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Critiques de Terry Goodkind (897)
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

J’avais lu ce livre il y a quelques années et je n’avais pas accroché… J’avais abandonné ma lecture… Avec le recul, je pense que je n’étais pas dans le bon état d’esprit pour lire de la fantasy, ce jour là. Je m’étais peut-être forcée, je ne sais pas… Je l’ai mis de côté et j’ai eu envie de le retenter. J’ai bien fait !

Le scénario est très original, j’ai beaucoup aimé. C’est bien écrit, je vivais l’aventure avec les personnages. Il y a du mystère, du suspense. C’est très intéressant et prenant.

J’ai apprécié Richard qui est courageux, honnête, fort et brave. C’est aussi quelqu’un de gentil et juste. C’est quelqu’un de bien auquel on s’attache.

Kahlan m’a un peu agacée à certains moments mais dans l’ensemble, elle est altruiste, forte et courageuse également.

J’ai bien aimé Zedd et Chase, qui sont deux personnages secondaires importants et touchants.

C’est très agréable de voir à quel point ce groupe est soudé. Le lien qui les unit est fort et indestructible. J’ai vécu de bons moments d’émotions grâce à eux.

J’ai énormément aimé cette lecture ! J’aime de plus en plus la fantasy avec ces univers et créatures magiques qui nous transportent vers notre monde et nous permettent de voyager sans bouger du canapé. Je lirais le tome 02 avec grand plaisir.
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..



Premier tome d'une longue série et première quête pour Richard Cypher qui se découvre des dons de sourcier alors qu'il est simple garde forestier. Et première incursion pour nous dans le monde magique de Terry Goodkind.



Je n'ai pas tout de suite accroché à l'intrigue que j'ai d'abord trouvé un peu trop simpliste et convenue. Et puis, petit à petit, je me suis laissée embarquée par les personnages qui se sont avérés bien plus intéressants que l'image qu'ils dégagent aux premier abord.

Alors bien sûr que ça fait un peu too much par moment ce garde forestier, qui semble ne pas savoir que tout un monde magique s'étend autour de lui alors qu'il a quand même appris par cœur le contenu d'un grimoire avant qu'il ne disparaisse dans les flammes. Et cette succession d'aventures dont il sort toujours vainqueur, ça peut en énerver plus d'un. Mais bon, c'est que notre héro doit s'arranger pour rester en vie pendant 15 tomes, il ne faudrait pas trop l'abimer dès le début tout de même !

Je l'ai bien aimé, moi, ce Richard Cypher; tout comme Kahlan que j'ai trouvé plus intéressante sur la fin et Zedd, qui m'a bien fait rire avec ses expressions pour le moins imagées. Le méchant de l'histoire, Darken Rahl, est plus évoqué que réellement côtoyé. Je n'ai pas vraiment eu le temps de m'en faire une idée précise, ce qui n'a rien enlevé à mon plaisir.



Avouons enfin que je ne saurais pas, à la fin de cet opus, expliquer de manière claire l'univers de l'auteur. Je ne parviens pas encore à me représenter la géographique de son monde, sans parler des liens stratégiques et politiques qui le mènent. Mais ce n'est pas bien grave, l'écriture de Goodkind étant tellement immersive que je suis certaine de pouvoir raccrocher le tout quand je plongerai dans le tome suivant.
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La fille sur la lune

C'est un roman avec énormément de scènes de violence. Viols, meurtres, terrorisme. De longues descriptions et qui commencent dés le départ.

L'histoire est pourtant bien imaginée.

Une femme a le don de lire dans les yeux des tueurs et se l'a joue Dexter. Mais un jour, elle se retrouve prise au piège par des terroristes.

Un homme va la croire et l'aider car il connait son don, il reconnait son don. A eux deux, ils vont essayer de déjouer les plans de ces terroristes.

Il y a tellement de scènes violentes que j'ai lu pas mal en diagonale. Trop difficile a supporter dans ce monde où on en voit déjà beaucoup trop.

Je ne me souviens plus comment ce roman a terminé dans ma PAL mais si tous les livres de cet auteur sont écrit de cette manière, il n'y en aura pas d'autres qui viendront s'y ajouter.
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L'Épée de vérité, tome 4 : Le Temple des Vents

Salut les Babelionautes

Avec ce tome 4 de "L'Épée de vérité" de Terry Goodkind, l'auteur n'a rien créé d'original, mais ça se laisse lire.

