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Citations de Robert Lawrence Stine (200)


Je levai le petit flacon et saupoudrai quelques cristaux scintillants du philtres d'amour sur la tête de Jake.
Il se tourna vers moi et me sourit. Puis il passa son bras autour de ma taille et m'attira tout contre lui.
_Hé,ma belle!Et cette poudre, c'était pour quoi,cetye fois?
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Je n'oublierai jamais le jour où elle arriva dans notre petite ville endormie de Thomaston. Plus mourante qu'endormie, a vrai dire. Les vitrines des boutiques étaient masquées par des pancartes fermeture et il y avait plus de gens au cimetiere que dans la rue ou j'habitais.
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Quatre tentacules visqueux jaillissaient de ses flancs. Sa peau scintillait d'un éclat verdâtre à la lumière de la lampe de chevet. Les trois lèvres de sa bouche en triangle s'ouvrirent sur une langue bleue, qui se déroula tel un serpent.
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Pourquoi, enfant, aimais-je tant les histoires effrayantes? Sans doute parce que j'avais peur du monde réel.
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Pourquoi ne pouvais-je pas simplement bronzer en paix au bord de la piscine ?
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- Regardez ! s'exclama soudain Christopher. Il n'y a plus de vaches !
Il roula sur la banquette en se tordant de rire. Mon frère est toujours le premier à s'amuser de ses propres blagues.
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Un seul mort, se dit Meg. Un seul garçon qui meurt dans les bois, et tant de vies s'en trouvent affectées.
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- Oh. Pardon, Meg. Je croyais que c'était Cory. Il est en retard. Ça fait une heure que je poireaute.
- Désolée.
- Tu n'y es pour rien, s'empressa de dire Lisa. (Elle avait l'air vraiment fâchée.) J'essaie de rester positive. Il s'est peut-être simplement fait renverser par un camion.
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Je haïssais le Groll toujours autant. Cependant je le pris délicatement. Il continuait à vibrer d'excitation. Je commençai à caresser sa peau ridée. Ensuite je lui chantai doucement :
– Dors bien, mon bébé. Dors bien, mon Groll chéri. Passe une bonne nuit. Là, là…
– Cat, tu m'inquiètes, grogna Daniel. Arrête, tu veux. Va t'allonger…
Sans rien écouter, je continuai à chantonner de ma voix la plus câline.
– À quoi est-ce qu'elle joue ? demanda Daniel à Carlo. Tu y comprends quelque chose ?
Carlo fit non de la tête. De mon côté, je ne prêtais aucune attention à eux. J'étais bien trop occupée. Et je devais me concentrer.
Je me forçais à bercer le Groll avec amour, tendrement. Je le berçais dans mes bras… comme je l'aurais fait pour un chiot.
Je lui soufflai :
– Petit Groll, mon petit Groll. Tu es si gentil, si merveilleux.
Je t'aime, mon Groll.
– Arrête, supplia Daniel. Tu me rends malade. Tu deviens vraiment folle !
– Comment peux-tu caresser cette horrible chose ? s'indigna Carlo. C'est infect.
– Mon Groll adorable…, murmerai-je.
« Si ça ne marche pas, alors, il n'y aura plus rien à faire » me dis-je.
J'appelle les parents, menaça Daniel en se dirigeant vers
la porte de la cuisine.
– Chut, ordonnai-je en mettant un doigt sur mes lèvres.
Et je leur montrai le Groll que je continuais à cajoler :
– Regardez, les gars !
Les vibrations ralentissaient. Incroyable ! Sa couleur s'estompa. De rouge il passa au rose. Ensuite, au marron sale.
– Oh ! s'ébahit Daniel.
– Ne le quittez pas des yeux, conseillai-je en poursuivant ma berceuse.
Le Groll poussa une sorte de soupir et il rétrécit. Il devint tout sec. Ses yeux se fermèrent et se recouvrirent d'épaisses paupières.
– Il… il est de plus en plus faible, Cat, murmura Daniel, tout excité.
– Regarde, mais regarde ! insistai-je.
Et je me remis à parler :
– Quel gentil petit Groll. Je t'aime beaucoup mon bébé…
Et je continuai à le dorloter.
Sa respiration ralentit… ralentit… et s'arrêta.
Le Groll reposait dans ma paume, sans vie. Plus un son. Plus une vibration… Plus rien.
– Maintenant, le bouquet final, annonçai-je fièrement.

p. 113 (Éditions Bayard, 1996)
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Bienvenue à monster land, faites comme chez vous !
Entrez, entrez ! Je suis R.L Stine. Bienvenue au bureau de Chair de poule !

