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Citations de Sylvain Ricard (99)


Cette histoire s'inspire d'une réalité d'un autre siècle, pourtant pas si lointain...
Certains l'ont vécue ou l'ont racontée, d'autres témoignent par leurs recherches de cette mémoire tragique :

Darien Georges, Biribi - discipline militaire, éd. du Serpent à Plumes
Kalifa Dominique, Biribi - les bagnes coloniaux de l'armée française, éd. Perrin
Londres Albert, Dante n'avait rien vu, éd. Arléa
Pierrat Jérome et Guillon Eric, Les Vrais, les Durs, les Tatoués - Le tatouage à Biribi, éd. La Rivière

Merci à eux et hommage à tous les indisciplinés.
Les auteurs

liminaire p2
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- Dans quelques jours, une semaine ou deux au plus, tu ne vas plus me reconnaître.
- Qu’est-ce que tu racontes ?
- Ce que je veux dire, c’est que je ne ressemblerai plus à ce que tu connais. Je sens mon corps devenir quelque chose qui n’est pas moi, que je ne veux pas être. Et puis avec les doses de morphine qui augmentent, je vais avoir des phases où moi non plus je ne te reconnaîtrai plus. Ils me l’ont dit. Et ce n’est pas l’image que je veux que tu gardes de moi. Je sais que c’est idiot, que c’est presque de la coquetterie, mais j’y tiens.
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A la folie... Pas du tout !
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En prison, il me semble que c'est ceux qui ne savent pas lire qui sont le plus énervés. La lecture c'est le seul moyen légal d' évasion .
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- Votre épouse a porté plainte contre vous.
- Mon épouse ? C'est absurde !
- Ce n'est pas l'avis du procureur de la République à qui la plainte a été adressée. Plainte qui fait état de "violence volontaire sur conjoint".
- C'est n'importe quoi !
- Une plainte pour violence sur personne n'est jamais n'importe quoi.
- Mais..., ce n'est pas une personne, c'est ma femme.