Cette fois la menace ne vient pas du Gardien, du moins en apparence mais de l'empereur Jagang, celui qui marche dans les rêves.

Comme d'habitude les pires fléaux vont s’abattre sur les Contrées, et Richard aidé de Kahlan va avoir du pain sur la planche.

Leur romance commence un peu a lassé, mais les déboires des autres personnages sauve un peu ce tome par l'Humour, la façon que Zed et Anna arrive a échappé à la mort lors de leur quête pour retrouver le prophète est géniale.

Avec la fin de ce tome, et sa conclusion j'espère que la suite relèvera le niveau de cette Saga.

Merci à Jean Claude Mallé pour son excellent travail de trduction, sans lui et ses confrères beaucoup trop d'oeuvre de SFFF me seraient inaccessibles.
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Les enfants de d'Hara, tome 2 : Les carnass..

Ce deuxième volume des nouvelles aventures de Richard et de Kahlan confirme les constats fait précédemment.



Après avoir été confrontés, d’une manière assez imprévue, à un nouvel ennemi, voici le célèbre duo qui se prépare à affronter une entité qui semble bien décidée à détruire leur monde. Pour l’instant, nos deux héros subissent une intrigue qui se déroule quasi exclusivement au Palais du peuple, du moins juste avant que le dénouement ne tombe et lance de nouvelles perspectives qui seront utilisées… dans le prochain volume.



Comme par le passé, Richard semble totalement dépassé par l’intrigue… du moins ici tout cela n’est qu’apparence, car le protagoniste se révèle bien plus malin que prévu ! L’action est ici au rendez-vous et le lecteur n’a pas vraiment le temps de souffler, tant le programme est chargé. L’écriture est fluide, le style est épuré, débarrassé de ces expressions toutes faites qui ont gâchent tant le plaisir.



Si le rythme est soutenu, il ne laisse guère de place pour les personnages secondaires. En dehors, de quelques exceptions, l’ensemble de la galerie est relégué au rang de faire valoir. Il faudra, bien sûr, voir comment tout cela va évoluer, mais pour l’instant, al complexité n’est pas franchement au rendez-vous.



Comme par le passé, l’auteur se permet des développements qui pourront heurter ceux qui ne pensent pas comme lui. Cette fois-ci, il opte pour une vision assez controversée, presque malthusienne, mais qui pourtant n’est pas en décalage avec notre temps. Tout cela ne devrait pas étonner les fans et il est attendu que tout cela évolue également avec le temps. Du moins en principe.



Bref, ce roman, sans être exempt de déceptions, est meilleur que le précédent et se dévore très rapidement. Sans surprise, il donnera envie de lire la suite, même si celle-ci semble utiliser un lieu commun déjà vu et revu, elle devrait encore accélérer le rythme. Affaire à suivre !
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Les chroniques de Nicci, tome 1 : La Maîtress..

Terriblement déçu par ce roman dans lequel tout est "à l'emporte pièce".

L'intrigue est facile (pour ne pas dire simpliste!) et grossière, digne d'un écrivain débutant et sans talent.



Est-ce bien le même Terry Goodkind qui a écrit "L'Épée de Vérité" ?



Parce que j'ai adoré le style, bien que parfois dérangeant de Terry Goodkind, je ferai l'effort de lire le second tome "Les Chroniques de Nicci : le Linceul d'Éternité".



Mais il faut être honnête, entre les chefs-d'oeuvre qui ont émaillés l'oeuvre principale et ce récent roman... c'est le jour et la nuit !
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

Un très bon premier tome qui donne envie de connaître la suite! Je pense que vue le nombre de critiques positives il est inutile que j'épilogue énormément.



J'ai été très heureuse de me plonger dans l'univers de Terry Goodkind, qui a rempli toutes les promesses qu'il m'inspirait. Je trouve les différents rôles et les différentes magies très bien pensés. On sort des schémas classiques selon moi. Les personnages sont attachants, j'ai une petite préférence pour Zedd.

Après j'ai eu du mal à m'habituer au changement de rythme dans la lecture. Et surtout le passage avec la Mord-Sith m'a un peu mise mal à l'aise. Peut-être une sensiblerie ridicule de ma part. Mais il est vrai que j'ai trouvé ces quelques chapitres plutôt longs au vu de leur contenu. Après je pinaille!

