Robert Muchamore

Encore un excellent livre plein d'action et de suspense. L'aventure du héros dans le monde carcérale. Des rebondissements à la chaîne mais laissant la rusticité de l'histoire pure. Une réalité poignante et une aventure incroyable malgré le grand réalisme. [à lire si vous avez aimé le style d'écriture des deux premiers tomes].

Ce second tome de la série Cherub me plaît beaucoup plus que le premier sûrement grâce à l'action et l'adrénaline que ce livre insuffle au lecteur au fil des pages. [je conseille ce livre aux adolescents et jeunes adultes aimant la science fiction et l'aventure réaliste]

Alors que la série est terminée, l’auteur nous offre un bonus par ce recueil d’histoires courtes qui mettent en scène principalement James Adams, Kerry Chang et Lauren mais aussi les jumeaux Callum et Connor, Zoé et Rob.



Certaines reviennent sur des histoires passées et illustrent les relations tumultueuses au sein de Cherub et même des familles, alors que d’autres s’attachent à dessiner les futurs possibles du super agent Adams.



La couverture présente une sangle de dossier qui nous laisse imaginer que nous tenons entre nos mains des documents uniques et inédits.



L’incipit évoque l’existence d’une gazette officieuse qui aurait circulé au sein de l’organisation, faisant office de journal clandestin. Les récits sont entrecoupés d’interviews mais aussi de zooms sur les tee shirts ou encore le règlement.



On retrouve avec plaisir nos héros. Mon histoire préférée est celle de Rob qui montre que les relations entre frère et soeur peuvent d’exécrables, retrouver ensuite une forme de complicité.



Un volume qui ravira tous les adeptes de nos jeunes agents !
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Un bon polar pour ados ! Connaissez-vous « Trafic », le deuxième épisode de la série CHERUB, écrit par Robert Muchamore ?

CHERUB est un département ultra-secret des services de renseignements britanniques composé d’agents âgés de dix à dix-sept ans.

Pour sa seconde mission, l’agent James Adams doit infiltrer le plus grand gang de drogue du Royaume-Uni pour réunir un maximum de preuves et pouvoir les arrêter.

Ce livre est un roman policier pour les jeunes.



Ce livre parle de choses qui m’ont beaucoup intéressé: espionnage, belles voitures, superbes villas au bord de la plage à Miami, combats de boxe…

J’aime aussi que le héros soit un adolescent de mon âge, parce que je peux m’imaginer vivre ses aventures à sa place.

La couverture m’a intrigué parce qu’il y a une personne sur un bmx en train de faire des figures, un quartier sombre et d’énorme gouttes de sang, le tout dans un viseur... Cela donne envie d’en savoir plus sur cette aventure policière.

Mon passage préféré est un moment de grand suspense, quand le fils du chef du gang de drogue et le héros font un combat de boxe amical, un soir, sur la plage de Miami. Ils entendent du bruit vers la maison, mais ne s’en inquiètent pas. En revenant dans la villa, alors qu’ils ne s’y attendent pas, ils découvrent des tueurs dont ils doivent se débarrasser.

Alessandro

Vous avez aimé Cherub ? Retrouvez l'ambiance de ces romans d'aventure dont les héros sont des enfants avec en prime le contexte historique qui entoure la genèse de Cherub !



Vous découvrirez son héros principal, Marc, un orphelin rusé, amoureux de sa jolie voisine et obligé de fuir sa région de Beauvais, pour tenter de survivre. Il sera rejoint par d'autres enfants pris dans la tourmente de ce début de guerre en Juin 1940.



Leur espoir ? Rejoindre Charles Henderson, membre du renseignement britannique...



Le second tome s'ancre au printemps 1940 avec l'Allemagne qui a des velléités pour envahir à son tour l'Angleterre...



Un beau coffret à offrir pour noël avec en bonus un test pour évaluer ses connaissances sur la seconde guerre mondiale, un cours de cryptologie et enfin un test de décryptage.

