecs menant la vie dure à leurs sportifs spartiates et le petit gaulois qui vient plus ou moins les mains dans les poches est finalement assez amusant.



Un bon moment mais pas mon aventure préférée.

Une vraie petite aventure ! Au détour d'un voyage touristique, nos amis finissent par chercher à devancer César. Leurs péripéties se mêlent à de drôles de rencontres. Suivre la piste du bouclier avec eux a été très agréable. C’est toujours un plaisir de prendre le temps de détailler les illustrations.

Un épisode vraiment sympa. Le jeune citadin qui vient s'endurcir à la campagne. Les barbares qui cherchent des réponses. Sans oublier le barde qui, pour une fois, est central, chantant haut et fort.



J'ai aimé les scènes de bagarre. Je ne suis pas adepte de la violence mais j'apprécie le goût du détail de ces passages qui garde une note d'humour jusque dans l'action.

C'est avec cet album que j'ai découvert Astérix. Je devais avoir 8 ans (il y a quelques décennies). C'est donc un doudou que je relis toujours avec plaisir.



Et c'est en toute objectivité 😊 que j'affirme que c'est un des meilleurs albums de la série. Comme tous les vrais, les authentiques, ceux qui ont été écrits par Goscinny et Uderzo.



J'adore l'esprit de l'époque, gentiment moqueur envers nos compatriotes.

Je me suis encore régalée de chaque case, chaque gag, chaque jeu de mots. Je ne résiste pas aux noms romains, Encorutilfaluquejelesus ou Faimoiducuscus, ni aux clichés sur les Normands évasifs, les Parisiens excités, les Marseillais joviaux.



Il y a un gag que je n'avais encore jamais remarqué : le conducteur d'un petit char qui fait un créneau avec flegme. Et la case d'après, le moment que le monde attendait avec impatience : l'apparition d'IIIIDEFIIIIX, tout-mignon-tout-sage, assis à l'entrée d'une charcuterie (on ne sait jamais).



Cela a été une plongée renouvelée et délicieuse dans l'univers de nos amis, astucieux, grognons, costauds, comme on les aime.



Merci Goscinny et Uderzo, vous continuez à nous apporter un bonheur léger comme une bulle.

Voilà bien longtemps que je n'avais lu une bande dessinée. En ce moment j'enchaîne des séries de gros pavés, cette lecture a donc été une bulle d'air me donnant l'impression d'achever un livre sans y passer plusieurs semaines. J'ai apprécié ce tome, j'y ai retrouvé les jeux de mots qui font le charme d'Asterix mais j'ai également apprécié le thème de la pensée positive, thème dans l'air du temps.

Une BD en audiobook? Étrange vu que les images sont les piliers de la bande dessinée me direz-vous.

Gros pari ... et pari réussi!

Ça fonctionne!

Les huit voix se prêtent avec brio à la narration bien expressive. Les bruitages et la musique viennent agréablement compléter l'écoute.

On s'y croirait (plongé dans l'album papier)!

Je suis ravie d'avoir vécu cette expérience sonore



Merci à NetGalleyfrance et à Audiolib pour ce SP

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