La fin laisse présager une suite intéressante... comme il y a une dizaine de tomes, j'espère que rien ne s’essouffle de trop entre temps. A voir à voir donc!
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L'Epée de Vérité, tome 9 : La chaîne de flammes

Un tome dans lequel il ne se passe pas énormément de choses mais qui est la promesse d'un tome 10 très intéressant . Richard est blessé et s'inquiète pour Kahlan mais personne ne semble savoir qui elle est sauf lui ....Il va passer ce tome a essayer de convaincre ses proches qu'elle existe et qu'il faut se mettre à sa recherche , le tout en étant poursuivi pas un monstre crée par Jagang ! J'ai trouvé qu'il y avait des longueurs et que ça n'avançait pas , d'autant plus que parfois il y a 3 pages de dialogues pour répéter en somme la même idée qu'on avait compris en 2 phrases ....En même temps c'est pas nouveau dans cette série mais là c'est d'autant plus agaçant que l'histoire ne progresse pas vite .

Mis à part ça , c'est toujours un plaisir de s'immerger à nouveau dans le monde du sourcier et là j'ai hâte de lire la suite ,puisque la fin du tome apporte enfin quelques réponses .
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

R I P Terry GOODKIND

1948-2020



Il est toujours difficile de s'immerger dès les premiers chapitres dans l'histoire d'une longue série. Pour des raisons évidentes, car l'auteur doit poser le décor, introduire les personnages et préparer la ou les intrigues. le premier tome de L'Épée de Vérité ne déroge pas à la règle. Mais, avec Terry Goodkind, auteur non conventionnel s'il en est, l'histoire acquiert un bon rythme dès le début.

Ainsi, je crois pouvoir dire sans trop me tromper que les amateurs de Fantasy qui mettront le pied dans cet univers de Fantasy atypique, entreront, pour leur grande majorité, dans un récit riche en nouveautés au regard de la "Fantasy classique", et d'une incroyable intensité.

Les deux principaux personnages que sont Kahlan et Richard, nous font vivre des moments inoubliables. L'incroyable, que dis-je, l'impensable amour qui les lie, dresse le tableau le plus romantique de toute la Fantasy. Entrer dans cette histoire, c'est laisser son coeur entre les mains d'un écrivain qui lui fera éprouver mille émotions, mille tourments, mille réconciliations... ; car Terry Goodkind ne fait pas dans la dentelle !

Son romantisme excessif est tout sauf niais. On peut même dire que son style est violent.

Et son écriture est de nature à créer une véritable addiction.

Dans cette Fantasy et ce premier tome (qui en compte 15, plus 2 avec les préquelles), on retrouve les principaux ingrédients que recherchent les amateurs : la magie, les différentes classes de personnages, un bestiaire effrayant.

Surtout, dans la fantasy de Terry Goodkind, il y a de vraies nouveautés qui la rendent totalement originale et ne la soumettent pas aux règles habituelles.
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L'Épée de vérité, tome 2 : La Pierre des larmes

Challenge Pavés 2015/2016

Challenge MULTI-DEFIS 2016

Item : Un livre de plus de 700 pages (836 pages)



"La pierre des larmes" fut une véritable révélation :

1) Je déteste Richard Cypher/Rahl.

2) Le style de Terry Goodkind est bardant.

3) J'ai bien changé…



Près de 840 pages, un véritable pavé ! Déjà bien lourd dans sa forme, il l'est également dans son contenu. Il faut dire que le personnage principal, à savoir le fameux Sourcier, est un homme sexy doté d'un cerveau pas plus gros qu'un petit pois. D'homme viril, brave et puissant lorsqu'il s'agit d'accomplir sa mission, il se transforme en vilain petit garnement prépubère. Tout simplement insupportable ! Avec un tel personnage, comment ne pas éviter les interminables chapitres que l'on pourrait facilement résumer à des joutes verbales puériles du genre :

" - Richard, tu as le don.

- Non j'ai pas le don !

- Si, tu as le don !

- Non, même pas vrai ! T'es qu'une menteuse !"



