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Critiques de Simonetta Greggio (361)
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Étoiles

Il aura suffi d’un défi littéraire lancé par une amie lectrice – Sy Dola pour ne pas divulguer son "pseudo Facebook" – pour que je retrouve, sagement posé sur une étagère de ma bibliothèque "Etoiles", dédicacé par l’auteure, Simonetta Greggio, en mai 2016, ouvrage correspondant à l’item du mois de janvier : "un poche de moins de 200 pages".



Cette lecture fut ma gourmandise du jour, réchauffée au soleil de la Provence, parfumée aux arômes de lavande et de thym. Ce genre de lecture qui vous enveloppe d’une chaude couverture, allume vos papilles et vous apprend à rêver. En ces temps difficiles que nous traversons tous, quel bonheur de se couler dans le miel, de respirer les odeurs de jardins mouillés et de saliver à la description d’une recette visiblement aussi sublime que simplissime.



"Etoiles" raconte l’histoire de Philippe Coimbra, alias Gaspard, grand chef étoilé dont la vie bascule, un jour, alors qu’il rentre chez lui plus tôt que prévu et découvre sa femme dans les bras de Paul Duguesnin, "Cet homme providentiel, charmant, bien élevé, excellent gestionnaire…" qui…"avait pris une place considérable dans sa vie, allant jusqu’à tenir en ordre ses comptes en banque…". Subrepticement, Gaspard quitte le domicile et disparaît…

L’écriture de l’auteure, très belle, est aussi virevoltante qu’une jupette au gré du mistral, aussi colorée que les tomates du marché, aussi odorante que les herbes qui poussent en désordre dans le jardin créé par Gaspard dans son refuge méridional. Elle m’a régalée sans relâche de la première à la dernière page. L’épilogue en forme de happy end ne m’a semblé en rien malvenue, apportant une touche finale sucrée à tous les plats préparés par le chef, prêt à démarrer une nouvelle vie culinaire.



J’ai adoré cette jolie nouvelle – 73 pages – sans temps mort, allègre, optimiste, qui, tel un onguent, est capable d’apaiser les maux de l’âme et guérit de toute mélancolie.



"Etoiles", un ouvrage gracieux, délicieux, savoureux. Un véritable remède à la morosité ambiante qui devrait être remboursé par la Sécurité sociale.


Lien : https://memo-emoi.fr
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Étoiles

Étoiles nous parle de la séparation, et plus précisément de la fin de la vie telle qu’elle existe au sein du couple, de la nécessité de se reconstruire. Ce thème, qui n’aura de cesse de tourmenter certains esprits, est pour la plupart du temps abordé dans le sens du déchirement, de la haine et autres émotions négatives. Au contraire, Simonetta Greggio prend cette situation subie comme l’occasion d’un nouveau départ...

Lire la suite : http://www.bizzetmiel.com/2011/08/simonetta-greggio-etoiles.html
Lien : http://www.bizzetmiel.com/20..
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Étoiles

J’aime ce petit roman de Simonetta Greggio qui me transporte en Provence, celle de Pagnol où les cigales sont reines et nous assourdissent de leurs chants, comme si elles étaient enivrées par de multiples senteurs.

L’action se passe dans le petit village de Bijoux où Gaspard dépose son sac, fuyant une déception amoureuse et une célébrité encombrante et exigeante à la tête d’un restaurant étoilé.



Il reprend une auberge loin des sentiers battus, revient aux sources de la cuisine. Lui qui ne faisait plus que superviser son restaurant parisien, remet la main à la pâte, accommode les plats typiques de la région. Dans ce nouvel environnement surgit Stella, jeune fille frêle, anorexique dont il va tomber amoureux.



Autant dire que l’intérêt de l’histoire ne réside pas dans cette histoire d’amour

un tantinet cucul la praline, mais dans l’ambiance qui se dégage de ce retour aux sources.

On salive à la découverte de ce qui s’échappe de cette cuisine, des saveurs qui mettent l’eau à la bouche. On sent la truffe, le basilic et le romarin et l’on entend l’huile frissonner dans la sauteuse en attendant les filets de rouget.



