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Critiques de Sylvain Ricard (290)
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Kuklos

Le sujet a beau être important et m'intéresser, je n'ai pas aimé ce récit.



Les actes décrits et la violence sont une réalité, et le fonctionnement du Ku Klux Klan y est très bien montré, tout comme l'embrigadement du fils, qui va suivre les traces de son père.



Le dessin est âpre, tout est sombre, volontairement, et sans espoir.



C'est l'angle qui m'a gênée, le fait que tout soit centré sur la violence, le côté oeil pour oeil, coup pour coup.



J'ai parfois eu l'impression de lire une histoire sur des gangs et non sur la ségrégation raciale dans les années 50.
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Stalingrad Khronika, tome 2 : Deuxième partie

Le premier tome m’a vraiment emballé, la suite est toujours d’un bon niveau mais je reste sur ma faim. Le rythme baisse un peu, et l’intrigue avec la concurrence entre les personnages, les différentes façons de voir les choses, le cynisme de certains, le patriotisme d’autres, prend trop de place sans pour autant surprendre ou créer l’étincelle. Les nombreuses magouilles apportent un côté burlesque et satirique vraiment amusant, mais les personnages se menacent les uns les autres sans arrêt dans ce second tome et ça finit par tourner en rond.



Dommage, j’aurais aimé plus de prises de risques, plus de fantaisie, ce second volet ne comble pas mes attentes, mais globalement, l’ensemble des deux tomes, pour son atmosphère, son graphisme, et son ton d’humour cynique en font une lecture intéressante.
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Stalingrad Khronika, tome 1 : Première partie

D’entrée, le graphisme crée une atmosphère de ville en guerre, tout un travail à coup de surfaces frottées, de coups de pinceau secs et agressifs, un trait vif et naturel, des lumières arides, les illustrations font ressortir la violence du moment. C’est ce qu’il faut pour me mettre dans l’ambiance.



C’est Stalingrad, fin 1942, pendant la bataille qui mit fin à l’avancée des Allemands pendant la Seconde Guerre mondiale. À des fins de propagande, une équipe de cinéma russe est chargée de réaliser un film sur les évènements. Une équipe de bras cassés, un mauvais réalisateur, neveu d’un cadre du parti, un second cinéaste sorti du goulag, un officier chargé du bon déroulement de la mission et un soldat pour les guider dans la ville en ruine. Évidemment, ce tournage ne va pas être simple, animosité entre les personnages, difficultés sous le feu ennemi, mais aussi sous les contraintes militaires et les diverses influences politiques.



La lecture de ce premier tome m’a bien plu, les tensions et les situations sont traitées avec un humour cynique, un peu désabusé, il y a du rythme, des moments forts, et les illustrations servent avec justesse le propos, je m’attaque directement à la suite.
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Virus, tome 3 : Rébellion

J'avais déjà oublié les deux premiers. Enfin, les détails...

Un peu comme nous avons tous oublié le COVID. Enfin les détails...

Pas ceux qui ont été personnellement touchés, directement ou indirectement bien sûr...

Reste donc à lire ce dernier volume, puis à en dire quoi?

Que les dessins sont par moment bizarres, comme bâclés ?

Que le scénario de mutinerie, de sabordages est peu crédible?

Qu'un virus mortel qui disparaît de la circulation, à part le covid, on est sceptique? On se dit que ce ne doit pas être facile de terminer un scénario...

Voilà, uns série s'achève, vous pouvez vous en passer.

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La mort dans l'âme

Un roman graphique très posé pour parler d'une thématique très émouvante et touchante.

Comment vivre nos derniers moments lorsqu'on sait que la fin approche?

Comment accompagner un parent quand on sait qu'il ne nous reste que peu de temps ensemble?

Pourquoi supporter la douleur d'une maladie incurable?

Comment aborder le suicide assisté pour les personnes malades en fin de vie?



