Terry Goodkind

Suite des aventures de Kahlan et de Richard.

Après avoir vaincu le seigneur Darken Rahl, Richard et Kahlan partent rejoindre le peuple d'Adobe dont ils sont désormais les citoyens. Ils désirent se marier mais comme dirait Zed "rien n'est facile", Richard tombe sous la douleur d'affreux maux de tête. Puis Kahlan et Richard sont poursuivis par de mystérieuses dames. Que se passe t il? Vont ils pouvoir réaliser leur rêve?



Le deuxième tome est inférieur au premier selon moi.

L'auteur prend des raccourcies, nous avons l'impression d'avoir "louper" quelque chose, qu'une action a dû se passer pendant notre absence, un peu comme si nous avions loupé un épisode.



Toutefois ce n'est qu'un deuxième tome. Il faut que l'aventure se rôde et l'auteur également. Peut être suis également fautive... je dois m'habituer à ce rythme.



Toujours est il que j'ai aimé (et oui ca peut paraître bizarre) mais on s'attache facilement aux personnages.



Vite le troisième tome.

J'ai acheté les 4 premiers tomes de cette saga sur les conseils de mon frère qui avait adoré. Hélas, je le regrette, car depuis des années, la page marquée dans le tome un, à peu près au deux tiers, montre à quel point je n'ai pas accroché. Lourd, trop lent, trop lent, pour moi, il n'y a rien eu à faire, je n'ai pas réussi à avancer.

En général, quand je n'accroche pas dès les 20 premières pages, j'ai beaucoup de mal. Pour la fantasy, je laisse la chance aux bouquins sur bien plus de pages (jusqu'à 300), car je sais que parfois la mise en place est un peu longue, mais là, il n'y a rien eu à faire... La citation que j'ai mise, les premières lignes de ce premier tome, est, à cet égard, fort éclairante, sachant que tout le premier chapitre est du même acabit...

Tant pis...

Quatrième tome , même si dés le début il y a de l'action ,j'ai trouvé la première partie un peu lente et c'est vraiment au milieu de l'histoire que j'étais dedans . Il faut dire que dés le début on connait la prophétie et on a hâte de savoir comment elle va se dérouler . Et on est pas déçu ,je ne m'attendais pas à ça ! C'est ça qui est bien avec cette saga ,il y a toujours des sacrés retournements de situation .

Pour l'instant l'histoire arrive à être toujours aussi originale ,pas de déjà vu et on tremble à chaque fois pour Kahlan et Richard .

Je suis contente d'avoir encore de quoi me régaler avec la suite de leur aventure....à suivre donc !

Goodkind se met à l'urban fantasy, c'est bien là la seule nouveauté...



En changeant de genre, l'auteur n'en profite pas pour se renouveler, bien au contraire et se repose une fois encore sur ses acquis.

Pour, à la fois et c'est ambigüe, le plaisir et le malheur de ses lecteurs ce nouveau roman se base sur le cycle de l'épée de vérité mais l'ensemble à tout de même un sale arrière goût de réchauffé...



"On prend les mêmes et on recommence" aurait pu faire un titre acceptable, tout du moins bien plus honnête !

Le personnage central Alexandre Rahl (et oui) tombe sur une étrange jeune femme venue d'un autre monde : Jax Amnell (oui oui aussi), parce qu'il est désigné par une prophétie (encore) qui le désigne comme le sauveur de son monde où un affreux tyran (là au moins il a trouvé un nouveau nom) menace d'éradiquer toute magie (là moi aussi je me suis étouffée).

Il y a tout de même un bel exploit dans ce roman, Goodkind arrive à condenser sa propre saga de 12 à 1 seul volume... On regretterait presque d'avoir du en digérer autant sur la saga précédente (et surtout les 5 derniers), il aurait pu avertir qu'il fournirait un résumé pour les plus feignants d'entre nous !

Question subsidiaire : peut-on parler de plagiat quand il s'agit du même auteur ?



On se retrouve donc le nez plongé dans une intrigue connue d'avance, le sentiment en sus d'être un peu le dindon de la farce... Je vous passe les incohérences qu'entrainent inévitablement ce mode "condensé" mais sachez que vous ne serez pas épargné.



