Robert Galbraith

JK Rowling nous embarque pour une nouvelle aventure . Le livre se découvre petit à petit devient de plus en plus prenant . L’histoire dont je ne dirai rien qui se met en place devient captivante par ces petits indices qui nous sont révélés au fur et à mesure . Un très bon scénario ! Allez y

Une nouvelle enquête pour Cormoran et Robin : la coïncidence veut que le fils d’un ancien métayer de la famille Chiswell, Bill, rapporte le meurtre d’une petite fille commis vingt ans auparavant, et que Chiswell lui-même, ministre des affaires étrangères, demande à l’agence d’enquêter sur le chantage mené par le frère de Bill à son encontre.

Toujours très agréable à lire, cette aventure de ce duo dont chacun des membres est (mal) marié désormais, et dont la vie professionnelle passionnante vaut bien une idylle.

Ce que j’ai aimé dans ce livre:

Les pérégrinations dans Londres, de rue en rue, de pub en pub; les différentes ambiances de quartier, avec pour chacun leurs décors et leurs architectures,… et que l’on peut sans problème vérifier sur internet. De la cartographie cousue main!

Aussi, le rendu des milieux de la mode et du mannequinat . On y reconnaît sans peine quelques unes des silhouettes qui ont dû inspirer R.Galbraith, alias J.K.Rowling: je pense à Naomi Campbell, Kate Moss, Pete Doherty, et en figuration intelligente , quelques unes des très grandes figures de la pop musique anglaise.

Enfin, la manière dont les témoignages des uns et des autres se complètent , se confortent ou se contredisent, dessinant un portrait contrasté de la splendide top model dont la mort brutale a déclenché toute l’enquête …



Ce qui m’a paru moins convaincant:

Le personnage du détective Cormoran Strike. Il est certes terriblement attachant, avec sa stature d’ancien boxeur, son passé militaire et cette blessure de guerre qui lui vaut une douloureuse claudication. Mais enfin, ce n’est jamais qu’une resucée de la sempiternelle figure du «Privé » criblé de problèmes existentiels et de dettes. Un « Marlowe » guetté par la dégringolade sociale , mais en plus velu, et en infiniment plus cabossé encore…

Qui plus est nanti d’une jeune et jolie secrétaire plus que futée/ affûtée comme dans tant d’autres films et romans.



Bref, un exercice de style auquel J.K.Rowling , alias Robert Galbraith, se serait pliée avec habileté,, avec talent…



En ce qui me concerne , un roman qui m’avait été recommandé par l’un de ces innombrables amis qui savent mieux que nous-mêmes ce que nous aimons. Un roman que j’ai lu sans déplaisir, et même avec appétit . Qui néanmoins me laisse un peu…sur ma faim.

(Pas retrouvé l’étincelle de génie qui irradiait la série des Potter, sans doute parce ces romans bousculaient / renouvelaient totalement le genre. Ce n’est pas le cas ici.

Lecture très honorable , néanmoins).

Je suis un tantinet mitigée.

D'une part c'est un très bon polars avec le dernier quart particulièrement addictif.

C'est bien écrit, même très bien écrit.

Nous avons un duo qui fonctionne bien, un anti-héros et Robin sa secrétaire, c'est un peu cliché mais ça passe.

Par contre que c'est long, avec des descriptions à n'en plus finir. On aurait pu éliminer de longs passages inutiles sans rien perdre de l'intrigue.

Un nouveau tome de Strike, que j'ai lu en anglais cette fois-ci (j'en avais assez d'attendre la sortie en français !), ce qui a sans doute encore allongé mon temps de lecture de ce pavé de plus de 1000 pages. Sans surprise, j'ai encore pris beaucoup de plaisir à lire ce tome, surtout pour les personnages qui sont toujours intéressants et attachants. J'aime particulièrement que la narration prenne son temps en se plongeant dans les détails de l'enquête et de la vie quotidienne de Strike et Robin.

Petit bémol cependant : j'ai trouvé le dénouement décevant et l'épilogue un peu trop rapide. Par ailleurs, le parallèle peu subtil fait par JK Rowling (alias Robert Galbraith) entre les allégations de transphobie qui l'ont visée et le harcèlement dont est victime ici une autrice de cartoon accusée entre autres de discrimination envers les handicapés m'a un peu déplu, sans pour autant m'empêcher de continuer ma lecture.