La série CHERUB est très divertissante. Cependant, ce cinquième tome n'est pas le meilleur pour ma part ... L'action n'est pas réellement au rendez-vous tout comme l'humour qui caractérisait tant cette série. Cela reste tout de même une lecture fraîche malgré cette déception !

Bonne lecture à tous !

Très belle découverte que ce roman que je possédais depuis plusieurs années, pourquoi ne pas l'avoir ouvert avant ?

Nous suivons Marc, jeune orphelin, qui vit dans une institution à Beauvais, il est maltraité par le directeur du centre et ses camarades ne semblent pas vraiment l'apprécier non plus.

Alors que la seconde guerre mondiale touche la région, Marc voit l'occasion de quitter le centre, dans lequel rien ne le retient, il va partir en direction de Paris et faire une rencontre qui va bouleverser sa vie.

L'écriture de cet auteur est tout simplement géniale, l'histoire est vraiment très intéressante et l'envie de connaître la suite vraiment très prenante, et malgré une PAL gigantesque, je pense que je vais me laisser tenter par la suite des aventures de Marc et peut-être même par la série Cherub qui a aussi l'air d'être tout aussi prometteuse.

Je viens de finir Killer T, et si tu as suivi ma lecture sur Instagram tu sais à peu près ce qui va suivre dans cette chronique. Je ne vais pas te mentir, avec la couverture et le résumé qui envoyaient tous les deux du lourd, j’avais plus que hâte de découvrir ce roman dans lequel des terroristes s’attaquent à notre ADN… que dire à part que je ne conseille cet ouvrage à personne tellement rien ne va. Petite liste des défauts de ce bouquin ci-dessous.





Je commence mollo, mais sache que le résumé de la quatrième de couverture spoile en fait les 347 premières pages du roman (sur 540). C’est à dire qu’en fait, le côté SF dont on parle dans le résumé n’est pas mentionné pendant 350 pages, c’est à dire que le moment précis où Harry découvre que Charlie bosse dans un laboratoire clandestin, c’est à la page 347. Je veux bien être sympa mais j’ai eu la légère impression qu’on se fichait de moi quand j’ai découvert ça, parce qu’avec ce résumé qui me donnait l’idée qu’on allait lire un truc de SF, tomber sur une intrigue digne d’un mauvais roman contemporain m’a fait tomber de TRES haut. Et le pire c’est que l’idée de la modification de l’ADN n’est pas plus développée que ça même dans le reste du livre, c’est survolé, c’est pas intéressant, et l’idée est portée par des personnages tellement antipathiques qu’elle sombre complètement dans le néant.





Le deuxième gros problème, et là on s’attaque à du lourd donc sors ton thé, c’est l’hypersexualisation des personnages et le sexisme de ce roman. Un peu de contexte : au début du roman, les personnages féminins ont 13 ans et le moins qu’on puisse dire c’est que l’auteur ne tarit pas d’éloges sur leur incroyable physique : il les qualifie de sexy (13 ans hein), les présente avec des termes bien sexistes en utilisant par exemple seulement leur décolleté (c’est véridique) ou encore un peu plus loin dans l’histoire en présentant une fille fin de quatrième/début de troisième comme « immense, avec des fesses énormes en forme de bulbe » et c’est tout. On ne connaît même pas le nom de la fille aux grosses fesses avant 4 pages plus loin, autant te dire qu’imaginer un bulbe immense qui me parle fut assez étrange, et on sent très vite le deux poids deux mesures dans le traitement des personnages masculins (pas vu de « il avait un pénis complètement tordu, mais un peu chou » passer) et les féminins aux grosses fesses, sexy à souhait et « sentant quelque chose qui m’excite » selon notre cher protagoniste Harry. C’était le malaise général dans ma tête et je ne vois même pas que viennent faire ces descriptions déplacées dans un roman jeunesse.