Naïf, aveugle, buté, sourd, irréfléchi, stupide, la liste des défauts de Richard est longue. Il a bon cœur, mais ça ne rattrape pas tout le reste. Je comprends bien qu'il s'agit là d'une saga initiatique et que Richard doit apprendre, pendant longtemps, pour devenir l'exceptionnel messie chargé de tout régler. Mais était-il nécessaire de démarrer avec un personnage aussi...con ? Son apprentissage doit-il constamment et nécessairement se faire au travers d'erreurs qu'il commet ? Est-ce si dur pour lui de méditer deux minutes sur "la deuxième leçon du sorcier" avant de la violer trois pages plus tard ?

Au fond, je soupçonne Terry Goodkind d'avoir succomber à une facilité : créer un personnage à l'intelligence limitée pour caresser ses lecteurs dans le sens du poil : "Oui mon petit, tu avais bien deviné que tout ce se passerait comme ça. Bravo, tu es doué !". Eh bien moi, ça m'agace !



Heureusement, Kahlan, louée soit la Mère Inquisitrice, relève le niveau. Archétype de la femme forte, elle se peaufine assez vite au travers de ses doutes et de ses faiblesses internes. Femme dévouée prête à tous les sacrifices pour sauver ceux qu'elle aime, fine stratège, guerrière implacable, inquisitrice désabusée, elle multiplie les visages pour notre plus grand bonheur. Peut-être lui reprocherais-je simplement son cœur de guimauve en présence de Richard où elle devient digne des plus vieux soap opera et telenovela.

Le casting de personnages intéressants capables d'évoluer (bien plus rapidement que Richard) s'étend à Chandalen, sœur Verna, Gratch (oui même lui !) et j'en passe quelques-un(e)s.



Venons-en au style. Dans l'ensemble, l'écriture n'est pas si mal. Ça ne fait pas mal aux yeux c'est un juste un chouïa inégal avec de brusques envolées lyriques qui détonnent légèrement d'avec le reste. Mon plus gros reproche concernant la plume de Terry Goodkind, c'est sa tendance à la répétition. Supporter l'incessant rabâchage de nos héros sous prétexte qu'ils croisent un personnage qui n'a pas eu vent des dernières news c'est vite lassant. Au bout d'un moment la crédibilité du procédé laisse place à du vulgaire remplissage. Je sais pas moi, faites un texto groupé !

Et je ne reparle pas (je vais me gêner !) des trop nombreuses querelles et lamentations de Richard. Je pourrais à nouveau caricaturer d'autres séquences mais ce serait faire preuve d'un mauvais fond (et je ne laisserai pas le sadisme de Goodkind déteindre sur moi ! Non, jamais !).



A plusieurs reprises, je me suis demandé si Terry Goodkind n'avait pas quelques problèmes psychiques à moins qu'il ne partage trop facilement quelques-uns de ses fantasmes avec son lectorat. Après les Mord-Siths SM, voilà les sœurs lubriques ! Aurons-nous droit aux infirmières barbares dans le troisième opus ? Bon, je reconnais que cette fois j'exagère un peu, l'aspect "lubrique" des Sœurs de la Lumière s'estompe petit-à-petit notamment grâce à Verna et la Dame Abbesse.

En revanche, je n'en démordrais pas, le viol est bien trop prégnant ici. Si vous êtes une femme dans cet univers, vous avez 70 à 80% de risque d'y passer un jour ! En fin de compte, les "méchants" ne se cassent pas la tête : "les hommes on les étripe, les femmes, on les viole puis on les étripe". C'est simple, efficace et ça permet de faire des milliers de victimes inutiles dans un roman de 836 pages juste histoire qu'il soit "sombre". Personnellement, je trouve cette violence omniprésente discutable et simpliste. De la violence, d'accord, mais un peu de profondeur et de variations ne font pas de mal. Les automates configurés en mode "je viole, j'étripe, je viole, j'étripe", mouais quoi !



Étrangement, le premier tome m'avait laissé un très bon souvenir. Celui-ci sera en demi-teinte. Partagé entre l'enthousiasme et l'agacement, l'intérêt et l'ennui, ce livre aura pesé de tout son poids pendant un long mois. Pas si étonnant quand on regarde bien la construction de l'intrigue qui oscille entre scènes mémorables et scènes redondantes ou clichées, personnages captivants et héros tête-à-claque, développement interminable des intrigues et conclusion abruptes de celles-ci dans les derniers chapitres, violences prépondérantes et fin à la soupe Disney.

