Terry Goodkind

Au début, le fait de savoir tous nos amis éparpillés m'a vraiment fait un drôle d'effet. Vaguement déçue, c'est donc sans grand enthousiasme que j'ai attaqué ce second volume. Grossière erreur, il est à nouveau géniallissime !



J'ai retrouvé toute la magie du premier tome, aussi bien dans les lieux qu'on nous présente que dans les personnages hauts en couleurs qui interviennent dans le parcours de Richard, Kahlan ou Zedd. On sent une telle cohérence dans tout ce qui se passe, rapport au précédent, un monde en construction, une histoire qu'on raconte, mais pas de celles qu'on invente, de celles qui ont vraiment eu lieu.



Magique. A lire, absolument !

Richard, Kahlan, Cara, Jennsen, Tom, Friedrich, et Betty la chèvre ; après avoir quitté les Piliers de la Création, font route vers le Nord pour retrouver ses troupes et continuer la lutte. Sauf qu'en chemin ils tombent sur Owen, un exilé du peuple des Bandakars. Il demande au seigneur Richard Rahl de l'aider à libérer son peuple " pacifiste " du joug de l'Ordre Impérial qui les prive de liberté... sauf que paradoxalement il empoisonne Richard en guise d'ultimatum de l'antidote contre son aide.



On va découvrir à quel point la philosophie des Bandakars : la majorité qui a tort à raison,  combiné au déni, les condamne à l'esclavage tant physiquement que psychologiquement avec les conséquences de non-assistance à personne en danger et surtout la mise en danger d'autrui, par le fait de ne jamais punir le mal de le laisser prospérer, empirer et condamner triplement leurs victimes. Cette histoire est un parallèle avec les violences quotidiennes qui gangrènent notre existence.



On verra comment c'est quasiment impossible de faire rentrer la vérité dans le cerveau de gens qui vivent comme les 4 singes du déni. (Yeux fermés pour ne pas voir ; oreilles bouchées pour ne pas entendre ; bouche fermée pour ne pas parler en bien ; et la pire, ne pas utiliser son cerveau pour distinguer le mal.)



Mais notre Richard va tenter, car s'il ne réussit pas, le poison, et le don intérieur le tueront. Et cerise sur le gâteau... il y a un sorcier au service de Jagang et transformé par les sœurs de l'Obscurité en Chapardeur : un voleur d'âmes qui commande les forces de l'Ordre qui ont envahi le peuple des Bandakars !





Pendant ce temps-là, en Aydindril, le grand-père maternel de Richard : Zedd et la Dame des Ossements : Adie, ont été capturé par des trous dans le monde. La bataille semble perdue...





Ce huitième tome : l'Empire des Vaincus, était une très bonne suite, et vivement le prochain tome ! :)

Avec ce 5ème épisode se termine la dernière aventure de Kahlan et Richard.

Et, l'auteur s'étant éteint en fin d'année 2020, il n'est, en outre, plus permis d'espérer de poursuivre l'incroyable saga des 2 amoureux.

Il faut dire cependant, que la magie s'était quelque peu ternie depuis la fin de la série principale : L'Épée de Vérité.

Avec Les Enfants de D'Hara, les fans avaient pu toutefois se replonger avec délectation dans leur univers épique qui avait fait les grandes heures de la Fantasy. Mais ce spin-off tout au long de ses 5 tomes a été de valeur inégale. Et malheureusement l'histoire des Enfants de D'Hara connaît une fin "rocambolesque" et presque infantile. le dernier voyage de Richard confine à l'absurde.

Heureusement tout cela n'enlèvera rien aux chef-d'oeuvres que Terry GOODKIND nous a offert pendant de nombreuses années.

Les premières heures étaient les plus délicieuses et le resteront pour toujours.

Merci Terry GOODKIND.

Salut les Babelionautes

Avec ce tome 13, Terry Goodkind continue de martyriser ses Héros, toujours infecté par le cotés sombre de la magie, ils n'ont qu'un seul espoir de survivre.