Côté sexisme on tape fort aussi, avec des remarques de certains persos type « je veux une assistante qui veut bien coucher avec moi aussi, c’est la base », ou encore notre Harry adoré qui est en fait un chouineur du début à la fin. Ses remarques volent très haut et j’ai deux exemples que j’ai notés, qui se situent à mois d’une page de distance : on a le fameux « avec tout ce que j’ai fait pour elle, elle couche avec un autre ! » (il lui a acheté un ordi, ils ont 15 ans, bon), et puis un peu plus loin « elle m’a acheté du thé, elle pense à moi, peut-être que l’autre n’était qu’un coup d’un soir et on va finir par coucher ensemble » (je rigole même pas). On a aussi le bonheur d’avoir une scène où Charlie, la protagoniste féminine, couche avec un moche parce que bon « c’est mieux que d’être seule quand même ». Mais on est où là ?????

Je te jure que c’est un roman qui m’a mise à bout tellement rien ne va et je pense qu’à ce stade on est beaucoup à être sur les fesses (en forme de bulbe bien sûr).





Et vu que j’aime bien le principe du jamais deux sans trois, côté crédibilité c’est l’enfer aussi, laisse-moi t’expliquer un peu. L’histoire commence avec une explosion dans l’école d’Harry, qui décide donc de se précipiter dans le bâtiment détruit (sachant que tout est bouclé par la police) dans le seul et unique but de filmer des trucs un peu sanglants pour revendre cette vidéo à un journal (il a 14 ans), ce qu’il arrive à faire par je ne sais quelle magie, il va ensuite commencer à devenir famous (14 ans) et va se faire solliciter à gauche et à droite par un peu tout le monde (vers 16 ans). Déjà avec ça, j’ai soupiré fort MAIS C’EST PAS TOUT ! Puisque de l’autre côté on a Charlie, 13 ans et sexy, qui fabrique des bombes dans un mobil home, est soupçonnée sur des bases pourries d’avoir fait sauter l’école et est donc envoyée en prison, en sort deux ans plus tad (15 ans donc) et se voit proposer un job dans un laboratoire clandestin de manipulation de l’ADN sans avoir une seule connaissance sur le sujet mais t’inquiètes mon gars c’est fastoche. Voilà pour les 350 premières pages en gros, et je vais même pas m’attaquer à la suite du livre parce qu’on part dans tous les sens et on ne va nulle part entre la soeur de Charlie qui l’a fait enfermer pour on ne sait quelle raison, des morts sans crédibilité (y en a qui se fait asphyxier par un COMMANDO de gars avec un OIGNON bordel, un OIGNON), c’est stupide et le peu de science-fiction qu’on a n’est pas du tout abordé de manière approfondie ou intéressante. C’est rageant parce que l’idée de modifier son ADN pour améliorer tous nos défauts aurait pu amener une intrigue dingue mais là l’auteur est passé complètement à côté.

Ah oui et aussi, la fin ne remonte pas le niveau catastrophique du reste, pour ma plus grande surprise.





Bref, gros coup de coeur pour ce livre (c’est du sarcasme).
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Assez violent au dé but mais apprée trop bien:James se retrouva dans une chambre avec à ses pieds un tee shirt Orange il l'enfila et dessida d'aller visiter .Il question plusieur mais ils répondirent tous la même chose "je n'est pas le droit de parler aux oranges".

-"s'il vous plaît, ne me dites pas que vous n'avez pas le droit de parler aux oranges! je veux juste savoir où...

Il ne put achever sa phrase.

-Bonjour, James. Le docteur MacAfferty t'attend dans son bureau.

Sans ajouter un mot, elle le guida vers le couloir et frappa à une double porte.

Entrez fit une voix qui trahissant un léger accent écossais.

Bienvenue au campus de CHERUB, James. Je suis le directeur de cet établissement. Assieds-toi, s'il te plaît.

-J' étais que ça peut vous paraître dingue,mais pas la moindre idée de la façon dont je suis arrivé arrivé ici.

