Citations de Robert Lawrence Stine (200)
J’arrachai mon masque et respirai à pleins poumons.
- Qu’est-ce qui t’arrive, Homme des Mers ? s’écria-t-elle. Tu t’es fait piquer par une vilaine méduse ? Ma coéquipière est très courageuse. Face au danger, elle plaisante toujours.
J’avais du mal à retrouver mon souffle.
- Plus d’air ! Quelqu’un… quelqu’un a… saboté… ma… bouteille…
Et puis, brusquement, tout devint noir.
"Je pense que je vais tenir un peu la bride à mon imagination. Après tout, la réalité est bien assez intéressante !"
« Il a touché le rocher, ça mérite une punition ! C’est la règle. »
« Mais on ne les connait pas, vos règles ! C’est injuste ! »
- Sais-tu comment les Égyptiens de l'Antiquité déplaçaient des pierres de mille tonnes ? reprit-il.
Le jeu des devinettes n'était pas terminé.
- Heu... avec des camions ? suggérai-je.
Soudain le docteur Brouwer apparut. Il avait l’air furieux. Son teint semblait légèrement vert sous la lumière vive des halogènes. Il s’était blessé la main droite. Quelques gouttes de sang avaient taché sa blouse blanche.
- Ne descendez jamais dans ce sous-sol, jamais ! hurla-t-il d’une voix que ni Jane ni Michaël ne lui connaissaient.
Les deux enfants reculèrent, surpris d’entendre leur père parler sur ce ton. Lui, d’habitude si doux, si gentil.
- Ne descendez jamais. Je vous l’interdis !...
Le sang martelait mes tempes. J’avais chaud et froid en même temps.
Encore quelques centimètres…
Soudain, quelque chose m’attrapa la main.
C’était une horrible pince de homard. Elle était géante, noire et poilue… Elle ne me lâchait pas…
Je n’avais qu’une solution : hurler !
- Ce n'est pas le travail qui manque. Tu ferais mieux de nous aider !
Il me tendit le balai.
Je me croisai les bras tout en reculant.
- Attention ! criai-je. Tu sais bien que je suis allergique !
- Allergique à la poussière ? demanda-t-il étonné.
- Non ! Allergique au travail !
Attention, je ne cherche pas à vivre une de ces histoires à l'eau de rose pour ados, mais je n'aurais pas été contre une histoire, tout court... avec Jake, en tout cas. On se connaissait depuis toujours, ou presque, et il me voyait comme une "amie". Vous imaginez ? C'est le pire mot du dictionnaire.
- On sera peut-être obligé d’employer l’activateur d’intelligence, murmura le chef. On doit ramener deux esclaves humains. Et il faut qu’ils soient jeunes, forts et malins. Suffisamment intelligents pour nous servir.
- Où allons-nous les dénicher si ces deux-là ne vont pas ? demanda Morggul.
Gobbul allait répondre quand le carillon de la porte d’entrée retentit.
- Chuut ! fit-il. Le professeur Leroy a des visiteurs. Vite, cachons-nous !
"Mais, C'était des main qui joué toute seule !!! DES MAIN !!!"
Dis-toi que tu n'y peux rien,
Et prépare-toi à mourir.
Le jour de la Saint-Valentin,
Tu rendras ton dernier soupir.
- Il va faire sacrément chaud aujourd'hui, annonça-t-il. A moins qu'il ne fasse frais.
Les prévisions météorologiques d'Henry était toujours aussi précises !
Avant que je puisse prononcer un autre mot, la palissade s’écroula et le monstre se précipita. Il avait une tête de loup, avec des babines retroussées sur de grandes dents blanches, et son corps ressemblait à celui d’un crabe géant. Lentement, il balança quatre immenses pinces griffues devant lui, et les fit cliqueter les unes contre les autres. Puis il ouvrit sa gueule en grand et laissa échapper un grognement guttural.
- NOOONNNNN !
Martin hurla de terreur, et moi aussi. Nous essayâmes de nous enfuir.
Mais où aller ?
- Il y a peut-être un trésor représentant des millions de dollars ici, et toi, la seule chose qui te préoccupe c'est un vieux cadavre tout ratatiné recouvert de bandelettes de gaze !
Elle hocha la tête avec dédain :
- Tu sais, la plupart des enfants cessent d'être fascinés par les momies dès l'âge de huit ou neuf ans.
- Ton père a huit ans sans doute ? répliquai-je.
Cette fois j'avais réussi à lui clouer le bec.
- Pourquoi tiens-toi tellement à y aller ? Tu sais que c'est interdit, Diana ! implora Jane.
- C'est mieux que de faire ses devoirs de maths, non ?
- Je viens de parler à Oncle Ben, déclara-t-elle.
J'en eus le souffle coupé.
- Ouaouh ! Ils ont le téléphone, dans sa pyramide ?
- Mais non ! J'ai réussi à le joindre dans le petit appartement qu'il habite à Gizeh.
Je me sentis partir, libéré de mon poids. Je m'élevai dans les airs. Ou plutôt dans le brouillard épais et verdâtre. Je clignai des yeux. Et j'aperçus...mon propre corps ! Je flottais dans cette brume, regardant ma silhouette ligotée à la pierre tombale !
Le jour de la rentrée, Artie tombe du lit et se cogne la tête. Dur. Il dit à sa mère qu’il a des vertiges et elle lui répond : « Tu es juste inquiet car c’est ton premier jour d’école. »
Au petit déjeuner, son jeune frère Eddie lui renverse du sirop sur la tête. Trop tard pour se laver. Artie part à l’école avec les cheveux poisseux. Sur le chemin, il trébuche dans une flaque d’eau et trempe son pantalon – on dirait qu’il s’est fait pipi dessus. Ce n’est pas seulement le premier jour, c’est aussi le pire jour d’école qui soit.
Le lendemain, Artie tombe du lit et se cogne la tête. Dur. Il dit à sa mère qu’il a des vertiges et elle lui répond : « Tu es juste inquiet car c’est ton premier jour d’école. »
Horreur ! Aujourd’hui est identique à hier. Comment Artie pourra-t-il se sortir de ce cycle infernal avant que ne recommence son premier jour d’école… pour toujours ?
- Steve, c'est toi ? appela Maman du salon.
- Non, ce n'est pas lui, répondis-je.
- Vous croyez aux loups-garou, vous ?
Cette question était venue malgré moi. Papa se mit à rire.
- Ta mère et moi sommes des scientifiques, nous ne croyons pas à ces sornettes.
- Ton père est un loup-garou ! plaisanta Maman. Je dois lui raser le dos tous les matins pour lui rendre une apparence humaine.