Mais pour cela ils leur faut rejoindre le Palais du Peuple et plus précisément dans le Jardin de la Vie, permettra a Nicci et Zed de les guérir l'abri du Champ de Force qui le protège.

Mais avant d'y arriver ils auront a lutter contre une magie inconnue d'eux, et des hordes de mort-vivants.

Ce tome ce termine avant leur guérison qui, je pense, arrivera dans le tome suivant, Le Crépuscule des Prophéties.

L'auteur aurait put facilement se passer de plusieurs tomes, mais comme il ne l'a pas fait, il me faut continuer cette Saga pour avoir le mot de la fin.

Encore une fois, je remercie Jean Claude Mallé qui a eu la lourde tache de traduire les quinze tomes qui la compose sans oublier les prequelles et les oeuvres annexes.

Découvert en livre audio, ce qui m'a fait me rendre compte que j'apprécie d'écouter les récits d'histoires vraies (voyage, feel good ou développement personnel) mais pas les fictions. Le manque de concentration, le multiactivités, ne m'ont pas convenu et ont rendu très difficile la plongée dans cet autre monde.

Quant au récit, il y a eu quelques belles découvertes malheureusement suivies de plusieurs heures d'écoute horribles entièrement consacrées à des tortures et des humiliations. Je n'ai vraiment pas passé un bon moment.

Je ne pense pas continuer la découverte de cette saga, j'imagine que le format a beaucoup joué mais pas uniquement car je crains que les suites déploient toujours plus de violence pour attirer le lecteur et ce n'est pas ce que je recherche.

Merci

Salut les Babelionautes

Avec ce tome sept de "L'Épée de vérité" de Terry Goodkind, nous allons suivre un nouveau personnage, Jennsen, la sœur de Richard.

Elle et sa mère se cache depuis toujours, fuyant les tueurs de Darkhen Rahl, dans sa tête résonne une voix dans une langue qu'elle ne comprend pas, sauf un mot "Renonce.

Mais un jour elle tombe sur un cadavre, un guerrier, en le fouillant elle trouve un morceau de parchemin avec son nom écrit dessus.

Aussitôt elle comprend que leur fuite va devoir reprendre, mais n'est il pas déjà trop tard?

Kahlan et Richard sont très peu présent dans ce récit, sauf a la fin, et cela apporte une bouffée d'oxygène a cette Saga.

Car Jennsen a un secret qui pourrait être une arme si le Gardien s'en empare, mais elle ne le sait pas et va contre tout attente, faire le jeu du Gardien.

Merci à Jean Claude Mallé qui a eu la lourde tache de traduire les quinze tomes qui la compose sans oublier les prequelles et les oeuvres annexes.

Une étoile et je suis gentil! Ce livre qui nous est vendu comme un roman de Fantasy est en fait un livre de fétichisme sado maso "Torture et Plaisir" bref si vous cherchez un livre pour pratiquer la masturbation, optez pour celui-là ! Si vous cherchez un vrai roman et pas un porn reportez votre choix... J'aurais rien dis si le plaisir sadique était de quelques pages, mais l'auteur nous abreuve de son fantasme sado maso sur environ 60 pages quand même... Du reste le livre n'est pas totalement à jeter mais pour le principe je met 1/5 car on nous a promis une belle épopée fantastique pas un recueil de plaisir solitaire. J'ai conscience que ma critique va pousser certains à lire ce livre et d'autres à le fuir. Aussi insupportable et excitant que Nymphomaniac.

Avec "Le Peuple-Ciel" (titre français), Terry Goodkind nous offre une très belle nouvelle de Science-Fiction. L'histoire nous replonge à l'époque des premiers amérindiens et constitue un formidable plaidoyer en faveur de la non-violence. L'auteur, au travers de cette histoire merveilleusement bien écrite (en dépit de passages un peu "naïfs" et de quelques "lourdeurs" dans les échanges entre les deux chefs de tribus sur leurs filles), continue à défendre ses positions sur la paix et la guerre entre les individus ou les peuples. On retrouve donc ici des thèmes déjà développés dans les autres romans de Goodkind : tout être vivant doit accepter la violence lorsqu'il s'agit de défendre sa vie ou celle des siens. La non-violence poussée à l'extrême est d'ailleurs "un crime" contre la vie pour l'auteur qui revendique le droit, et même le devoir, à la légitime défense. Cependant, les êtres humains se doivent de cultiver la paix et condamner la violence gratuite. cela constitue également un devoir. C'est l'idée générale ici, et un leitmotiv dans l'oeuvre de Goodkind.