Un petit morceau ?



Mais que se passe -t-il pourquoi distribue t'on les colis avec des membres amputés ? Pourquoi les envoyer à Robin comme un joli trophée et une belle menace ?



Ce manège met des tensions dans notre duo de choc qui laisse transparaître bien plus de sentiments que nécessaire.



Les dialogues se dénouent, les personnages s'entrechoquent et sur fond de serial killer le mal se propage.



Époustouflant.

Quelle briquasse! C'est peut-être son plus gros défaut. L'apparence est dissuasive et on a un peu l'impression de ne jamais parvenir à la fin.



Paradoxalement, c'est une lecture dans laquelle on ne s'ennuie pas et qui se lit toute seule, avec une grande fluidité.



On retrouve Strike et Robin, à la tête de leur agence qui marche à fond les ballons. Occupés à mener plusieurs affaires avec leurs collaborateurs, on leur confie une affaire délicate : la disparition d'une femme médecin il y a 40 ans. Sa mort a été attribuée à un dangereux sociopathe tueur en série mais la dépouille n'a jamais été retrouvée. Avec ce cold case sur les bras, notre duo va devoir reconstituer l'enquête initiale, malmenée par un inspecteur atteint de folie, trier les informations, découvrir le tueur (ou confirmer qu'il s'agit bien de Creed) et enfin retrouver la dépouille. Pour cela, on leur donne un an, de quoi justifier le nombre de pages ( 1360 et des poussières) de cette aventure...

Il faut dire qu'on ne fait pas que suivre l'enquête. Robert Galbraith fait ce qu'il faisait déjà dans ses précédents tomes : suivre la vie de l'agence. Cela veut dire également suivre les déroulés des autres affaires. De quoi meubler la prose, mettre en avant que l'enquête piétine. Alors oui, on finit par ne pas émettre d'hypothèses sur l'enquête principale et par se laisser porter mais l'authenticité est là!

Quant à la résolution! Elle te laisse comme deux ronds de flan. Ce qui pour moi veut dire pari gagné!



A ces enquêtes s'additionne toute la part psychologie des personnages. L'auteur ne nous fait pas oublier l'attirance mutuelle qui unit nos deux protagonistes sans jamais se dévoiler pour autant. Tous les deux, un peu taiseux, vont mettre nos nerfs à rude épreuve, ayant beaucoup à faire en terme de communication. Alors que chacun s'immerge dans des problèmes personnels - l'agonie de sa tante, un père qui souhaite renouer le contact un peu tardivement et une Charlotte toujours très envahissante pour Strike, un divorce qui s'enlise, une remise en question sur ses choix personnels et la manière dont on la perçoit et un collègue plutôt toxique pour Robin - chacun y va de sa petite interprétation erronée, créant ainsi malentendus, maladresses et autres problèmes de cet acabit. On a tout le plot d'une romance... sans la romance. On adore!

Ironie mise à part, je reconnais ce talent qu'à l'auteur de nous dépeindre des personnages, principaux comme secondaires, avec soin, leur créant une vraie personnalité. Tout cela contribue à l'épaisseur du roman, mais qui pourrait s'en plaindre si c'est bien fait?



J'ai eu la sensation que l'auteur a voulu également aborder la maternité que j'ai trouvé très présent (sans être au coeur de l'action) et abordé de multiples manières. Mais peut-être ai-je interprété cela en sachant la polémique autour de J.K Rowling.



Pour ce qui est de l'ambiance, on retrouve cet univers glauque, qui peut donner des sueurs froides par moments sans pour autant que ce soit excessif ( pour le coup ça me convient).



Ce fut en définitive une lecture que j'ai beaucoup apprécié, pas loin du coup de coeur. Le côté briquasse, même s'il se justifie, joue tout de même il faut l'avouer. Il n'en demeure pas moins que je lirai sans hésiter la suite des aventures de Cormoran Strike et de Robin Ellacott.