-Laisse -moi d'abord t'expliquer ce qu'est CHERUB. Ensuite, tu pourras me poser des questions

Nous voici réunis en ce jour (c'est un peu mélodramatique, je vous l'accorde) afin d'évoquer le tout dernier tome de la série CHERUB ! Le dix septième ! Je ne compte pas aujourd'hui juger l'ensemble de la série. Un article y sera prochainement consacré mais seulement ce 17ème opus.



Ma lecture du seizième tome datant un peu et ne m'ayant pas laissée un souvenir mémorable, j'étais un peu réticente à l'idée de débuter ce dernier , mais dès les premières lignes l'auteur a su faire démarrer sur les chapeaux de roues comme on dit.



Petit rappel : CHERUB est un département des services secrets britanniques qui utilisent comme agents des enfants et des adolescents afin de mener des actions en tout anonymat!



L'histoire cette fois ci se déroule en deux parties. Dans la première nous suivons une mission assez classique de CHERUB. Là dedans, nous retrouvons la plupart des protagonistes de nos derniers tomes ( en particulier les jumeaux) avec bien entendu en plus James, qui cette fois ci est contrôleur de mission. Si cette première partie ne m'a pas été particulièrement désagréable, elle n'est pas non plus inoubliable, et m'a donné une certaine impression de réchauffé ! En effet l'intrigue est banale et déjà vue dans d'autres tomes. Cependant le style d'écriture très fluide et les nombreuses actions permettent au lecteur de ne pas s'ennuyer.



C'est dans la deuxième partie que j'ai compris le but de ce dernier tome, créer une sorte de bouquet final réunissant la plupart des personnages principaux (anciens ou nouveaux) avec au programme: terrorisme et sauvetage d'otages! Cependant si sur le papier cela sonnait bien: proposer au public de retrouver une dernière fois ses protagonistes préférés.

Dans les faits, cela n'a pas été le cas. Déjà, j'ai trouvé l'intrigue assez mal ficelée et très très peu crédible ! Tout est beaucoup trop simple, tout marche sur des roulettes! En outre, ce sauvetage censé être le point culminant de ce roman ne dure qu'une dizaine de pages et ne m'a pas procuré aucune sensation ! De plus, les anciens persos que je m'étais fait une joie de retrouver n'ont que des rôles secondaires et ne sont que trop rapidement évoqués !



Mon sentiment qui prédomine à la fin de cette lecture est que l'auteur a bâclée ce dernier livre et même si au départ l'idée était bonne, l'auteur n'a pas réussi d'après moi à trouver la bonne formule.



J'avais déjà ressenti depuis quelques tomes un essoufflement de la série, et je suis donc heureuse de voir que l'auteur a pris la décision de la clore. Et ce, malgré que les personnages et l'univers de CHERUB vont me manquer !

Wahou !



J'ai commencé cette série il y a maintenant 4 ans. J'ai lu les 12 premiers à la suite, mais j'ai du attendre la sortie du 13, 14 et 15 pour pouvoir les lire. Je gardais un excellent souvenir de ces livres que j'avais vraiment adorés. Je savais qu'un tome 16 existait et lorsqu'une amie a proposé de me le prêter, j'ai sauté sur l'occasion !



Je craignais d'avoir du mal à m'y remettre : les personnages étaient les mêmes que ceux du tome précédent et je les avais un peu oubliés et puis j'ai grandi.



Je commence par les points positifs :



Tout d'abord, Finalement, je me suis replongée dedans dès les premières pages. Les particularités des personnages me sont revenues à l'esprit, par contre je ne me souviens pas de leur histoire. L'écriture est vraiment fluide, l'histoire intéressante, ce qui fait que ce livre se lit tout seul. Durant ma lecture, je me couchais plus tard juste pour pouvoir continuer et je l'ai fini en peu de temps.



En plus, le principe de Cherub me fascine : Cherub est un département spécial des services secrets composés d'enfants recrutés dans des orphelinats. Ils sont soumis à un entrainement intensifs et chargés de remplir des missions d'espionnage visant à mettre en échec des entreprises criminelles et terroristes. Ces agents mineurs sont utilisés en dernier recours dans le cadre d'opérations d'infiltrations quand les agents adultes n'ont pas réussi à tromper la vigilance des criminels. En raison de leur âge, ils demeurent insoupçonnables.