Après la Fantasy (genre où Terry Goodkind a fait ses armes), puis le Thriller-Fantastique , cette incursion dans la SF est une belle réussite, qui marque bien, s'il en était encore besoin, l'originalité, l'indépendance et l'aisance d'écriture, de Terry Goodkind.

Le Peuple-Ciel est un beau conte et une rafraîchissante parenthèse dans l'oeuvre de l'auteur devenu un peu plus "sombre" avec ses romans genre "Thriller-fantastique".

En France, le Peuple-Ciel existe seulement au format "epub" (110 pages).

Décidément le Temps n'épargne rien... pas même les romanciers...

Cette nouvelle série, pourtant ancrée dans l'univers du mythique cycle de "L'Épée de Vérité", est terriblement décevante.

Nicci, personnage prometteur du célèbre cycle, ici la principale héroïne, ne parvient pas à nous faire vibrer.

Terry Goodkind qui n'avait pas son pareil pour faire vivre et donner corps à tous ses personnages, se révèle aujourd'hui incapable d'apporter une réelle profondeur à ses protagonistes, qui pourtant sont tellement "prégnants", attachants et avec une vraie personnalité dans "L'Épée de Vérité" !

Que s'est-il donc passé ?

Fan absolu, depuis les premières heures j'ai appris à mettre de côté les excès d'écriture (nombreux chez Goodkind), j'ai dévoré les 17 tomes du fabuleux cycle de "L'Épée de Vérité", refusant même de faire l'impasse sur les autres romans non "fantasy" ("La Loi des Neufs", "Les Sanctuaires du Mal") que j'ai trouvés excellents (preuve à mon sens que ce n'est pas moi qui ne suis plus "réceptif")... j'ai pourtant dû lutter pour "avaler" les 549 pages de ce 3ème tome que j'appréhendai avec une crainte finalement fondée suite à la lecture des 2 premiers !!!

Heureusement, la nouvelle série que Goodkind publie en parallèle ("Les Enfants de D'Hara"), et qui nous replonge dans l'univers de L’Épée de Vérité (puisqu'elle en est la suite directe) est un petit bijou. On regrettera juste que les 2 premiers opus ne dépassent pas les 160 pages !!!

Terry Goodkind, à mes yeux, n'a jamais été aussi bon que lorsqu'il racontait les aventures de Kahlan et Richard... alors, diable ! pourquoi ne rajoute t-il pas des aventures au cycle "L'Épée de Vérité" ?

Avec "Les Chroniques de Nicci", il y a de quoi être objectivement déçu :

Nicci, qui durant la guerre contre Jagang, avait le pouvoir d'exterminer des bataillons entiers, de semer l'enfer sur terre, est ici presque tuée par... ses cheveux qui s'enroulent autour d'elle !

Elle est trop souvent épuisée. Dans le Tome 2, elle se fait battre à plate couture par une guerrière (certes protégée contre la magie) qui n'est pas plus magicienne que vous et moi ! Ne maîtrise pourtant-elle pas la magie soustractive (en plus de la magie additive) qui fait des ravages ?

Ce n'est pas Nicci qui devait avoir sa série, mais Cara !

Imaginez : Cara luttant dans le royaume du Gardien avec Zedd à ses côtés... Je pense que les fans seraient "aux anges" !

Et Nathan ! Lui le grand sorcier mystérieux... il lui faudra une greffe de cœur (tome 2) pour recouvrer sa magie !!! Alors finalement, est-ce uniquement là que le don réside ?