Au début de ma lecture j’étais très sceptique. J’y voyais une copie de Bernie Gunther de Phillip Kerr. En fait les ressemblances sont à s’y méprendre. Par contre, au fil des pages, je m’y suis laissé prendre. C’est bien écrit. C’est intéressant. Les personnages sont agréables à connaître. L’intrigue est captivante.



Ce n’est pas le plus grand polar de tous les temps. Par contre c’est très efficace. Un 4/5 pour moi.

Une enquête dans le monde de l'édition. Un écrivain disparaît, sa femme charge Strike de le retrouver et, effectivement, il le retrouve mort.

Pas trop compliqué!

C'est bien mené et frais, l'intrigue est bien ciselée.

Rowling signe un policier efficace.



Même si c'est bien écrit, les descriptions sont parfois longues et répétitives, il semble que l'auteur aime les personnages attachants et les décors de scènes détaillées.



En toile de fond, nous suivons avec intérêts l'évolution de la relation de Cormoran Strike avec sa fidèle assistante Robin Ellacott.



Une lecture amusante.

Bon roman, l'enquête du Cold case était très complexe, beaucoup de personnages du coup, j'ai eu beaucoup de mal à me rappeler qui était qui. Beaucoup de longueurs ce qui pourrait en démotiver certains, mais je vous rassure, la fin a été une sacrée surprise et du coup quand on y repense depuis le début, on comprend le pourquoi du comment et c'est pour cela que je tire mon chapeau à l'auteure.

Après avoir été conquise par le tome 1, jai crains d'être moins emballée par cette suite. Mais après les premiers chapitres, je peux vous dire que je n'ai pas été déçue. Décidément, notre cher Robert Galbraith sait comment tenir en haleine, nous immerger en pleine enquête, et c'est un(e) maître(sse) dans l'art du "page Turner". Foncez !



PS: contrairement au tome 1, ce tome 2 peut par moment être assez "cru", et graphique. Mais ce n'est pas gratuit disons.

Deuxième enquête de Cormoran Strike, le privé un peu blessé par la vie. Ancien militaire, blessé à la jambe, il surfe ici sur le succès de sa première affaire qui lui a amené pas mal de clients. Mais c’est le cas d’une femme qui est à la recherche de son mari qui va l’intéresser. Cette affaire lui paraît plus intrigante que les autres.

Le style est vraiment agréable, et c’est assez bluffant de voir que JK Rowling peut être aussi talentueuse dans des genres totalement différents. Par contre, c’est un peu long. Je n’ai pas été passionnée par l’enquête, mais beaucoup plus par les relations entre les personnages. C’est fin, tout en nuances, alors que l’enquête se perd dans des méandres de détails et m’est vraiment apparue comme un élément secondaire.

Ce 3e tome des enquêtes de Cormoran Strike est aussi addictif que les deux premiers, même si on plonge encore un peu plus profondément dans la noirceur et le glauque.



Cormoran et Robin sont maintenant associés et font tourner tranquillement l’agence de détective, jusqu’au jour où une jambe coupée leur est envoyée par coursier. Ce colis macabre est certainement destiné à Cormoran et il va devoir plonger dans son passé pour retrouver l’expéditeur, alors que les victimes s’accumulent et qu’une ombre plane au-dessus de Robin.



Malgré la taille de ce pavé et les nombreuses descriptions, le récit est addictif et les pages se tournent à une vitesse affolante.

L’auteure alterne entre le point de vue de Strike et Robin et celui du tueur. Ces chapitres sont très réussis et j'ai suivie, terrifié, la traque des victimes de cet assassin sans scrupules.

L’identité du coupable arrive assez tardivement dans le roman car les pistes sont multiples et l’auteure prend un malin plaisir à brouiller les indices.



Ce que j’ai le plus aimé, c’est le développement de la relation de Cormoran et Robin. Il est maintenant clair que Cormoran voit Robin comme autre chose qu’une simple assistante et collègue. Sa détresse et ses réactions quand Robin est en danger parlent d’eux-mêmes.

L’évolution de cette relation me plaît beaucoup car elle est réaliste (les sentiments viennent petit à petit) et semée d’embuches.

Le passé de Robin se dévoile enfin et je suis encore plus admirative de son parcours et de sa force de caractère.