Je suis assez fier d'avoir surmonter les longueurs sans sauter de pages mais je n'arrive pas à me départir d'une certaine déception. "Le Sang de la Déchirure" est déjà couvert de poussière dans ma PAL, je le lirais donc. Pour le reste de la saga, le doute m'envahit subitement...
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L'Épée de vérité, tome 12 : La machine à présages



A lire les précédentes critiques, j'en conclus que tout le monde est à peu près d'accord : malgré le plaisir de retrouver des personnages - impossible de ne pas les considérer comme des copains depuis le temps qu'on les suit ! - ce tome-là serait peut-être le tome de trop. Pourtant, l'idée de la Machine à présages était belle mais aurait demandé à être développée avec plus d'ampleur philosophique. Rien de tel dans ce cycle où l'intérêt n'est sûrement dans l’idéologie de Terry Goodking (plutôt limite) mais bien dans le souffle épique qui nous a poussé à aller jusqu'au bout. Je ne suis jamais réfractaire à retrouver des thèmes familiers de la Fantasy quand l'affaire est menée allègrement, car trop de dérives "originales" tuent parfois l'aventure pour glisser vers un autre genre. En revanche, ce qui m'amuse, c'est que peu de lecteurs ont relevé la fascination SM du dit auteur, serions-nous prudes sur Babelio ? Alors que c'est très tendance tout de même : Anne Rice s'y est aussi essayée en détournant la Belle au Bois Dormant... Hé ! hé ! Fréquentent-ils le même Donjon ces deux-là ? Je fais la mauvaise langue, là... tant pis !
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

Grande inconditionnelle de fantasy, je n'avais encore jamais eu l'occasion de me lancer dans le best-seller de Terry Goodkind, L'Épée de Vérité. Et pourtant, on m'en a parlé en long, en large et en travers, en bien, bien évidemment. Me voici enfin initiée avec ce premier tome intitulé La Première leçon du sorcier.



J'avoue que j'avais un peu peur d'être déçue, étant entièrement sous l'emprise de Raymond E. Feist et de ses fabuleuses Chroniques de Krondor. Je voyais mal comment je pouvais autant m'attacher à une autre série. Et c'est pourtant ce qui s'est passé, dès les premiers chapitres de ce roman. On peut dire que Terry Goodkind a l'art et la manière d'aspirer le lecteur dans le tourbillon de son histoire, avec des personnages bien comme on les aime et charismatiques, une intrigue somme toute banale pour un récit de ce genre, mais extrêmement bien contée, avec ce qu'il faut de révélations pour entretenir notre intérêt, d'aventures pour attiser notre plaisir et d'émotions pour nous faire frémir, à tel point que je me suis demandé comment j'ai pu attendre aussi longtemps pour me plonger dans cette lecture...



J'ai adoré, et bien heureusement j'ai les tomes suivants dans mes étagères (merci mon amoureux), je ne tarderai donc pas à m'y plonger de nouveau, afin de découvrir la suite des aventures de Richard le Sourcier.
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

L'histoire est sympa, mieux que la série, pour ceux qui la connaisse. Et surtout, si on reste dans la comparaison, le personnage de Richard est vraiment plus intéressant dans le livre que dans la série.



L'écriture est parfois un peu lourde, mais dans l'ensemble, le livre ce lit bien. Et l'univers, sans être vraiment innovant, est intéressant. Et les trois personnages principaux sont sympathiques.



Un petit bémol quand même : j'ai trouvé la fin un peu rapide, et l'histoire Kahlan-Richard est parfois un peu trop gnan-gnan (Ouh qu'elle est belle, jamais plus je n'aimerai quelqu'un comme je l'aime).



Mais au final, une bonne lecture, et j'ai hâte de lire la suite, pour avoir des nouvelles des héros...

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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

Je ne l’ai pas fini, trop long et surtout je n’ai rien compris à l’intrigue pleine de clichés et trop de fantasy, trop de personnages, bref, je n’ai pas accroché. Je vais la faire courte, ni l’intrigue ni les personnages ne m’ont plus, les gentils sont gentils et les méchants sont très méchants, la demoiselle est en détresse jusqu’à ce que le héros vienne la délivrer. L’action est constamment présente, les dialogues sont plutôt moyens et beaucoup de recyclage d’autres sagas ou éléments de pop culture sont reprit. Rien de bien captivant à mon sens, c’est mille pages de quêtes basiques, des scènes plutôt limites et l’auteur à l’art pour nous faire croire qu’il va se passer un truc sauf qu’au final non.

