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Critiques de Simonetta Greggio (361)
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L'ourse qui danse





Le musée des Confluences de Lyon, a lancé depuis quelques années une formidable collection intitulée « Récits d’objets »; collection qu'on avait déjà présenté en tout début d'année .



Elle consiste à solliciter un ou une écrivaine pour lui proposer de choisir un objet de son choix dans les collections du musée pour qu’il s’en inspire et en tire un texte sous la forme de son choix (conte, récit, court roman, etc.).



À partir de mai 2020, les éditions Cambourakis s’associent au musée des Confluences pour coéditer cette collection à raison de deux titres par an c'est la romancière et traductrice italienne Simonetta Greggio (auteure de "Elsa mon amour "en 2018 chez Flamarion) qui inaugure ce partenariat avec "L’Ourse qui danse", un court récit inspiré par une statuette Inuit. FILMS (cinéma, DVD)

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lundi 21 septembre

Récits d’objets : "L'Ourse qui danse ": un récit inouï sur les Inuits



Greggio_Ourse



"J'étais alors dans mon âge guerrier. En revenant au village, je retrouvais mes racines. Les mots d'autrefois. Le gout de nos viandes goulûment machées, le désordre fou, le chaos aimables de nos maisons. Nous n'avons jamais appris à tenir un intérieur comme vous dites: nous sommes des errants, jamais nous n'avons imaginé nous sédantariser. Chez nous lorsque quelq'un meurt, on arrache les portes et les fenêtres pur que son esprit puisse s'envoler."



Le musée des Confluences de Lyon, a lancé depuis quelques années une formidable collection intitulée « Récits d’objets »; collection qu'on avait déjà présenté en tout début d'année .



Elle consiste à solliciter un ou une écrivaine pour lui proposer de choisir un objet de son choix dans les collections du musée pour qu’il s’en inspire et en tire un texte sous la forme de son choix (conte, récit, court roman, etc.).



À partir de mai 2020, les éditions Cambourakis s’associent au musée des Confluences pour coéditer cette collection à raison de deux titres par an c'est la romancière et traductrice italienne Simonetta Greggio (auteure de "Elsa mon amour "en 2018 chez Flamarion) qui inaugure ce partenariat avec "L’Ourse qui danse", un court récit inspiré par une statuette Inuit.



Dans ce court roman extrêmement documenté dans lequel elle rend un hommage appuyé à l'illustre Jean Malaurie, ethnographe spécialiste du monde polaire, Simonetta Greggio centre son récit autour la rencontre d’un homme inuit et d’une ourse.





Une confrontation a priori effrayante qui se transforme en fascination et profond respect mutuel puisqu’après s’être affrontés et mutuellement blessés, homme et ourse vont cohabiter et survivre l’un grâce à l’autre avant que l’homme ne rejoigne sa famille.ph17334_01



Un texte imprégné par les coutumes et les croyances de cette population, qui souligne la différence des modes de vie entre Occidentaux et Inuits mais également entre une ancienne génération en quête d’une forme de communion avec la nature et les animaux et la jeune, hélas beaucoup plus méfiante et distante.



Entre conte animalier et chronique documentaire, "L'ourse qui danse" nous montre combien la communauté inuite possède une vision symbolique du monde, englobant tout à la fois vie matérielle, organisation sociale et croyances, dans lequels coahbitent humains, esprits et animaux de l’Arctique.



L'ourse qui danse est ainsi un texte extrêmement vivant et documenté, propice à la découverte de cette culture inuite, notamment son rapport aux animaux, par opposition au mode de vie moderne et occidental qui évoque pas mal des romans de nature writing comme "De pierre et d’os" de Bérangère Cournut ou "Croire aux fauves" de Nastassja Martin.
Lien : http://www.baz-art.org/archi..
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L'ourse qui danse

Ce genre de livre

à peine commencé, déjà fini.



Une merveille.

La puissance du peuple Inuit.

La magie de leur croyance.

La violence de leur histoire.

La clairvoyance de leur combat.
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L'ourse qui danse



Le Musée des Confluences de Lyon est riche d'une immense collection d'objets retraçant l'Histoire de l'Humanité, les Histoires de l'Humanité. Ce musée a proposé à des auteurs de choisir un objet et d'en faire un récit, ou un roman. Partant de la statuette d'un ours dansant de l'artiste Inuit Davie Atchealak, dans l'univers de l'histoire des territoires du grand Nord, Simonetta Greggio nous emmène vivre le monde ancien des Inuits.