Un roman léger et frais à savourer sans modération.



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Étoiles

Nouvelle, fable moderne, etc... Il est vrai que la brièveté de cet écrit nous laisse sur notre faim... Oh! s'agirait-il d'un "livre apéro" destiné à titiller légèrement nos sens appauvris et aseptisés par des nourritures insipides mais pratiques pour la "ménagère de moins de cinquante ans" ? Cette prose gourmande fait fondre d'envie. Rechercher, toucher, préparer des ingrédients offerts à l'autel de l'amour par l'amour qui se joue patient, félin, gourmet est certes le plus raffiné et complet des plaisirs. Simonetta Greggio compose ici un poème à l'honnêteté culinaire (Gaspard) et une élégie amoureuse (Gaspard et Stella). Cela se lit amer ou sucré comme certains apéritifs, cela se boit sans surprise mais gouleyant et charnu, cela donne des envies de nuit tiède, de paroles "candi", de mets féériques... Recueil délicat.



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Étoiles

Une nouvelle assez courte et facile à lire mais celle-ci ne parvient pas à rassasier le lecteur.

« Étoiles » ne tient pas ses promesses malgré ses belles illustrations de récit culinaire.

En effet, les recettes évoquées ne sont pas expliquées à la fin ou tout au long du livre.

Tout au plus, celui-ci relate les amours contrariés d’un chef.

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Femmes de rêve, bananes et framboises

Le titre fruité de ce recueil de nouvelles,et les midinettes de la couverture ne préparent en rien à ce que Simonetta Greggio déploie dans ses textes. Pourtant,en y regardant de plus près, l'illustration ne triche pas car les deux jeunes femmes ont la tête tournée vers de très sombres nuages. Car oui, l'auteure écrit sur la mort et sur la vie, sur l'amour aussi bien sûr car peut on vivre sans amour ?

C'est pour moi une première rencontre avec cette auteure et je suis touchée par sa plume qui parvient magnifiquement à évoquer les plus effroyables rendez vous avec la mort comme dans Os de l'une,qui donne la parole à un rescapé d'Auschwitz,si tant est qu'on s'autorise à employer ce vocabulaire alors que personne n'a pu réchappé totalement de cet enfer. Elle peut aussi en sourire comme dans la dernière nouvelle qui donne son nom au recueil.

Mes cordes sensibles ont vibré sous les mots si bien choisis pour dire le mal d'aimer, l'absence...Et puis,j'ai beaucoup apprécié la sensualité qui se dégage de ces pages pour évoquer l'Italie,ses paysages,ses saveurs,sa douceur de vivre mais aussi ses violences.
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Femmes de rêve, bananes et framboises

Le titre et la couverture m'auraient fait me désintéresser de ce livre si ma chère bibliothécaire ne me l'avait mis entre les mains. Qu'elle en soit remerciée. Elle connaît bien mes goûts.



Il s'agit de nouvelles. Différentes les unes des autres.

Celles qui m'ont profondément touchées sont " Signor giudice" ,lettre du tueur pressenti par la mafia pour l'exécution du dernier juge.

Et "Os de Lune" bouleversante, poignante, dont la fin m'a émue aux larmes.
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Femmes de rêve, bananes et framboises

Ne vous fiez pas uniquement à la couverture légère et au titre énigmatique de ce recueil de nouvelles ou vous risqueriez de laisser de côté, pour une mauvaise raison, une lecture des plus poignantes.





Poignante parce que Simonetta Greggio sait comme personne évoquer le sentiment amoureux et ses paysages ensoleillés, ses orages, ses tempêtes, ses cataclysmes en narrant ses élans, ses transports, ses folies mais tout autant ses peines, ses larmes, ses chagrins et la solitude qu'il laisse quand la tornade est passée.



A l'opposé, cette écrivaine sait aussi parler de la mort, du passage que mourir représente, de cette mort qui nous entoure finalement à chaque moment, avec l'absence de ceux qui nous ont quittés, avec ceux qui sont en train de partir.