Une lecture pas très agréable et dont tout est cliché, les personnages sont un peu bêtes sur les bords, pas sûr que ça plaise aux habitués du genre et pour les néophytes comme moi, c’était franchement chiant, il lui manque une âme à ce bouquin.

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L'Épée de vérité, tome 2 : La Pierre des larmes



J'ai un peu moins aimé ce deuxième tome, qui démarre dans la foulée immédiate du premier opus. Et ce, pour deux raisons. Tout d'abord, Richard m'a agacée pendant toute la première moitié du roman. Je l'ai trouvé trop pleurnichard, à se lamenter sur le fait que Kahlan l'avait trahi, qu'elle ne l'aimait plus, qu'il devait porter à nouveau un collier, et blablabla... Pour un sourcier, vainqueur contre les forces du mal, son attitude relativement puérile ne collait pas à l'image que je m'en faisais. Et ce qu'il me passait par la tête durant tous les chapitres qui lui étaient consacrés était toujours un truc du genre "Mais reprends-toi mon garçon ! Qu'est-ce que c'est que ces jérémiades ?". Ensuite, l'autre raison qui m'a conduite à moins aimer cette première partie est la découpe nette des chapitres entre les protagonistes, séparant les aventures de chacun de manière presque hermétiques. J'aurais souhaité un peu plus de liant.



Par contre, j'ai encore plus kiffé notre ami Zedd. Qu'est-ce qu'il m'a fait rire dans ses pérégrinations avec Adie! Et toujours ce langage fleuri qui m'avait déjà bien plu auparavant. Les chapitres qui leur étaient consacrés étaient du pur bonheur.



Enfin, on a pu mieux entrer dans l'intimité de Kahlan, ce qui a permis de lui donner plus de consistance. Je trouve que ce personnage est pour le moment le plus intéressant de la bande.

Côté univers, j'avais éprouvé des difficultés à bien comprendre la "géographie" des mondes; je dois avouer que de ce côté, ça n'a pas évolué chez moi au contraire, une couche de complexité s'est ajoutée avec ce monde des Soeurs de la Lumière. Cependant, ça n'empêche pas de suivre l'intrigue, il s'agit juste d'un élément qui empêche une immersion totale dans l'univers de l'auteur.



Un petit coup de mou donc pour ce deuxième tome, mais pas bien grave et qui ne m'empêchera pas de lire le suivant.
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Les chroniques de Nicci, tome 4 : Coeur de ..

Ce dernier volet du "spin-off" La Maîtresse de la Mort est, de loin, le meilleur des 4 épisodes. Selon moi c'est parce que Terry Goodkind y multiplie les conflits, et qu'il applique dans ce tome final les mêmes recettes qui ont fait le succès de L’Épée de Vérité. Ainsi, les héros de l'histoire sont séparés et mènent, chacun de son côté, des combats différents qui ont cependant un enjeu essentiel dans l'obtention de la victoire. Chacun est une pièce du puzzle qui se révèle dans les tous derniers chapitres et non pas progressivement. En effet, avec Terry Goodkind, les intrigues se dénouent presque toujours dans les ultimes chapitres et presque brutalement.

Déçu par les tomes précédents, de valeurs inégales, j'avoue que ce quatrième volet m'a fait réviser mon jugement à la hausse sur la série. Cependant, dans l'ensemble je n'ai pas retrouvé dans La Maîtresse de la Mort le style des premières heures qui m'avait rendu complètement addict. Je fais malheureusement le même constat en ce qui concerne la série Les Enfants de D'Hara (autre "spin-off" de L’Épée de Vérité).

Dans les écrits "tardifs" de l'auteur, seuls les thrillers fantastiques (Les Sanctuaires du Mal, La Fille sur la Lune) m'ont permis de retrouver cette addictivité perdue. Le style y est percutant, sans aucune lenteur, rapide, "cash" ; quant aux personnages, il s'agit d'héroïnes très attachantes, stéréotypées à l'extrême (en ce qui concerne La Fille sur la Lune), qui sont en permanence dans l'action. Dans ces 2 thrillers Terry Goodkind nous laisse à peine le temps de respirer entre deux combats.