À travers un récit presque onirique dit par un Homme, un Inuit, qui décide de revenir dans son monde primitif, avant que son peuple soit morcelé par le Danemark, le Groenland, le Canada. Les croyances, traditions, dialectes, costumes, coutumes étaient les mêmes. Mais dès que L'Homme Blanc est arrivé, il a imposé ses propres croyances, interdit les traditions millénaires, le langage commun à tous les inuits, a morcelé les paysages et les territoires, séparé les familles, et introduit cette notion de profit propre aux grandes puissances modernes. Élevé dans un monde "moderne", en Occident, cet homme revient pour s'imprégner de sa propre culture presque détruite, reconnaître son âme et ses traditions, et explique en un monologue envoûtant ce que c'est que d'être Inuit.

Il retourne vers sa tradition de trappeur, de chasseur, et poursuit l'Ourse Blanche, l'esprit de la chasse intemporelle, animal-totem.



Un court roman initiatique, dans la vague du livre de Bérangère Cournut, "De pierre et d'Os" et aussi du livre de Nastassja Martin "Croire aux Fauves" (ed Verticales), pour qu'on connaisse la terrible lutte des derniers Inuits contre les États rivaux qui exploitent les dernières richesses de ce peuple.



Inoubliable.
Lien : https://melieetleslivres.wor..
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L'ourse qui danse

Un magnifique plaidoyer de respect de notre milieu de vie et de nos cohabitants de ce monde si solide et si fragile.
Lien : https://www.actualitte.com/a..
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Elsa mon amour

Une envie de découvrir Elsa Morante, par le biais de cette biographie romancée. Au début j'ai trouvé ce texte très décousu; et puis petit à je suis rentrée dans l'histoire. J'ai aimé cette femme forte et fragile le livre m'a donné envie de lire Elsa Morante, Pasolini, redécouvrir Malaparte, et moi qui avais aimé les livres de Moravia je n'ai pas trop aimé le bonhomme dans ce texte.
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Nina

Tres belle histoire d amour que j ai lu d une traite car elle vous tient en haleine. Mais ne pas lire si on a le moral en berne je deconseille meme si f lenoir nous dit qu on s'en sort toujours...c'est tristounet quand même !!!
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L'homme qui aimait ma femme

Deux frères, Alexandre et Yann vont tomber amoureux de la même femme, Maria. Nous sommes au milieu des années 60, à Paris, ils sont tous les trois, étudiants. Nous suivons leur histoire jusqu'à nos jours. Histoire intime, tourmentée qui se mêle à la grande Histoire.

Très beau roman qui décortique la psychologie des personnages, qui fait réfléchir, qu'est-ce que tromper ? trahir ?

Beaucoup d'émotion dans ce roman que j'ai quitté à regrets.
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Elsa mon amour

Je me suis procurée récemment La storia, le roman d'Elsa Morante suite à des chroniques lues ici ou là et avant de le découvrir je voulais en savoir un peu plus sur cette auteure italienne alors quoi de mieux qu'une biographie romancée d'une auteure italienne Simonetta Greggio que j'avais découvert avec Les mains nues il y a deux ans.



D'Elsa Morante je ne connaissais rien, ni de sa vie, ni de son œuvre et j'ai découvert une femme dont la vie fut à elle-même un roman, une italienne telle qu'on peut se la représenter, fougueuse, aux milles vies, à la personnalité à la fois forte et fragile avec des moments de débordements, de cris et de larmes.



C'est au soir de sa vie qu'elle se confie, dans une sorte de journal-testament où elle revient très rapidement sur son enfance, sur ce père qui n'était pas le sien, sur l'autre qui ne le fut pas non plus, sur sa mère juive, avec laquelle elle s'affrontait pour finir par quitter très jeune le toit familial et se lancer dans la vie.



Elle évoque son grand amour, Alberto Moravia, avec lequel elle restera uniejusqu'à sa mort en 1985 même si leur mariage était fait d'écarts de part et d'autre, mais aussi ses ami(e)s  : Malaparte, Pasolini, Anna Magnani, son amant Visconti, sa jeunesse où elle a connu la faim, les rencontres de passage, et puis très vite la reconnaissance de son travail d'écriture.



Simonetta Greggio laisse transpirer toute l'admiration qu'elle a pour la femme et pour l'écrivaine au caractère bien trempé, elle entrecoupe cette biographie romancée de courts chapitres qui permettent de resituer les événements et leurs contextes.



Il y a à la fois toute la splendeur de cette femme dont la vie fut une aventure continuelle mais qui sombre dans la vieillesse et l'isolement après plusieurs chutes en constatant que beaucoup de ceux qu'elle a aimés sont définitivement partis de leur plein gré ou non, elle-même ayant tenté de le faire sans succès.