Qu'on décide de la fuir, qu'on l'accepte comme compagne de route, elle est toujours présente, ou qu'elle soit imposée par certains à d'autres comme un atroce miroir de l'avenir qui n'existe plus.



Et finalement, Amour et Mort ne sont-ils pas les deux piliers de nos existences : que faire sans amour, comment vivre sans aimer ou être aimé, quelles barrières ce sentiment permet-il d'abattre, quelle main fait-il se tendre, quel courage insuffle-t-il ? Et quand tout s'éteint, que l'Amour n'est plus, pour une raison ou une autre, dans quel état de délabrement, d'incertitude, de solitude laisse-t-il, quel abîme ouvre-t-il sous les pas ? "Une petite mort" qui présage de celle que tous les hommes croiseront, de celle que chacun côtoie en la refusant, en la niant, en l'idolâtrant ou en la craignant.





Ces nouvelles content tout cela : la mort et les animaux qui en sont messagers ou prédicateurs, qu'il s'agisse de la leur ou de celle à laquelle ils permettent d'échapper, la proximité de ceux qui ont disparu, du poids de leur souvenir et de la réalité de leur sépulture, le sentiment de sa propre fin, l'Amour incandescent qui n'est plus, celui qui efface les frontières de l'âge et la race, celui qui rend "grand" l'écrivain parce qu'il le vit et que ses mots en flamboient.

Sur une multitude de partitions, sur autant de modes, comme autant de voix qui s'élèvent, ce recueil parle finalement tout au long des pages de deux fondements primordiaux de l'existence. Et, en cela, c'est une lecture pénétrante qui interroge.







Pour citer un écrivain qui visite une de ces nouvelles, en conclusion, quelques mots qui s'adaptent à tout "être" aimé et à toute séparation :



"Lorsqu'on a aimé une femme de tous ses yeux, de tous ses matins, de toutes les forêts, champs, sources et oiseaux, on sait qu'on ne l'a pas encore aimée assez et que le monde n'est qu'un commencement de tout ce qui vous reste à faire."



Romain Gary, Clair de femme.





(Janvier 2022)
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Femmes de rêve, bananes et framboises

Dans cet ouvrage ce sont sept nouvelles que l'auteure nous offre, toutes différentes les unes des autres et traitant de sujets variés mais qui ont en commun le fait de ne pas vraiment faire rêver et pourtant les mots nous emportent et nous font voyager en Italie.

Ces nouvelles parlent d'amour à travers la dureté de la vie comme celle consacrée à un jeune vénitien juif rescapé d'Auschwitz, ou de la mort à travers l'histoire d'un homme face à un problème de concession de cimetière et de ces corps qui ont absorbé tant de conservateurs qu'ils ne se décomposent même plus. Ma préférence est tout de même allée à la nouvelle intitulée "Signor Giudice", la lettre d'un tueur de Cosa Nostra adressée au juge antimafia lui signifiant sa mort prochaine. Malgré ces thèmes sombres la dernière nouvelle est pleine d'humour, il est question d'une femme qui imagine son enterrement notamment ce qu'elle voudrait qui s'y passe et les personnes à inviter.



Certaines nouvelles sont très émouvantes d'autres ne sont pas tout à fait compréhensible, disons que pour ma part je n'ai pas su où l'auteure voulait amener le lecteur, il est toutefois évident que c'est avec une grande tendresse que Simonetta Greggio partage avec le lecteur un morceau de son Italie.
Lien : http://stemilou.over-blog.co..
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Femmes de rêve, bananes et framboises

Un recueil sombre, avec des nouvelles qui sont parfois plutôt des textes dont on ne sait s'ils sont fantasmés ou autobiographiques. Et comme pour L'odeur du figuier, je trouve la 4e de couverture mauvaise. Un livre qui donne surtout envie de retrouver Simonetta Greggio dans ce que j'ai le plus aimé d'elle : La douceur des hommes ou Les mains nues.
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Femmes de rêve, bananes et framboises

Bien que le titre surprenne (intrigue ?) par son aspect léger, insignifiant, le contenu de ce recueil de nouvelles est mordant.