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L'Épée de vérité, tome 10 : Le fantôme du souvenir

J'ai l'impression que je vais encore me répéter dans cette critique du dixième tome de l'Epée de vérité. Je trouve que c'est beaucoup trop long. Enfin, je n'ai rien contre les romans longs quand cela permet d'apporter des qualités au récit. Mais là, l'auteur aurait pu supprimer beaucoup de chapitres sans que cela nuise au récit. Plus ça va et moins j'aime cette saga.
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L'Epée de vérité, tome 3 : Le sang de la déchirure

Salut les Babelionautes

J'ai refermé tard dans la nuit le tome 3 de "L’Épée de vérité" de Terry Goodkind mais je n'ai pas eu le courage de rallumer mon PC pour vous donnez mon avis .

Cet tome , "Le sang de la déchirure", montre encore la stupidité de Richard qui agit avant de réfléchir.

Non content d'avoir déchiré le voile qui interdit au Gardien de conquérir les Contrées, et bien qu'il l'ait refermé ,dans ce récit il va prendre une décision qui mettra les en péril devant une race créée par magie.

Dans ce tome l'action est omniprésente, et a suivre les différents protagonistes, on se demande comment Richard va s'en sortir.

Très bien traduit par Jean Claude Mallé, ce tome est quand même une fois encore une redite des précédant, alors oui il y plus d'action, mais elle aurait put être évité par un peu plus de réflexion.

Je vais continuer ma lecture par "Le Temple des Vents", en espérant y prendre encore plaisir.
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L'Épée de vérité, tome 2 : La Pierre des larmes

Salut les Babelionautes

J'ai mis un temps fou à terminer ce deuxième tome de "l’Épée de Vérité" et la plume de Terry Goodkind ne donne pas envie de continuer.

Mais je vais quand même le faire, qui a pensé que je suis maso??

Donc nous avons un couple ayant des pouvoirs magiques mais qui se fourrent dans les pires calamités en tachant de bien faire.

Heureusement pour moi, certains passages méritent le détour, tel celui du combat mené par Kahlan, nue sur son destrier, avec des centaines de jeunots aux prises avec leur libido.

Sinon c'est des poncifs de la Fantasy que beaucoup d'Auteurs ont employés et emploieront encore, Terry Goodkind ne sort pas du lot.

La seule chose que j'ai apprécié c'est la Dragonne et le Garn, deux animaux qui auront un rôle crucial dans le récit.

Normalement on apprend de ses erreurs, hors cela n'est pas le cas de Richard, il fait chaque fois confiance aux mauvaises personnes.

Bref !! Je vais continué, histoire de donné une chance à cette Saga, portée aux nues par certain et vouée aux enfers par d'autres.

Au moins toute l'oeuvre n'a eu qu'un seul Traducteur, merci à Jean Claude Mallé pour son excellent travail.
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L'Épée de vérité, tome 8 : L'empire des vaincus

Quasiment 2 ans après le tome 7 , je décide enfin de me remettre à cette saga ! Heureusement pour moi ,l'auteur résume les tomes précédents donc pas de souci pour se raccrocher à l'histoire et reconnaître certains personnages secondaires .

L'histoire de Kahlan et Richard est toujours aussi prenante ,ils sont face à Jagang et les soldats de l'Ordre mais dans ce tome Richard doit régler un problème plus personnel avant de rejoindre la bataille car il est menacé par son propre Don et un poison... Il doit donc se battre pour sa survie .

Une fois de plus ,ce tome se lit tout seul ! Bon par contre une chose m'a chagriné , c'est le discours de Richard face à un peuple qui refuse de se battre : une phrase peut le résumer "parfois tuer n'est pas seulement justifié mais hautement moral ! ". Et pendant des pages et des pages ,il explique qu'il faut assassiner pour triompher . C'est pas vraiment ma philosophie , certes lorsqu'on lit les Abercrombie ,les héros se comportent de la même manière mais ils ne prônent pas le meurtre et ils ont conscience du gâchis.

Bref ceci à part ,je vais continuer à suivre la lutte des d'harans contre l'Ordre parce que c'est tout de même addictif .
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