On sent beaucoup d'émotion dans les illustrations. le dessin est simple et pourtant si parlant. J'aime les couleurs sépia qui viennent ajoutée de la profondeur aux décors.



Sylvain Ricard (le scénariste) et Isaac Wens (l'illustrateur) ont réussi à passer beaucoup de messages avec un minimum de mots et minimum de détails. On comprend, pourtant, très bien le ressenti de chacun des personnages, sans qu'on nous le verbalise. J'aime les livres où le lecteur n'est pas pris par la main. Où l'on fait confiance à l'intelligence du lecteur.



Un livre nécessaire, même si le sujet est encore souvent tabou.

Un livre qui peut aider quand vient ce moment incontournable, mais auquel plusieurs se refuse à penser.

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Kuklos

Je partage l'avis de Bamileke, qui a bien résumé les défauts de cette BD (la fin un peu trop pathétique selon moi, notamment), mais tout comme lui j'ai été assez surpris de la maitrise du ton !



C'est assez difficile de passer dans le camp des "méchants" (et à cet égard le Klan est franchement dans ce camp) sans en faire trop et les dénoncer comme des vilains pas beau, ou tenter de les comprendre et les rendre attachants. Lorsqu'on parle de personnes qui pendent des noirs et les brutalisent juste pour asseoir une idéologie raciste, il est dangereux de les rendre attachants.



La BD joue parfaitement bien dessus, présentant le Klan comme une grande famille que beaucoup rejoignent par esprit de camaraderie, on sent d'ailleurs le côté rite initiatique et intégration dans un monde d'adulte lors de la cérémonie d'intronisation. Le Klan est aussi un outil politique, un moyen d'asseoir une domination locale dans un pays beaucoup moins centralisé que la France. Cette notion est assez clairement montrée également, rien que par la profusion de magistrats qui en faisaient partie.

En deux parties distinctes (les années 20 avec l'entrée dans le Klan et les années 50 au moment des tensions) nous découvrons les deux facettes du Klan : ce qu'il veut être et ce qu'il est. Une volonté d'être les chevaliers sauveurs d'une civilisation et d'une race, des défenseurs des droits des blancs et tout le tintouin, voila pour le programme. Très réjouissant ! Mais la BD montre aussi dans sa deuxième partie ce qu'il en est vraiment : violence aveugle (le crime prémédité est interdit par les règles du Klan, ce qui m'a surpris), sadisme, tensions entre membres jusqu'aux fausses accusations et tentatives de meurtres par un tiers. Une explosion de violence assez sauvage imprègne la fin de la BD, dans laquelle une sorte de revanche des noirs-américains violentés jusque là se fait sentir. Une revanche sordide et violente, tout autant que l'étaient les actions commises à leurs égards.



La BD se positionne clairement contre le Klan et ses idéaux racistes, mais arrive à nous montrer aussi ce qu'il veut être et ce qu'il est, dévoilant le fanatisme et la peur d'un remplacement (tiens, ça me rappelle un truc), la volonté de faire corps ensemble et de s'investir pour un avenir radieux. Le Klan se veut dans le passé, le présent et l'avenir, ce qui s'est malheureusement confirmé. Bien que n'étant plus aussi grand et puissant qu'il le fut, ce groupuscule subsiste encore par divers moyens et organismes, dont certains ont pu faire parler d'eux récemment.

Finalement, je trouve que la BD utilise parfaitement bien le médium pour faire passer un message. Une dénonciation de ce que c'est, sans jamais tomber dans la facilité. Je suis surpris de la qualité du travail, en bien, et je ne peux que vous la recommander.
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Ni terre ni mer, tome 1

Une histoire de bateau et de copains à la dérive qui s’échouent au pied d’un phare , une histoire de morts qui se succèdent comme dans " les dix petits nègres ", une histoire de mort qui ne le serait pas, le tout dans une ambiance survoltée et décousue.