C'est cela qui rend ces romans particuliers. C'est totalement inédit, nouveau et bien exploité.



En second lieu, j'ai bien aimé que cela se passe en Angleterre. Grâce à cela, je situe mieux géographiquement parlant et cela change de toutes ses séries qui se déroulent aux États-Unis.



Troisièmement, j'apprécie aussi les couvertures qui correspondent très bien au récit. Elles sont toutes construites sur le même modèle mais le lectuer est toujours intrigué en la regardant.



Pour finir, l'action est exceptionnelle. On ne s'ennuie jamais, les événements s'enchaînent juste comme il faut. Le récit est toujours vif et le suspens au rendez-vous. C'est une des particularités de cette série qui est agréable.



Je continue maintenant avec les points négatifs :



Depuis le premier tome, les agents de Cherub ont résolu plusieurs missions concernant des sectes ou... des trafics de drogue. C'est ici que ça commence à tourner en rond. Sur toute la série, la moitié est consacrée aux trafics de drogue. Ça devient répétitif, lassant et c'est dommage de ne pas exploiter d'autres thèmes.



Deuxièmement, j'ai aussi regretté que ce roman soit centré uniquement sur la mission. J'aurais bien aimé revoir d'autres personnages des autres tomes ou la vie sur le campus.



En troisième lieu, le dénouement arrive un peu vite, comme un cheveu sur la soupe. Dans les dix dernières pages, on découvre une autre organisation géante qui contrôlait la première. C'est un peu difficile à comprendre et pas assez expliqué. À part cela, l'intrigue est plutôt bien construite.



Autre petit bémol : les personnages. Depuis le tome 12, James Adams est parti à la retraite alors que j'étais attachée à lui. Les petits nouveaux, Ning et Ryan, sont sympas mais sans plus. Je n'arrive pas vraiment à m'attacher à eux, à les comprendre vraiment et j'ai l'impression qu'ils ne sont pas assez creusés et que leurs relations avec les autres ne sont pas assez développées.



Malgré tout, j'ai adoré ce roman qui m'a emportée au fil des pages. Cette série m'aura vraiment marquée, mais je préfèrais les tomes précédents. Cela restait un symbole de mon adolescence. Cela m'a donné envie de relire toute la série. Si l'auteur sort un autre tome, je le lirais surement mais j'ai peur que cela tourne de plus en plus en rond même si je serais ravie de me plonger dans ces aventures.



Pour conclure, je pense que ce roman et cette série en général sont excellents. Je vous les conseille vivement.

Un récit mode, tendance et sans nuances.
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Violent et révolté, le jeune James et sa petite sœur vivent en Angleterre avec leur mère, dépressive et délinquante. Lorsque celle-ci décède d'un excès de barbituriques, James est placé dans un orphelinat tandis que sa soeur est recueilli par son père.

Alors qu'il pense ne plus avoir d'avenir, il est recruté par la très secrète agence de renseignement gouvernemental Cherub qui forme des enfants aux techniques d'espionnage.

Mais pour entrer dans cette école secrète, il doit réussir les cent jours du programme d'entraînement initial... Pour sa première mission, il doit infiltrer une secte d'hippies qui prépare un attentat.



Les histoires d'espionnage, ce n'est pas mon truc.

En plus, il s'agit tout de même d'exploiter des enfants en difficulté pour les transformer en espion et éventuellement leur faire courir des risques. L'entrainement est tout de même très violent.

Qui plus est, on a l'impression que le bonheur, c'est d'avoir la dernière console ou les dernières baskets.

D'avance, on sait qu'il y aura au moins 10 tomes. Bref, je pensais lire les premières pages, ne pas aimer et arrêter là. Dix tomes en bibliothèque, c'est dur à suivre et ça coute cher.