Le point négatif est la noirceur du récit. J.K. Rowling ne nous épargne aucun détail scabreux, aucune description crue des meurtres et des victimes. Une ambiance pesante et angoissante nous enveloppe tout au long de la lecture, comme une sorte de saleté moite qui colle à la peau.

Si l’auteure a voulu prouver qu’elle pouvait être autre chose qu’une romancière pour enfants, c’est parfaitement réussi. Harry Potter n’est plus qu’un lointain souvenir quand on termine ce roman.

J’ai d’ailleurs dû faire plusieurs pauses car le récit devenait trop angoissant pour moi et me mettait mal à l’aise.



En conclusion, même si j’ai beaucoup aimé ce tome qui a de nombreuses qualités et se dévore avidement, j’hésite beaucoup à poursuivre cette saga, du moins dans un avenir proche. Ça devient trop sombre pour moi et les thrillers ne sont pas ma tasse de thé.

"Sang trouble" fait 1370 pages en poche mais n'en est pas moins excellent.Un bon livre étant un livre qu'on ne peut lâcher et que l'on revient lire avec impatience et dont la fin rend triste parce que c'est la fin. C'est un livre de femme comme il apparaît rapidement, sachant bien sûr que l'auteur en est une. Le talent vient du fait qu'un homme peut le lire sans s'ennuyer. En particulier dans les descriptions vestimentaires et psychologiques. C'est même instructif pour lui. L'attrait pour les Cornouailles où se déroulent certaines scènes ne gâche rien, bien au contraire, et rappellent les histoires de Robert Goddard. Il y a des points communs entre les histoires des deux Robert. Peut-être se connaissent-ils ? Pour le reste, difficile de décortiquer sans dévoiler des morceaux de l'intrigue. De toute façon un commentaire, quel qu'il soit, ne pourra venir à bout d'une réalité: le talent, l'imagination, le plaisir d'écrire. Car J.K. Rowling n'a plus rien à prouver, de plus elle doit être richissime, donc on peut la créditer à priori d'une motivation respectable pour l'écriture de la série Strike / Robin.

Colonel Spontini

https://colonelspontini.over-blog.com

Très grande fan de la série de Cormoran Strike, je dois avouer que j'ai été déçue par celui-ci. L'histoire est intéressante car j'aime ce côté enquête qui me tient en haleine dans un livre. Mais nous voilà avec un pavé en main et l'impression que le but à chaque nouveau tome est surpasser la taille du précédent.

Même s'il me faut admettre que la nature intrinsèque du métier de détective privé est de passer du temps à attendre et à perdre du temps sur une fausse piste avant d'en trouver une bonne, dans roman c'est un peu pesant. Entre ces enquêtes qui avancent à deux à l'heure et la relation entre Robin et Cormoran qui piétine comme dans un premier amour entre deux enfants de primaires naïfs et innocents... ma patience fut à rude épreuve. J'ai éprouvé de la frustration et de l'ennui avec ce tome.

J'écris ces mots tandis qu'il me reste 100 pages à lire. Mais je ne veux pas gâcher la bonne impression que j'ai de ce roman avec une fin qui pourrait être décevante alors je m'y mets maintenant.

Il faut bien une première fois à tout et Sang trouble aura marqué deux premières fois. Celle avec Cormoran Strike au format roman et celle en compagnie de J.K Rowlin.

J'ai découvert C.S à travers la série télé éponyme. Prise au hasard sur Amazon je me suis lancé et j'ai vraiment apprécié l'univers et les personnages.

Il faut avouer que ce Sang Trouble est de belle facture et malgré ses 1350 pages il se lit plutôt bien et sans ennuie.

L'intrigue est riche à souhait et fourmille de détails et autres indices disséminés au fil des pages. Une enquête fleuve qui s'étire sur une année tout en revenant sur les 40 années d'échecs précédents.

Les personnages mettent tout en œuvre pour élucider ce mystère aussi épais que le fog londonien.

Le bel avantage de cette histoire est qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu les tomes précédents pour s'immerger dans l'intrigue actuelle. Les références au passé sont régulières et claires sans être trop invasives.

Je passerai sous silence les pages superflues concernant les états d'âmes amoureux de nos héros.