De dessins et des dialogues en demie-teinte,

Je ne saurais pas la fin car le premier tome ne m’a pas assez enthousiasmé pour lire la suite.
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Clichés : Beyrouth 1990

Je rejoins assez l'avis de Gaston, avec la légère pointe de déception pour ce reportage qui est malheureusement trop peu intéressant à mon goût. Et je me dis que c'est sans doute face à l'ampleur du reportage en bande-dessinée dans ces dernières années, qui a fait que la qualité est apparue de façon nette et que face à cela, les BD dans ce genre là ne sont plus suffisamment attrayantes.

Cette BD n'est pas mauvaise et propose une vision du Liban des années 90 très sincère dans sa démarche : dire ce qu'ils ont vu et ce qu'ils ont vécu. Le souci, c'est que justement ... ça n'est pas grand chose. Et même si on comprend un tout petit peu mieux à la fin de la BD la cristallisation des enjeux autour de ce conflit, je dois bien dire que je n'en suis pas ressorti avec beaucoup de connaissance supplémentaire. Et quand je compare à d'autres BD comme Kobane Calling, les reportages de Sacco ou même ceux de Lepage, je suis bien plus circonspect sur l'intérêt de celle-ci. Dépassée déjà, sans doute, et surtout avec bien trop peu d'apport instructif.



Le dessin est efficace pour ce genre de reportages et colle bien avec l'ambiance, mais je n'en suis pas particulièrement fan. Il est fonctionnel, voila tout.

En gros, une semi-déception : c'est honnête et malheureusement ça ne suffit pas. La BD n'est pas mauvaise, mais de là à dire qu'elle est à lire, je ne le dirais pas. Et ma note reflète cet avis : pas fou, et c'est dommage.
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... A la folie

Voilà une BD vraiment bien faite sur la violence conjugale. C'est un sujet qui reste malheureusement très (et trop) tabou en France, mais qu'on peut voir au détour de certaines oeuvres. Et ici, l'idée est faite de laisser parler un couple sur cette violence. Les deux, pas seulement la femme ou le mari.



C'est ce que j'ai beaucoup apprécié dans cette BD : sans excuser ce qui se passe, la BD essaye de montrer comment on y arrive, comment cela devient possible, puis normal, puis banal. Les auteurs font parler tour à tour les personnages et se tisse le lien qui les unit. Même dans les coups, ils restent un couple amoureux. Et c'est là que se pose le problème.



Cette BD ne propose aucune solution, juste une situation avec tout ce que cela comporte. C'est assez cruel dans son propos, avec une précision chirurgicale de l'alchimie d'un couple et d'une violence. D'ailleurs le dessin renforce ce côté là, en laissant les personnages sous traits animaliers. C'est bien pensé, on n'a alors pas d'individus identifiables, mais seulement des comportements. Cet homme pourrait être n'importe qui, cette femme pourrait être n'importe laquelle.



Je recommande cette lecture, qui a le mérite de remettre une réalité au goût du jour. Attention cependant, ce n'est pas non plus un traité sociologique, et la violence domestique n'est pas toujours ainsi. Il existe autant de façons d'y arriver que de cas. Mais l'on découvre ici comment cela se glisse dans le couple lambda. Monsieur et madame tout le monde qui s'aiment et vivent heureux. Enfin, presque heureux ...
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Fille de rien

Ce type de récit, dans son angélisme moderne, me semble tout à fait à côté de la plaque. Les auteurs peignent (dans une langue assez maîtrisée, il faut leur reconnaître ce talent) les affres d'une famille lyonnaise pendant l'Occupation, dont les quatre frères font des choix différents, allant du maquis à la collaboration, en passant par l'attentisme et le marché noir.