MAIS, le roman est addictif. Sans doute parce que, dès les premières pages, on s'attache à James, personnage très sympathique. Et rapidement on s'attache aussi à ses amis.

Il n'y a pas le moindre temps mort. Chaque action s'enchaine. Le temps de faire connaissance avec James, on voit les pièges se refermer sur lui. Mais il n'y a pas le temps de se lamenter pour lui, rapidement, on découvre avec lui l'école, le début de l'entrainement, le grand test, la première mission. On ne souffle pas.

En plus, il y a tout de même de jolies valeurs : l'amitié, l'entraide...



J'ai dévoré ce premier tome et je lirai avec plaisir les 10 prochains tomes et tant pis pour la difficulté de suivre ça et les adolescents qui j'en suis sûre nous harcèlerons un mois avant la sortie de chaque tome pour savoir quand on l'aura.
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Tout d'abord je dois dire que j'ai eu entre les mains l'édition collector en tirage limité.

En quoi consiste-t-elle ?

Elle a une couverture un peu plus rigide qu'un livre de poche normal avec ... Tada... un compartiment secret qui inclut les documents confidentiels pour la mission et la bonne compréhension et mise en situation du lecteur :

- le plan du campus, bien pratique pour suivre l'évolution de notre héros et visualiser les différentes scènes du livre,

- un ordre de mission, pour vous identifier au héros et

- quelques scènes coupées.

J'ai d'abord hésité longtemps à me demander si je les lisais pendant ou après avoir fini et je ne l'ai su qu'au moment où j'en arrivais aux pages concernées.

Je dirais donc sur ce point que libre à vous de vous laisser tenter ou non. Chacun peut faire à sa guise car leur lecture n'apporte pas vraiment de plus à l'histoire mais ils sont tout de même sympathiques à lire. Vous ne serez pas lésés pour la suite si vous les "oubliez".

Autre détail qui va peut être en faire sourire plus d'un : j'ai adoré le papier utilisé, il est lisse, doux, fin et rien que son toucher donne envie d'y passer les doigts et de tourner les pages unes à unes.

Alors quand, en plus, il apparaît que le contenu attire autant que le contenant, je dis "ahhh bonheur !!!"



L'histoire : James, 12 ans, se retrouve renvoyé du collège pour avoir blessé accidentellement une camarade dans un accès de colère. Cette peste insultait sa mère et même si c'était habituel, cette fois-là fut celle de trop. Il avait voulu la bousculer un peu pour la faire taire et elle s'était retrouvée blessée.

Le voici donc de retour à la maison entre une mère, trafiquante et receleuse de tout et n'importe quoi qui tient un réseau de cambriolage et a l'habitude de boire et une demi-sœur, Lauren, 9 ans, enfant surdouée semblant vouloir se rebeller contre le monde entier.

Et pour arranger le tout, le frère de sa "victime", petit caïd de son état de 16 ans a décidé de lui en faire baver.

En résumé, tout va bien dans le meilleur des mondes.

Et voilà que pour couronner le tout, sa sœur et lui se retrouvent orphelins, dirigés vers un centre pour finalement se retrouver séparés à nouveau par le destin.

Après plusieurs incartades l'ayant conduit au commissariat, James se réveille dans une chambre presque luxueuse comparée à celle du centre . Une tenue propre l'attend au pied de son lit. Sur le Tee-shirt orange une inscription, Chérub, et un logo, un bébé armé d'un arc assis sur un globe.

Une nouvelle page de la vie de James se tourne.

Le voici donc à Cherub, et pour lui commencent trois semaines d'adaptation avant les 100 jours d'entraînement intensif pour devenir un agent Cherub.

Comme le dit le titre et ces futurs nouveaux camarades, 100 jours en enfer en compagnie du froid, de la boue, de la faim, des fractures, des blessures recousues à vif et des exercices poussés jusqu'à la limite de la perte de connaissance.

James est perplexe. Rumeurs pour l'effrayer ou réalité ?

Il le saura bientôt... et nous aussi.