Je dois avouer que le personnage m'a séduit, je l'ai lu en une journée car ne connaissant rien d'elle j'ai été totalement subjugué par son parcours, sa modernité, son amour inconditionnel pour Moravia jusqu'à son dernier jour, malgré les scènes et les trahisons, ses passions pour les artistes, écrivains, poètes, cinématographes croisés, les petites anecdotes et son amour pour sa ville Rome. C'est un voyage dans l'Italie d'après-guerre dans ce qu'elle comportait d'artistes et d'écrivains.



C'est un récit tout en nuances, en couleurs, en forme, en mille petits détails de sa vie mais on ressent tout au long une sorte de mélancolie, de tristesse dans le regard porté par cette femme sur ses belles années, pas toujours heureuses et sur sa fin de vie, immobilisée et ne trouvant du réconfort que dans ses souvenirs. Quel contraste entre ce qu'elle fut et l'amertume de ce qu'elle est désormais.



Rien de trop, juste l'essentiel mais qui dresse le portrait d'une femme de caractère au cœur sensible, ayant la certitude qu'être "écrivain" (et non écrivaine comme elle le dit) était sa seule destinée, Simonetta Greggio s'efface totalement derrière Elsa en lui laissant la parole et qui peut mieux qu'elle pour parler d'elle !



Je ne sais pas quand je vais lire La storia mais je dois avouer que j'ai une certaine impatience pour découvrir la plume de cette femme et voir si je retrouve son énergie, sa volonté, son œil sur son pays et ses contemporains.



"J'étais jeune longtemps. J'étais belle, du moins le disait-on. Je suis devenue un écrivain, un grand. Puis je suis tombée. J'ai désiré les hommes, je les ai aimés et attachés avec les yeux de mon vrai père. Et je suis connue sous le nom de mon faux père. Il en aurait fallu moins pour être celle que je suis. (p11)"
Lien : https://mumudanslebocage.wor..
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Les mains nues

: Emma est vétérinaire. La quarantaine passée, elle vit dans le monde rude de l'agriculture et des bêtes qu'on soigne...ou pas...des tristesses non dites car la nature est dure

Pourtant, elle a vécu la vie insouciante des jeunes parisiens

Jusqu'à perdre un amour.

Dont le souvenir ravivé est à la faveur de l'arrivée de Giovanni, un garçon homme de 14 ans.

Personne ne lui pardonnera.

Un roman qui laisse des traces sur un sujet rare.

Une auteure découverte grâce à Corinne et un livre emprunté en bibliothèque in extremis samedi 14 mars.
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La Douceur des hommes

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Femmes de rêve, bananes et framboises

Voici un recueil de nouvelles au titre original tiré d’une chanson de Paolo Conte – et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de la triste fable d’un homme délaissé par sa belle qu’il voit danser, les yeux dans les yeux, avec un autre que lui. Désespéré, il préfère le naufrage et ses chimères au bonheur qu’elle n’a pu lui donner…

Simonetta Greggio nous prend par la main et nous emmène par monts et merveilles (si, si !) pour sept randonnées originales sur les terres de la mort et de la désolation.

- Une femme qui contemple les yeux d’un poisson mort et pense à son bel amant

- Un vénitien, juif, violoniste, qui rentre d’un camp de la Mort accompagné d’une chienne de garde (c’est d'entre toutes les nouvelles ma préférée)

- Le blues d’un tueur à gages

- Un éditeur, Romain Gary, Cocteau, Malraux et compagnie…

- Une rupture, un Paris-Avignon en TGV et des regrets

- La mort. La vie. Aberrantes l’une comme l’autre, ce qui peut conduite à la folie

- La mort, encore. Mais la nôtre, idéalisée, afin d’éviter le naufrage. Ou, au contraire, pour se porter volontaire tel un Alain Bombard intrépide et audacieux

Vague après vague, ce joli concentré d’amour et de romance grise nous noie dans un océan de mélancolie addictive.
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Nina

Livre qui a longuement trôné dans ma pile de livres à lire... En reprenant le livre je ne me souvenais même plus pourquoi il avait atterri ici...



La lecture y est très fluide et simple, ce qui entraîne un rythme rapide.

J'ai été partagée dans ce livre:

- la partie d'Adrien est sympa avec cette histoire de lettre avant de mourir. Cependant, c'est très souvent répétitif même s'il évoque des souvenirs d'enfance. Je me suis même questionnée sur le contenu du livre si on continuait exclusivement sur ce point de vue...!

- la seconde partie est beaucoup plus agréable et avec davantage de rythme. On a envie d'y croire à cette histoire de retrouvailles. C'est tout de même digne d'un film de M6 des après-midis :-). Et puis, là aussi il y a des répétitions qui font une lourdeur dans le livre. Des secrets qui paraissent gros et clichés.

Le final est pour moi trop gros et enlève l'authenticité de ce roman. C'est bien dommage.