Dans "L'Épée de Vérité", à chaque fois qu'un nouveau personnage était introduit, cela ajoutait toujours une tension et une profondeur à l'histoire...

Ici, tous les héros sont... plats. Convenus. Sans surprise. Sans mystère.

Certes, on ne peux nier qu'il y a de l'action ! Et, à ce propos, heureusement l'histoire devient plus intéressante et acquiert un certain rythme dans les 200 dernières pages...

Mais, pour moi du moins, cela ne sauve pas la série !

Comme beaucoup j'ai découvert les aventures de Richard Cypher via la série télévisée.

En découvrant le livre j'avais peur d'être déçu par la série et ou le livre mais finalement absolument pas.

Mes premières craintes était de me retrouver face à un "enfant", ici on est avec un homme qui affiche aussi bien ces forces et ses faiblesses mais essaye d'y palier (exemple l'assassin royal ou Fitz reste souvent dans l'introspection avant d'arriver à avancer).

Ici les personnes font face à leurs bon et mauvais côté tout en essayant de garder en ligne de mire la "mission".

Nous avons ici des scènes qui peuvent être un peu dur à soutenir lors de la lecture rituel de Darken Rahl pour passer dans le monde des morts, lorsque Khalan est rattraper par le quatuor ... , nous retrouvons ici une petite patte à la David Gemmel, ainsi qu'un soupçon de Jack Vance ( dans la nature belle mais dangereuse).



Nous avons ici tout les ingrédients d'un bon roman d'héroic fantasy ajouter au style de l'auteur qui permet une lecture facile et prenante.

J'ai hâte de lire la suite pour découvrir les aventures de nos héros.

Un tome 2 à la hauteur du tome 1. J'ai retrouvé avec plaisir les personnages de l'Epée de vérité. Curieusement j'ai été à la fois mitigée et emballée par ce tome.



Premièrement, j'ai trouvé que l'histoire était très longue. Le point positif c'est qu'elle n'est pas longue dans le sens ennuyeuse vu toutes les péripéties. Mais longue dans le sens où tout semble partir dans tous les sens sans qu'il y ait en apparence un quelconque lien et sans que les personnages principaux aient un rôle déterminant. Du moins au début. Et c'est plutôt frustrant.



Deuxièmement, le fait que les personnages s'éparpillent donne à l'auteur la possibilité de nous familiariser plus encore avec ses personnages. J'avoue que Richard n'était pas un protagoniste renversant dans le tome 1. Ma vision de lui change avec ce tome 2.



Enfin, l'action est partout et ce dès le début. L'auteur nous replonge dans l'histoire avec la suite immédiate du tome 1, sans qu'il y ait eu une petite pause temporelle entre les deux histoires. Ce rythme se poursuit le long des 756 p. sans que l'on devine pour autant la fin et avec des éléments en suspens qui nous donne envie de savoir la suite. Petit bémol sur le fait que Richard semble toujours trouver d'un seul coup la solution adéquate...



Bref une lecture des plus sympathiques. Il me tarde de lire le tome 3.

Kate Bishop voit sa vie basculer dans l’horreur depuis que son jeune frère John, a été retrouvé massacré et énucléé.

La jeune femme découvre grâce à A.J, une femme flic en contact avec John, que celui-ci possédait le don exceptionnel de déceler un tueur en sondant les yeux d’un individu.

D’abord perplexe, Kate doit pourtant se rendre à l’évidence : elle possède le même don doublé d’une aptitude exceptionnelle à visualiser les intentions des tueurs.

Habilité qui la met en danger perpétuel, d’ailleurs les super-prédateurs-chasseurs-de-prime ne tardent pas à entrer dans la vie de Kate et à faire le vide autour d’elle, massacrant un par un tous les recours éventuels.

Dans cette course poursuite contre la mort, Kate peut compter sur Jack Raines, un auteur énigmatique, mélange fascinant et terrifiant à la fois mais qui sera son ange gardien dans ce nouveau monde qui est maintenant le sien.