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SGANARELLE.- Ma foi, Monsieur, avouez que j’ai eu raison, et que nous voilà l’un et l’autre déguisés à merveille. Votre premier dessein n’était point du tout à propos, et ceci nous cache bien mieux que tout ce que vous vouliez faire.
DOM JUAN.- Il est vrai que te voilà bien, et je ne sais où tu as été déterrer cet attirail ridicule.
SGANARELLE.- Oui ? C’est l’habit d’un vieux médecin qui a été laissé en gage au lieu où je l’ai pris, et il m’en a coûté de l’argent pour l’avoir. Mais savez-vous, Monsieur, que cet habit me met déjà en considération ? que je suis salué des gens que je rencontre, et que l’on me vient consulter ainsi qu’un habile homme ?
DOM JUAN.- Comment donc ?
SGANARELLE.- Cinq ou six paysans et paysannes en me voyant passer me sont venus demander mon avis sur différentes maladies.
DOM JUAN.- Tu leur as répondu que tu n’y entendais rien ?
SGANARELLE.- Moi, point du tout, j’ai voulu soutenir l’honneur de mon habit, j’ai raisonné sur le mal, et leur ai fait des ordonnances à chacun.
DOM JUAN.- Et quels remèdes encore leur as-tu ordonnés ?
SGANARELLE.- Ma foi, Monsieur, j’en ai pris par où j’en ai pu attraper, j’ai fait mes ordonnances à l’aventure, et ce serait une chose plaisante si les malades guérissaient, et qu’on m’en vînt remercier.
DOM JUAN.- Et pourquoi non ? Par quelle raison n’aurais-tu pas les mêmes privilèges qu’ont tous les autres médecins ? Ils n’ont pas plus de part que toi aux guérisons des malades, et tout leur art est pure grimace. Ils ne font rien que recevoir la gloire des heureux succès, et tu peux profiter comme eux du bonheur du malade, et voir attribuer à tes remèdes tout ce qui peut venir des faveurs du hasard, et des forces de la nature.
SGANARELLE.- Comment, Monsieur, vous êtes aussi impie en médecine ?
DOM JUAN.- C’est une des grandes erreurs qui soient parmi les hommes.
SGANARELLE.- Quoi, vous ne croyez pas au séné, ni à la casse, ni au vin émétique ?
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Avec ma femme, j'ai décidé qu'elle ne travaillerait pas. Et puis, c'est souvent comme ça quand le mari a une bonne situation. La femme reste à la maison. J'ai largement de quoi subvenir à nos besoins. Alors, pourquoi irait-elle travailler ?
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La ville, la civilisation, le bruit, un choc pour l'enfant sauvage que j'étais.
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Mon enfant, je sais que c’est pour la mère patrie que tu vas donner ta vie, tout le monde ici sait que tu ne reculeras pas, tout le monde ici est fier de toi, ton père est mort, tes frères sont morts, venge nous des hordes fascistes !
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La vie est relative. La mort est absolue.
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Le Ku Klux Klan ? , répond, incrédule, le journaliste. « Vous ne voudriez pas que je condamne un groupe dont je ne connais rien. Il faudrait que je me renseigne », répond M. Trump.
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Les trois quarts des traîtres sont des martyrs manqués.
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L'âme s'élève par la vertu, et s'abaisse par le vice.
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Sois poli en toutes circonstances !
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Je suis hostile à ce procédé.
Avant même que vous ne vous soyez confié à moi, je m'étais demandé si j'avais le droit d'intervenir contre ce procédé...
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Oui, la herse, dit celui-ci, le nom convient. Les aiguilles sont disposées en herse, et puis l'ensemble se manie comme une herse, quoique sur place et avec bien plus de savoir-faire. Vous allez d'ailleurs tout de suite comprendre. Là, sur le lit, on fait s'étendre le condamne.-Je vais d'abord, n'est ce pas, d'écrire l'appareil, et ensuite seulement je ferai exécuter la manoeuvre. Comme cela, vous pourrez mieux la suivre. Et puis il y a dans la traceuse une roue dentée qui est usée;elle grince très fort,quand ça marche;et alors on ne s'entend presque plus;les pièces détachées sont hélas fort difficiles à se procurer,ici Donc,voilà le lit,comme je le disais. Il est entièrement recouvert d'une couche d'ouate; à quelle fin, vous le saurez bientôt. Sur cette ouate, on fait s'étendre le condamné à plat ventre et, naturellement, nu; voici pour les mains, et là pour les pieds, et là pour le cou, des sangles qui permettent de l'attacher. Là, à la tête du lit, à l'endroit où l'homme à plat ventre, comme je l'ai dit,doit poser le visage tout de suite,se trouve cette protubérance rembourrée qu'on peut aisément régler de telle sorte qu'elle entre exactement dans la bouche de l'homme. Ceci afin d'empêcher les cris et les morsures de la langue. Naturellement, l'homme est contraint de prendre ça dans sa bouche, sinon il a la nuque brisée par la sangle qui lui maintient le cou.
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(un blanc à un noir ) : [...] Tu me le paieras ça. Le Klan ne te laissera jamais en paix, tant que toi et toute ta famille ne serez pas branchés en place publique !!

(réponse du noir) : HA HA ! Vous êtes tous des morts en sursis. Les Noirs ont pris les armes !
C'est fini pour vous.
Nous sommes plus nombreux et plus déterminés que vous le croyez. C'est maintenant le temps du Black Power !
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[…] j’imagine que vous vous en doutez, les doses nécessaires à son bien-être risque d’être proches des doses létales tant son corps est fatigué.
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La première fois qu'il m'a giflé...
On n'oublie pas ces choses-là...
Ce sont des souvenirs gravés en dur dans la mémoire.
Je ne m'y attendais pas vraiment. Je n'aurais même pas pu l'imaginer à cette époque.
Ca m'est arrivé d'un coup, brutalement, sans sommation... A l'occasion de ce qui aurait pu rester comme une dispute banale.
Un matin comme les autres...
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Ça sent mauvais. Va falloir prendre les devants.
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