Je dois me rendre à l'évidence arrivée là. Ce livre est addictif : les aventures de James, son entraînement, tout est décrit pour nous imprégner de son atmosphère.

On vit James, on souffre James, on est James !

L'écriture est actuelle, les jeunes, public principalement visé, ne peuvent que s'identifier à notre héros. De plus l'histoire est passionnante, bourrée d'actions et d'humour, de camaraderie et de challenges.

Car il faut dire que le système d'éducation de Cherub est tout sauf orthodoxe. Et parfois nous souffrons avec ces jeunes héros dans leur entraînement de tous les jours tout en appréciant en leur compagnie ces moments de franche rigolade que l'on connaît si bien à 12 ans.

Le style ouvert, les personnages attachants et ce contexte assez atypique d'organisation secrète luttant contre les escrocs les plusieurs retors en font un livre plus qu'attrayant.

Il est prenant, ne demandant, à chaque page tournée que d'en lire la suite.

C'est simple ! Il m'a énormément rappelé l'enthousiasme qui était le mien, beaucoup plus jeune, à lire les Lieutenant X et son Langelot. Premiers livres d'espionnage à mon actif, qui, à eux seuls, ont su ouvrir la voie de ma passion pour cette catégorie de romans. Même encore maintenant je m'en souviens avec nostalgie et émotion. Et Robert MUCHAMORE et son Cherub sont de la même veine.

Je comprends grandement l'engouement des jeunes lecteurs pour les aventures de James et ses amis. Je le recommande même aux adultes pour un bon moment de lecture.
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Le ton est rapidement donné dans Tireurs d'élite avec une Edith prisonnière et torturée avant d'être miraculeusement sauvée par Rosie. L'histoire s'enchaîne ensuite dans un rythme que Robert Muchamore souhaite rapide. On se laisse emporter par le fil des événements qui commencent de la récupération d'un carnet contenant des informations top secretes, à l'assaut d'un bunker allemand par les jeunes agents de Chérub avec entre temps une formation éprouvante de tireurs d'élite, la peur d'être repéré par les Allemands et une petite escapade de Marc à Beauvais pour revoir celle qu'il aime...Non, ce Henderson Boys 6 n'est vraiment pas de tout repos.

La lecture a été très agréable tout du long et je me suis laissée prendre par l'histoire mais j'avoue avoir toujours une préférence pour les Chérub purs et durs, qui me tiennent plus en haleine et me captivent encore plus même si je reconnais que Robert Muchamore s'en sort aussi très bien avec les origines de Chérub. Je trouve juste dommage que la personnalité des personnages principaux ne soient pas plus travaillée car j'ai du mal à m'attacher à eux et donc je suis moins captivée par l'histoire que dans Chérub.

Pour ce qui est du fond, la seconde guerre mondiale est correctement exploitée même si c'est parfois aussi un prétexte.
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Roman d'espionnage où les héros sont des adolescents. Les services secrets anglais recrutent leurs jeunes espions dans les orphelinats, les entraînent et les envoient en mission. Notre héros se prénomme James (!), et ce tome 1 nous raconte son recrutement et sa formation très musclée, ainsi que sa première mission. J'ai aimé le récit de sa préparation physique et morale (très intenses, voire violentes), c'est même ce que j'ai préféré dans ce roman, proche de la série des "Alex Rider" d'Anthony Horowitz. C'est plutôt choc, mais pas choquant !

Excellent !! Pour ma part je trouve que ce 10° tome est bien meilleur que le précédent, il est vraiment captivant, moi qui n'aimais pas beaucoup Dana, j'suis contente qu'ils ne soient plus ensemble !!!

J'adore l'instructeur Kazakov ! Le black-jack, le comptage de carte, c'est fantastique, en plus l'auteur décris très bien !