Le souci, c'est que le principal protagoniste est, disons, le collabo, un scientifique heureux que la présence d'un chercheur allemand dans son institut lui permette de poursuivre, et même d'accélérer ses recherches, pour "préparer l'avenir de nos enfants". L'Allemand en question est bien urbain, pas le genre SS. Les résistants, qui évidemment ont tout de brutes avinées. Mais il y a aussi des Allemands pas super cools, et des résistants courageux, tout cela est donc très relatif.

Et pour le dire franchement, ce relativisme est à pleurer. On ne sait quelle opinion des auteurs, publiant en 2007, est la plus navrante. La banalité de trouver des gens bien et des salauds dans tous les camps ? Le manque de perspective absolu sur la résistance ? La justification de certaines formes de collaboration par la poursuite d'autres buts - ici scientifiques ? L'inconscience, il n'y a pas d'autres mots, de ce que pouvait signifier de faire de la recherche sur des drosophiles dans un institut subventionné par le pouvoir nazi ?

Pleurant sur la naïveté, confinant à la lâcheté, de certains auteurs contemporains, on relira plutôt sur les sujets abordés dans cet album Uranus de Marcel Aymé, et le Silence de la Mer de Vercors, pour accéder à de véritables questions morales. Pour se détendre, on pourra ensuite regarder Papy fait de la résistance, je jure que c'est mille fois plus pertinent.









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Clichés : Beyrouth 1990

Une lecture pas trop facile.

On est avec Sylvain et Bruno, deux frères qui partent pour Beyrouth, une ville en guerre.

Ils veulent apporter des denrées sanitaires pour les gens là-bas.

Comment y arrivent-ils?

Leur chemin est parsemé d'embûches.



Je vous laisse découvrir ce roman graphique. Le tout, en noir et blanc.
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Motherfucker, 1ère partie

Un diptyque pour un récit fort au sein du mouvement des black panthers.

Détroit. Michigan. Nous sommes dans les années 60. Vermont Washington, jeune noir plein d’idéaux et de colère, a rejoint le black Panther party, mouvement révolutionnaire-américain, pour faire vivre le « ten point plan », l’un des documents centraux de propagande d’éducation et de recrutement.



Les deux tomes de ce récit sont l’occasion de nous décliner le contenu des 10 points de ce dernier (5 points dans chaque album) tout en suivant le combat difficile, souvent empli d’injustice et de confrontations de Vermont, sa famille et ses amis.



Le dessin en noir et blanc est très réaliste, ajoute un côté sombre au scénario. Pas de sourire dans cette lecture, juste un aperçu d’une époque sombre de l’histoire des hommes.
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Motherfucker, 2ème partie

Un diptyque pour un récit fort au sein du mouvement des black panthers.



Détroit. Michigan. Nous sommes dans les années 60. Vermont Washington, jeune noir plein d’idéaux et de colère, a rejoint le black Panther party, mouvement révolutionnaire-américain, pour faire vivre le « ten point plan », l’un des documents centraux de propagande d’éducation et de recrutement.



Les deux tomes de ce récit sont l’occasion de nous décliner le contenu des 10 points de ce dernier (5 points dans chaque album) tout en suivant le combat difficile, souvent empli d’injustice et de confrontations de Vermont, sa famille et ses amis.



Le dessin en noir et blanc est très réaliste, ajoute un côté sombre au scénario. Pas de sourire dans cette lecture, juste un aperçu d’une époque sombre de l’histoire des hommes.
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Virus, tome 2 : Ségrégation

Suite de la croisière s'amuse. Comme l'histoire tourne un peu en rond (dans l'eau), c'est plutôt la croisière ça use.

Donc le virus est là, île tuatuva.

Heureusement, on ne détaille pas trop la fin des contaminés, cela reste abordable. Graphismes identiques au premier opus, pas d'évolution notable. On assiste à des péripéties internes à l'équipage.