Difficile d’émettre une critique sur cet opus de Terry Goodkind. Pour ma part, il s’agit de mon premier roman de l’auteur, qui apparemment excelle dans les romans de Fantasy.



D’une part, un thriller sombre et passionnant dans lequel on se bat aux côtés de Kate et Jack pour échapper aux super-prédateurs venus des abysses du Net.



D’une autre part, les interminables dialogues qui ponctuent le récit et cassent littéralement l’intrigue par leur longueur même si les théories avancées sont très intéressantes et méritent qu’on s’y arrête. J’adore la théorie du « gêne du tueur » ancré en chacun de nous car hérité de notre évolution naturelle.



Et pour les fans du Dark Net, je recommande l’excellent thriller « Hell.com » de Patrick Senécal, une plongée dantesque au coeur du Mal virtuel.

Aie aie aie… Je crois que j’ai rarement autant souffert à cause d’un roman de fantasy.



Ce récit m’a fait l’effet d’un ramassis de clichés à peine travaillés : le jeune garçon qui a soudain le monde entre ses mains (et que ça n’a pas du tout l’air de surprendre), le vieux sorcier barbu qui prend le héros sous son aile, la mystérieuse inconnue dont le héros tombe follement amoureux un quart d’heure après leur rencontre…



Au-delà d'un univers sans relief, le scénario m’a semblé bâclé et surtout affreusement prévisible (à chaque page, on sait précisément ce qui va suivre). Le tout se révèle en plus mal écrit/traduit et ponctué de dialogues incroyablement pauvres.



A éviter, donc. Il y a tellement d’autres romans de fantasy à découvrir !

Tout en étant moins dense que le précédent, ce nouvel épisode de la série nous fait vivre des moments intenses, où, comme de coutume chez Terry Goodkind, on craint souvent, bien trop souvent même, pour la vie de Richard et Kahlan. Mais encore, beaucoup d'autres personnages ont dans cette histoire un rôle important, et suivent des quêtes parallèles. Il y a les deux dames Abesses (la nouvelle qui veut rassembler les sœurs encore du côté de la lumière, et Anna avec Nathan qui tente de rejoindre Aydindril), Warren un jeune sorcier qui découvre qu'il est aussi prophète, Gratch le jeune garn sans lequel toute l'histoire aurait pris une autre tournure. Un être étrange, vieux de 3000 ans, fait également son apparition : la Sliph...

Dans ce tome prend forme une critique du fanatisme et de la capacité de l'être humain à se laisser manipuler, à détruire, à asservir et aimer la violence.

La fantasy de Goodkind est une fantasy engagée.

Terry Goodkind n'a pas son pareil pour magnifier les figures féminines, et dans cette préquelle du second Arc de sa série, Magda Searus restera avec Kahlan, le symbole de la femme luttant pour ses convictions, sa vie et la Liberté.

Ce roman est un pur chef-d'oeuvre de fantasy et le style puissant, parfois violent, de Goodkind lui confère une force que l'on retrouve tout au long des épisodes de l'Épée de vérité.

De plus, cet épisode hors-série raconte les événements qui se sont déroulés 3000 ans auparavant qui sont régulièrement évoqués dans les autres opus de la série.

Enfin, ce ne serait pas du Goodkind si l'amour n'était pas au rendez-vous... que les fans se rassurent, il l'est. Magda et Merrit personnifient l'Amour, comme Richard et Kahlan plus tard.

Un premier tome très dense... plus que cela même...

Le petit bémol ( car j'ai décidé de commencer par le seul vrai reproche que j'ai à adresser au bouquin) c'est un démarrage un peu forcé (l'intimité s'installe trop vite entre Richard et Khalan... il l'a connait depuis moins de vingt-quatre heures qu'il devise avec elle avec une amie de longue date).



Sinon l'intrigue est passionnante et assez originale, les personnages sont creusés, méchant comme bons (voir méchant plus que bons)... une mention particulière à Denna, du fait de sa double position.