Un Bijoux

Par Maxime **-*****

Savez-vous ce qu’est la perfection? Le livre ‘À La Dérive ‘ Mission 7 de la série CHERUB l’a sans contredit frôlé de très près, de par l’action qui s’y déroule et les chutes inattendues produites par l’auteur de 2 séries bestseller, Robert Muchamore



Après la chute l’empire soviétique, Denis Obidin, un magnat de l’industrie aéronautique, fait main basse sur la quasi-totalité des Industries de la ville d’aérograd, situé en Russie. S’apprêtant à vendre un arsenal de missiles et d’armes de guerre à des groupes terroristes pour renflouer ses caisses misent à mal par le déclin de l’industrie aéronautique. James Adams, un agent de CHERUB( département ultrasecret des services de renseignement britanniques composé d’agents de 10 à 17 ans) est envoyé en Russie afin d’enquêter et d’infiltrer le clan Obidin. Il s’apprête à vivre les instants les plus périlleux de sa carrière d’agent secret, et peut-être même les derniers.



Action

Des fusillades aux poursuites automobiles en passant par les fuites en avions(quoique difficile à suivre) À La Dérive a tout pour satisfaire l’avide envis d’adrénaline en vous.



Chutes

Au cours de cette mission, James est soupçonné de la mort de deux agents du MI5, mais que va-t’ il se passer. Suspendu de mission à son retour d’aérograd, il va tout mettre en œuvre pour découvrir la vérité. Coups de théatre.

À La Dérive, l’un des meilleures livres qu’il ne m’a été donné la chance de lire. Bourré d’intrigues et de suspense, vous ne pourrez trouver mieux. Et si c’était vrai ?

Cherub, pas mon truc, je l'annonce d'entrée. Ce premier tome ne manque pas de dynamisme ni d'idées. Et c'est tout. Le personnage principal donne surtout envie de le baffer plus que de s'attacher à lui. La plume est moche. Muchamore, c'est typiquement l'auteur qui serait bon sur du quatre mains, comme scénariste et mine d'idées, en laissant à un autre le soin de la rédaction qui n'est pas son truc mais alors pas du tout. En solo, il atteint vite ses limites. La série Cherub le montre bien : sitôt que Bébert a eu épuisé son stock d'idées, elle peine à convaincre, incapable de tenir debout par la seule force de ses personnages (au point que l'auteur sera obligé de renouveler son casting), de son style (absent) ou de son ambiance (qui est toujours la même pendant un long chemin de croix de 17 tomes – qui redéfinit l'expression “exploiter le filon”, à plus forte raison quand on ajoute 7 volumes de préquelle).
Lien : https://unkapart.fr/critique..

C’est ravie que j’ai enfin pu lire et terminé cette petite série portant sur la téléréalité et les concours de musiques et chants. Une série courte aussi bien en nombre de tomes qu’en nombre de pages mais très sympathique.

Nous retrouvons donc nos personnages : Jay, Dylan, Summer, Erin, Theo… Peu de temps après la fin du troisième tome. Chacun se remet de la fin du concours rock war et poursuit comme il peut soit son rêve de percer dans la musique, soit est retourné à une vie plus normale.

Dans ce tome on voit l’envers du décor, les conflits qui peuvent se déclencher entre maison de disques et artistes surtout lorsqu’il s’agit de mineurs, les droits d’auteur, les doutes et aussi la motivation des non-gagnants à persévérer dans ce monde, d’affirmer leur choix. Le texte donne une vision beaucoup moins idéalisée du système et montre les côtés un peu plus sombre.

Quant à la deuxième partie de ce dernier tome, j’ai été étonnée par les choix de l’auteur, je ne m’y attendais pas. Cela a été assez surprenant lorsque certains événements ont eu lieu. J’ai eu une appréhension dans les dernières pages mais heureusement plus de peur que de mal enfin suivant les personnages que vous appréciez ou non.

Pour finir, cette série a été une jolie découverte qui m’a fait sortir de mes genres préférés. C’est jeunesse mais le contenu est assez mature et pour moi peut convenir à tout public. Ce fut une lecture divertissante et agréable.
Lien : https://la-bibliotheque-du-l..