Une bonne lecture donc que ce Sang trouble , une belle découverte. Cormoran Strike à ce petit quelque chose de politiquement incorrect, de poil à gratter de la société qui met ses concitoyens devant leurs contradictions avec subtilité...selon les circonstances.

Bonne lecture.

Depuis qu’il a résolu le meurtre de la célèbre top model Lula Landry, au nez et à la barbe de la police londonienne qui avait conclu à un suicide, Cormoran Strike voit affluer les clients dans son agence de détective privé. A tel point que certains l’agacent et que, dans un moment d’égarement, il accepte une cliente qui ne sera peut-être pas en mesure de le payer. Leonora Quine lui demande de retrouver son écrivain de mari, disparu depuis une dizaine de jours. L’homme venait de se voir refuser la parution de son dernier roman, Bombix Mori, qui dévoilait les sombres secrets de ses proches : son épouse, sa maîtresse, son agente et ses éditeurs. Aussi, Cormoran n’est-il pas étonné quand il retrouve Owen Quine mort et éviscéré dans une maison abandonnée, dans une mise en scène macabre qu’il avait lui-même décrite dans son roman. L’enquête sur une disparition devient une enquête sur un meurtre et, secondé par Robin, sa fidèle assistante, le détective est bien décidé à débusquer celui qui a fait de Leonora une veuve.



Après les robes, les livres ! En effet, après s’être aventuré dans le monde de la mode avec L’appel du coucou, Cormoran Strike, détective privé unijambiste, fils illégitime d’une icône du rock anglais, enquête dans le petit monde de l’édition. Entre egos surdimensionnés, coups tordus entre ‘’amis’’ et jalousies maladives, les écrivains et leurs éditeurs ne sont pas épargnés par la plume de J.K. Rowling qui signe un polar sanglant et efficace. On y retrouve avec plaisir Cormoran et Robin et l’on suit avec intérêt les méandres de leur enquête et les péripéties de leurs vies privées.

Deuxième tome et le plaisir est toujours là. On s’attache au duo d’enquêteurs et on veut savoir comment leur relation va évoluer. J.K. Rowling a le don de produire des livres addictifs, de créer un univers, de soigner la description de ses personnages. On dévore les presque 700 pages de ce ver à soie sans s’en apercevoir. Un bonheur de lecture.

J'ai déjà lu toute la série des enquêtes de Strike avant de lire celui-ci, et je trouve ce livre long avec beaucoup de détails polluants sur la le lenteur de l'enquête. L'écriture est sympa, surtout quand on le lit en en version originale anglaise. Mais l'intrigue est trop longue pour la résolution de l'histoire selon moi.

Je l'attendais comme soeur Anne sur son balcon! Et oui, comme beaucoup, j'avais été quelque peu frustrée par la fin du tome précédent. Ce 4è tome, qui débute où le précédent se termine, ne m'a pas déçue. Contrairement à certaines critiques lues, j'aime ces quelques longueurs qui font l'ambiance particulière des romans de Robert Galbraith. L'enquête est passionnante tout du long et la fin laisse entrevoir une porte ouverte sur une évolution dans les relations entre Cormoran et Robin. Déjà hâte de lire le suivant.

J'ai toujours adoré les livres de Agatha Christie. Les polars modernes avec de nombreuses descriptions d'écorchage de cadavre, d'énucléation d'yeux et autres réjouissances sordides et tortures ne sont pas tout à fait ma tasse de thé.

J'ai découvert cette série de roman, je ne savais pas trop à quoi m'attendre, c'est vraiment une lecture plaisir et je me suis laissée prendre au jeu, j'ai enchaîné les tomes. Il y a parfois des redites, des hésitations mais au total, j'ai vraiment pris un grand plaisir à suivre ces aventures et ces enquêtes.

Les personnages centraux sont attachants et les différents protagonistes de chacun des tomes en rapport avec l'énigme sont multiples intéressants je me suis laissé prendre au jeu de réfléchir aux interrogatoires et de essayer de trouver les indices qu'il pourrait nous faire envisager le coupable.

C'est indéniable. Cette série des enquêtes de Cormorane strike m'a beaucoup plu.