Le suspense tient jusqu'à la fin, même si certaine révélations fracassantes de dernières minutes sont devinables pour les habitués du genre, et le retournement de situation bien conçu...

Certains détails m'ont rappelé d'autres séries, en particulier l'Agiel et les Mor'Sith qui m'évoque beaucoup des artefact et possesseurs semblables de la Roue du temps ( a'dam et les sul'dam).

Sinon la fin, quoique "finie", ne peut que nous donner envie d'en lire plus... quitte à passer une nuit blanche, je m'y mets dans quelques instant.

Merci à Babelio pour cette nouvelle édition Masse critique !



Une très bonne découverte pour moi de Terry Goodkind !

J'ai adoré ce roman dans lequel on retrouve tous les codes de la fantasy, du héros au passé trouble à l'ami qui en sait trop, en passant par le grand méchant très méchant et la demoiselle en détresse...



Mais la surprise est que ces clichés n'en sont pas puisqu'ils sont bien utilisés et très fouillés par ailleurs, l'intrigue rebondit, retombe sur ses pattes, tout en restant ouverte pour une future suite...



J'avais juste deviné un point (à propos du traitre, mais chut...), bien avant le héros que j'ai trouvé assez gourde pour ce coup, et j'ai trouvé que le comportement de Kahlan était incohérent avec ce qu'elle prétendait être (je vois mal comment une femme de sa fonction qui se doit d'être forte en toutes circonstances peut pleurer à tout bout de champ).

Et je n'ai pas aimé non plus que la narration change de personnage, même si c'était très court et que ça a permis de mieux appréhender ce qui se passait.



Mais tout est oublié, car Terry, je t'aime !

Un bon tome dans l'ensemble. Même si il est plus axé sur les manoeuvres politiques , et l'histoire de la contrée d'Anderith, j'ai beaucoup aimé cette suite.

Les nouveaux personnages sont assez intéressant mais ma préférée reste Cara, peu présente dans ce tome. Malgré tout j'ai hâte d'attaquer le prochain.

Dans ce premier tome, on va faire la connaissance de Richard Cypher, guide forestier, qui est parti dans la forêt de Hartland pour retrouver qui a tué son père. Et c’est là qu’il va rencontrer Kahlan et que sa quête va commencer. Il m’a fallu un certains temps pour vraiment rentrer dans l’histoire. Et ce n’est qu’après les 300 premières pages que j’ai vraiment accroché. Au début, j’ai trouvé qu’il y avait quelques longueurs. Le temps que tout se mette en place. Au niveau des personnages, j’ai beaucoup aimé Richard, sa loyauté, son courage, et les épreuves qu’il va endurer aux côtés de Kahlan. Et au milieu de tout cela, leur amour impossible. J’ai bien aimé aussi Chase et Zedd. Et puis le mal en personne : Darken Rahl, il est vraiment très machiavélique, mais j’ai bien aimé les chapitres de son point de vue. En bref, j’ai beaucoup aimé ce premier tome. Même si j’ai eu du mal avec le début, la suite a su me captivée. L’épée de vérité a un univers riche et complexe (le sourcier, les boîtes d’orden, l’inquisitrice …) et il faut un moment pour tout assimiler. Mais j’ai apprécié suivre Richard et Kahlan au cours de leur périple dans les contrées du milieu (peuple d’adobe, shota …) cela dit, le livre faisant tout de même 1003 pages, le temps m’a paru un peu long. Un sourcier, une épée, un amour impossible, et un combat a mené pour un livre de Fantasy passionnant ! Je lirai la suite je pense, mais pas pour l’instant.

Terry Goodkind s'est taillé une réputation assez étrange. En effet, il alterne l'excellent avec l’exécrable. Ce tome 1 le montre particulièrement bien tant certains passages sont magnifiques que d'autres complètements dénoués d'intérêts. Dans l'ensemble, l'histoire est intéressante et ce seul tome aurait pu suffire pour la saga.



Les quelques scènes barbares sont retranscrites comme il se doit et les décors sont également bien décrits. Un bon premier tome
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