Un livre bien captivant et agréable mais pas totalement à la hauteur de mes attentes.
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L'odeur du figuier

Des nouvelles sensuelles aux parfums italien et parisien. La "dolce vita ", mais aussi son envers cruel.
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Nina

Très joli roman, mêlant amour d'enfance, rivalité entre frères, la vie entre deux mondes, comment décider la fin de vie quand un proche est dans le coma, retrouvailles, écriture, etc... Un joli bouquet bien harmonieux, j'ai beaucoup aimé l'écriture poétique, la lettre à Nina tellement touchante. Ça peut paraître du vu, revu, etc...rien d'original pour certains, mais c'est l'émotion qui s'en dégage, la sensibilité, et la poésie ainsi que les personnages incluant Gaston le chien qui m'ont touchée.



Si ce n'est pas le vrai coup de cœur si rare, j'en suis pas loin, car je n'avais aucune envie de quitter Paris face au jardin du Luxembourg, Rose, Nina, Gaston, Emilie, et Adrien. Une suite peut être ????

Alors pour ceux qui aiment les belles histoires, lisez vite Nina, vous serez pas déçus.
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Nina

Très franchement je ne pensais pas que ce serait un tel coup de coeur pour moi 😆

Cela démarre doucement avec la lettre d'Adrien, qui perso ne m'a pas parue longue.

Une histoire d 'amour avec un grand A dont on ne se remet jamais car inachevée.

Des non dits des amours d'adolescence mais qui ont perduré malgré la distance, le silence et les années...

On se dit que tout ca est un tel gâchis et pourtant... Très belle écriture vraiment touchante ... J'ai beaucoup aimé 😆
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L'odeur du figuier

D'habitude la lecture de nouvelles me plaît beaucoup. Ces courts récits, à la chute souvent surprenante, me ravissent.

A part la première nouvelle, un peu angoissante mais qui trace le séjour de ce jeune couple amoureux dans leur résidence d'Aquascura, je n'ai pas été touchée par cette atmosphère mélancolique, pessimiste, voire morbide.

Le séjour de ce pauvre veuf dans l'ascenseur m'a absolument terrifiée, de même que la descente aux enfers de Leo, toute jeune femme qui glisse dans la déchéance.

Trois étoiles tout de même car l'écriture est belle. Je pense essayer de lire d'autres ouvrages de cette auteure, pour voir.
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Col de l'Ange

Une lecture simple et rapide. La beauté de cette histoire est l'amitié et l'amour de ces deux frères pour Blue depuis leur naissance. Après sa mort, Nunzio continue de veiller sur les personnes qui ont comptés dans sa vie.
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L'odeur du figuier

J’aime beaucoup cette autrice et me suis régalée avec les 5 nouvelles qui composent cet ouvrage, plus ou moins graves ou légères. Quoique sous une apparence de légèreté pour certaines le propos est grave. À découvrir
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La Douceur des hommes

Un roman sur la vie et notamment sur l'amour, découlant des rencontres qu'a connu Fosca tout au long de son existence. Elle est l'un des personnages principaux, avec Constance, une femme qui sera à son écoute tout au long du voyage. Naît alors un échange entre les deux protagonistes où l'une, semblant perdue dans une vie ne lui apportant pas ce qu'elle désire, écoute l'autre dans l'attente de 'conseils'.

Les échanges entre Fosca et Constance nous entraînent dans un voyage entre la France et l'Italie, entre la vie vécue de l'une et la vie à vivre de l'autre, entre le passé et le présent.

L'écriture de Simonetta Greggio est authentique et simple - dans le sens noble du terme. Elle a ce don de pouvoir mettre des mots, comme Benoîte Groult dans Les Vaisseaux du cœur, sur la beauté des relations humaines, mais aussi sur la légèreté et parfois la dureté de nos quotidiens, de nos sensations, de nos moments de bonheur ; que ce soit la chaleur sur notre peau que peut apporter le soleil ou l'être aimé - parfois il est le même - ou une odeur qui éveille nos sens et nous transporte dans des contrées lointaines, dans un temps très court, un temps de bonheur.

Un livre à la fois sur la nostalgie d'une vie et sur la véracité de vivre tant que nous pouvons le faire.
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La Douceur des hommes



A bord d'une Rolls-Royce Silver, deux femmes rejoignent le Sud. Menton, puis l'Italie. Fosca 87 ans raconte à Constance, ses amours. Les hommes, elle les a adorés, détestés, quittés ou épousés.

C'est un roman qui parle d'amour et de vie, de douceur et de désir. Mais également de manque, de loupé, de regret et de silence.

Rien de bien nouveau ou surprenant dans ce roman mais j'ai eu beaucoup de plaisir à le lire, une écriture simple et claire et douce aussi. Ces deux femmes sont attachantes et émouvantes chacune à leur façon.



lu en 2008.
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