Ainsi, j’ai plongé au cœur de ces histoires savoureuses, singulières, troublantes, parfois cruelles et bouleversantes. « Os de lune » est de loin la plus féroce, et de ce fait, la plus déchirante.

Le tout est rythmé par un style d’écriture délicat et mélodieux.

Laissez-vous empoigner, vous vibrerez.

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Femmes de rêve, bananes et framboises

Des nouvelles bien plus profondes que ce que le titre un peu Chick Lit laisse supposer.

J'ai beaucoup aimé cette écriture élégante et exigeante,

et deux nouvelles m'ont particulièrement séduite : "Os de Lune", bouleversante, et "Femmes de rêve, bananes et framboises" intime et émouvante.
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Femmes de rêve, bananes et framboises

Sous ce titre appétissant et pétillant, tiré des paroles d'une chanson de Paolo Conte ( Onde su Onde) , se cachent sept nouvelles,plus ou moins longues, totalement différentes, traitant de sujets un peu plus lourds et sombres que nous présagent ces mots qui font rêver. Mais ce n'est pas pour autant triste. Avec une prose pleine de sensibilité et de sensualité, teintée d'humour, Greggio aborde les difficultés et injustices de la vie, de la mort,et bien sûr de l'amour.

Certaines nouvelles sont inspirées de personnages réels, comme ce magnifique texte, hommage à Romain Gary (Quelque chose comme du bleu),ou cette lettre adressée au juge antimafia par son futur assassin,membre de Cosa Nostra (Signor Giudice), où elle résume si bien l'imbroglio politique avec la Mafia, dans l'Italie des années 90. Dans d'autres c'est l'intime de Greggio qui se révèle,comme dans la nouvelle qui donne son titre au recueil, où elle nous énumère ce qu'elle voudrait pour son enterrement ,truculent ! -"Voilà ce que je voudrais: des garçons qui se jettent ,nus et gémissants, sur mon cercueil ,des roses blanches par millions tombant d'un avion sur Saint-Germain-des-Prés....Ah oui aussi un prix littéraire posthume.Parce que vivre est une perte de temps quand on écrit, et là, ce serait radical: je n'aurais pas à m'embêter avec le livre d'après"-.

Greggio est une écrivaine italienne, qui écrit en francais avec un style bien à elle plein de verve, C'est son deuxiéme livre que je viens de lire aprés "Étoiles",que j'avais beaucoup aimé, je peux en dire autant pour ce très beau receuil émouvant !
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Femmes de rêve, bananes et framboises

Voici un recueil de nouvelles au titre original tiré d’une chanson de Paolo Conte – et pas n’importe laquelle puisqu’il s’agit de la triste fable d’un homme délaissé par sa belle qu’il voit danser, les yeux dans les yeux, avec un autre que lui. Désespéré, il préfère le naufrage et ses chimères au bonheur qu’elle n’a pu lui donner…

Simonetta Greggio nous prend par la main et nous emmène par monts et merveilles (si, si !) pour sept randonnées originales sur les terres de la mort et de la désolation.

- Une femme qui contemple les yeux d’un poisson mort et pense à son bel amant

- Un vénitien, juif, violoniste, qui rentre d’un camp de la Mort accompagné d’une chienne de garde (c’est d'entre toutes les nouvelles ma préférée)

- Le blues d’un tueur à gages

- Un éditeur, Romain Gary, Cocteau, Malraux et compagnie…

- Une rupture, un Paris-Avignon en TGV et des regrets

- La mort. La vie. Aberrantes l’une comme l’autre, ce qui peut conduite à la folie

- La mort, encore. Mais la nôtre, idéalisée, afin d’éviter le naufrage. Ou, au contraire, pour se porter volontaire tel un Alain Bombard intrépide et audacieux

Vague après vague, ce joli concentré d’amour et de romance grise nous noie dans un océan de mélancolie addictive.
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Huit Nouvelles

Ces nouvelles sont, toutes, très poignantes. Et le fait de réaliser que ces engagements sont très très loin d'être remplis, à quelques années de l'échéance ("8 engagements mondiaux pour 2015") n'arrange rien.