Tenez asseyez-vous la. Vous n'avez qu'à poser cette pile de crânes par terre. Il faudrait vraiment que je prenne le temps de les rendre à leurs propriétaires. Mais, pour moi ils se ressemblent tous. Vous voyez le problème ?
"OUILLE !"
OH, c'est Irving, mon cobra, qui vient de vous mordre le bras ? Bonne nouvelle ! Ça veut dire qu'il vous apprécie !
[....]
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J'ai comme l'impression que l'histoire de Monica est une histoire d'Halloween.

- Pourquoi as-tu apporté ce masque, Monica ?

- Je ne l'ai pas apporté. C'est lui qui m'a amené ici.

- Serais-tu en train de nous dire qu'il est vivant ?

- Je dis que cette soirée d'Halloween a été la plus terrifiante de toute ma vie. Mon frère Peter et moi, on n'ira plus jamais sonner aux portes pour réclamer des bonbons.

- Eh bien, je t'écoute, Monica. Je suis le Gardien des histoires. Commence par le début. Raconte-moi ce qui t'est arrivé.

Monica serre le masque hideux dans ses poings.

- Vous êtes sûr ? C'est... C'est une histoire difficile à croire.

- Vas-y, Monica. Ne crains rien. Nous récoltons avec plaisir tous les hurlements, au CHÂTEAU DE L'HORREUR...
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La demi-heure suivante passa rapidement. Après avoir rangé mes affaires, j'embrassai tendrement mes parents.
Dès qu'ils furent partis, je ressentis une grande tristesse : j'étais abandonné dans ce château sombre, planté au sommet d'une colline. Je me retrouvais coincé dans un collège dont les élèves jouaient du violon et étudiaient sans arrêt.
Soudain, je pensai à Harold, mon pauvre perroquet qui n'aurait personne pour lui apprendre de nouvelles blagues.
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Impuissant, je le regardais s’envoler… haut, très haut.
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"Comment une chose pareille avait-elle pu m'arriver ? Comment avais-je pu être assez stupide pour vouloir changer de corps avec quelqu'un d'autre ? Pourquoi n'avais-je pas su me satisfaire du corps en parfait état de marche qui était le mien ?"

"Jamais je ne m'étais senti aussi misérable. J'aurais voulu que quelqu'un m'écrase en s'asseyant sur ce fauteuil et que tout soit fini."
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Qui dit livre dit aussi immagination
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« Il a touché le rocher, ça mérite une punition ! C’est la règle. »
« Mais on ne les connait pas, vos règles ! C’est injuste ! »
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Maintenant, c'était trop tard.
Trop tard ? A moins que..
BAM... BAM...
La créature marchait droit sur moi. Alors je n'hésitai plus, je me jetai à nouveau dans le laboratoire. Je regardai autour de moi, cherchant désespérément une arme quelconque pour me défendre, quelque chose à lancer à la figure de la créature, quelque chose qui la retarderait et me donnerait le temps de m'échapper..
J'attrapai le premier objet qui me tomba sous la main, une sorte de cube de métal. « Je vais lui jeter ça à la tête » pensai-je en serrant le cube de toutes mes forces.
BAM.. BAM..
A chaque pas de la créature, tout mon corps tremblait.
Oui, lui jeter ça à la tête, et courir, courir droit vers la cuisine, vers la fenêtre ouverte. Retourner chez moi, chez moi..
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Tu es à peu près aussi drôle qu'une béquille en caoutchouc!
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YAAAAAA !!!!!!! Ce cri est là pour ouvrir tout un recueil de cris, de feulements, de mystères, de hurlement dans la nuit, d'horreur et de suspense insoutenable. Quand vous lisez une histoire êtes-vous de ceux qui aiment que leurs cheveux se dressent sur leur nuque ? Que tous leurs muscles se crispent ? Que leur souffle se bloque dans leur poitrine ?
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Par moments, la non-violence, c'est carrément frustrant. Vous voyez ce que je veux dire ?
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