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Virus, tome 1 : Incubation

C'est drôle de lire une bande dessinée de 2019 qui parle de virus mortel échappé d'un laboratoire. Rendons hommage au scénariste qui ne fait pas semblant de croire que ces recherches sur les virus mortels sont destinées à améliorer le sort de l'humanité. C'est donc militaire à la base, pour exterminer les autres et s'en protéger soi-même. Ce virus va gentiment incuber dans un endroit assez confiné, grand public.

Les dessins sont assez réalistes, en noir et blanc, avec une petite touche naïve. Le scénario est devenu intéressant depuis la tite crise du Covid qui marque un jalon dans ce genre de situation.

Le deux est indispensable, rien n'est joué...
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Virus, tome 3 : Rébellion

Troisième et dernier tome pour cette histoire de virus échappé dans un paquebot de croisière.

Le second tome était déjà pas très intéressant mais ce troisième est encore moins palpitant. Je trouve que l’histoire tourne en rond et tente des accroches - les mutins qui prennent le bateau militaire par exemple - mais ça ne rime à rien, on s’ennuie dans la lecture et on l’impression que la fin est bâclée.

Autant les dessins apportaient une touche authentique au récit dans le premier tome, autant lorsque l’histoire devient moins intéressante, les dessins ne font plus effet. C’est brouillon, c’est terne, bref, ça ne colle plus au scénario. Ce troisième tome est le tome de trop (le second aussi) et l’histoire aurait bien plus palpitante et prenante en étoffant juste un peu le premier album. Au lieu de cela, on se retrouve avec un scénario bancale qui se termine… en queue de poisson. Ironie du sort pour une histoire de bateau en dérive !
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Virus, tome 2 : Ségrégation

Tome 2 qui fait la part belle aux réactions des confinés du bateau, la panique commence à se généraliser et les politiques perdent pieds.... les discours et les actes de contredisent.... Encore un reflet d'une situation pas très lointaine....

Toutefois ce tome 2 n'apporte pas grand chose, j'ai tourné très vite les pages car j'ai plutôt eu l'impression de tourner en rond.... J'espère que le tome 3 sera meilleur.



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Virus, tome 1 : Incubation

Si le sujet des pandémies vous intéresse toujours voici une BD qui nous replonge dans les doutes qui nous ont traversés pendant quelques semaines et quelques mois....

Un virus mortel échappé d'un laboratoire se retrouve sur un bateau de croisière rendant celui ci confiné, à la merci des décisions politiques et des secrets bien gardés.... Dans ce tome, on découvre comment est arrivé ce virus, les divers protagonistes se mettent en place.

Un coup de crayon noir et blanc pour ajouter un côté sombre à l'histoire et nous voilà à nouveau dans le marasme des pandémies mais ici le virus est beaucoup plus méchant...

Cette BD a été créée avant le Covid... comme quoi l'anticipation sait prédire le réel....



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Sherlock Holmes : Une étude en rouge

Première rencontre entre Sherlock Holmes et Watson et bien sûr première enquête en duo.



Un premier meurtre va avoir lieu et bien sûr on va appeler Holmes à la rescousse qui va avec plusieurs indices comprendre ce qui c'est à peut près passé et puis va s'en suivre un deuxième meurtres qui va bien évidemment donner à Holmes la résolution de l'enquête.



Et puis dans une deuxième parties du livre on va retourné dans le passé et l'on va vite comprendre que les deux meurtres ont un point en commun avec ce fameux passé.



J'ai bien aimé cette histoire et surtout ce retour dans le temps qui au final nous permet de remettre les pièces du puzzle en place et de comprendre le fin mot de l'affaire.
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Virus, tome 3 : Rébellion

Cette série est sortie à la bonne période, pourrais-je dire, permettant aux lecteurs de prendre plus conscience de cette problématique et de ce que cela peut entrainer par la suite. Virus est une lecture que je vous recommande fortement. Une lecture qui vous amenera à réflechir, tout en vous offrant un divertissement de grande qualité.
Lien : http://www.sceneario.com/bd_..
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