Petit plus pour la déclinaison, particulièrement bien trouvée, du chiffre 8 pour chaque thème (des taillures de crayon pour l'objectif éducation, un nounours pour la mortalité infantile, une femme enceinte pour la santé des mères...).
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L'homme qui aimait ma femme

J'ai été trop occupée à comprendre qui parlait à chaque chapitre (Maria, la femme aimée ?Alexandre le frère choisi et infidèle ? Yann le cadet blessé ? Allis qui raconte leur histoire ?), et un peu noyée dans les nombreuses références aux penseurs en tout genre, pour plonger vraiment dans ce drame amoureux traitant de l'infidélité et du sentiment de possession. La forme m'a gâché le fond et j'ai regretté l'écriture si douce et forte des premiers livres de Simonetta Greggio qui me donnait envie de cueillir chaque phrase. A trop vouloir dire, son propos m'a échappé. Mais je termine le livre en me disant "je le relirai", ce n'est donc pas une si mauvaise lecture...
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L'homme qui aimait ma femme

Profondémenr ennuyeux;je me suis arretée à la page 50 sans avoir trouvé un quelconque inerêt à ma lecture
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L'homme qui aimait ma femme

Je découvre cet auteur avec L'homme qui aimait ma femme, et j'avoue que je suis assez charmée. Simonetta Greggio nous rejoue Jules et Jim et s'en tire plutôt pas mal. Yann et Alexandre sont frères. Le premier est romantique et studieux, le second est libertin et bon vivant. Leur point commun s'appelle Maria. Pendant 40 ans, ils l'aimeront et croiseront le chemin d'autres femmes sans qu'aucune ne parvienne à la remplacer.

Le récit de Simonetta Greggio est dense, bien ficelé et très agréable. Dans un style simple et fluide et en adoptant des points de vue multiples, elle parvient à décrire avec une précision remarquable les sentiments des personnages. Lecteur vit intensément leurs amours, leurs tourments et leurs espoirs.

J'ajouterai tout de même un bémol : le roman est entrecoupé de trop nombreuses digressions sur la vie d'intellectuels, philosophes ou cinéastes, qui n'apportent pas grand chose et alourdissent la narration.

Cette lecture, sans être absolument passionnante, permet de passer un moment très sympathique.



Retrouvez cette critique et bien d'autres sur mon blog
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L'homme qui aimait ma femme

Maria est belle, Maria est douce…

Mais voilà.

Deux frères, Alexandre et Yann, vont croiser son chemin.

Involontairement certes mais n’empêche, ils vont en faire un parcours chaotique.

La belle Maria tombera sous le charme d’Alexandre, séducteur invétéré de tout ce qui porte jupon, l’épousera et lui donnera deux enfants.

Tandis que Yann en romantique dépité, regardera la belle et tentera vainement de l’oublier.

Durant quarante ans, leur histoire constituera le chassé-croisé d’un trio broyé par les sentiments dont Simonetta Greggio d’une plume élégante et pudique fait un roman bouleversant.

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L'homme qui aimait ma femme

Entre Alexandre, le grand frère extraverti et volage, et Yann, le petit frère prodige de la réflexion et de l'étude, une jeune femme Maria, belle et séduisante, qui ne sait choisir entre ces deux extrêmes.

Avec l'homme qui aimait ma femme, Simonetta Greggio nous propose un conte doux-amer sur l'amour. Entre la passion dévorante et l'amour profond et spirituel, lequel apporte le bonheur ? Y a-t-il un véritable et seul bonheur ?

Sur cette question de l'amour, l'auteur lance des pistes de réflexions. On a parfois un peu de mal à saisir ce que recherche Yann, en quête d'absolu, mais on se laisse bien captiver par ce trio romantique qui oscille entre moments de grâce, de trivialité et de tragédie.

En somme, un court roman sur l'amour et ses différentes facettes, doux et amère à la fois !
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