Reste, et s'en est d'autant plus dommage, que mis à part les défauts qu'on lui connait bien (longueur de certaines réflexions, répétitions à outrance, ficelles un peu grosses...) son écriture s'adapte plus que bien au monde réel et moderne ! Un effort minime sur l'intrigue aurait suffi à faire de ce roman un vrai renouvellement pour Goodkind et le plaisir de ses lecteurs.

Seulement voilà, il a fallu rattacher ce nouvel opus à la saga à laquelle il doit son nom (dans quel intérêt au juste ? on se le demande...) et dont il va finir prisonnier si il poursuit ainsi.

En tout état de cause ce lien est bien trop mal amené, bien mal exploité et le résultat est décevant.



Je ne vous parlerai pas des personnages et de l'intrigue, comme c'est du copié collé de la saga précédemment citée le niveau et le même.

Ce n'est donc pas "mauvais" et un lecteur qui n'aurait jamais lu une ligne de Goodkind prendrait sûrement plaisir à lire ce roman...



Quant à moi je pense en avoir terminé avec cet auteur, c'est la fameuse goutte d'eau comme on dit !
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J'étais assez enthousiaste à l'idée de retrouver Richard et Kahlan pour une nouvelle aventure et aussi un peu sur mes gardes... À mes yeux le tome 11 clôturait parfaitement la saga et j'avais un peu peu du "trop".



Et c'est malheureusement ce qui s'est passé avec ce tome...

Une fois consumé le plaisir de retrouver les deux héros et leur entourage, l'enthousiasme retombe et on ressent tout le poids de la lenteur de l'intrigue, qui disons le clairement est assez ennuyeuse.

Les prophéties ont toujours été source de grands débats et d'esbrouffes philosophiques sur le destin et la liberté au sein de la saga, on se prend ici une belle tartine.

C'est répétitif à souhait.



Déjà dans les derniers tomes on sentait Goodkind essoufflé, faisant appel à des procédés lourdauds et déjà exploités ou encore à des discours assommants. On retombe malheureusement dans ces travers avec les prophéties et cette étrange machine.

Même une fois saisi le fin mot de l'histoire il reste des incohérence perturbantes, l'ensemble est bancal.



La fin n'en est pas vraiment une, puisque le vrai méchant reste encore dans l'ombre. C'est donc sûr il y aura encore au minimum un tome...

C'est triste parce que vraiment j'ai adoré cette saga, elle est vraiment à part et mérite d'être lue mais pourtant j'ai la désagréable sensation de la "suite de trop", d'un auteur qui ne veut pas laisser tomber une recette qui marche et qui fait plus de mal que de bien à son œuvre en s'acharnant ainsi...



Pour autant je lirai aussi le ou les suivants, sans empressement toutefois, on ne lit pas 12 tomes pour s'arrêter et bouder le dernier ;)
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Autant être honnête tout de suite, c'est avec le sentiment d'avoir une corvée à terminer que j'ai entamé la lecture de ce tome. Dans un élan d'enthousiasme au vu des premiers livres de la série, j'ai acheté tous les livres qu'il me manquait d'un seul coup. Allant de déception en déception au fur et à mesure de ma lecture, je n'ai pas eu le courage d'entamer le final. C'est donc un an plus tard que je me décide à en finir.



L'histoire commence avec un rappel de 400 pages dans lesquelles il ne se passe absolument rien. Deux petits évènements viennent troubler cette tranquillité. Six recupère la troisième boîte d'Orden : elle se téléporte dans la forteresse imprenable depuis le début de la série, prend la boîte, et se retéléporte dans son domaine. Tout ça en une page et demi. Bon. S'ensuit quelques pages plus loin une scène d'anthologie dans laquelle Nicci, la Maîtresse de la mort, et une Mord-Sith, experte dans l'art de la torture, dissertent sur la couleur idéale de la robe de nuit de Nicci : blanche ou rose ? La question ne sera pas vraiment tranchée. Le deuxième évènement est la capture de Nicci : trois sœurs de l'obscurité pénètrent dans le palais des Rahl, imprenable depuis le début de la série, capturent Nicci et s'en vont. Tout ça en deux pages. Bon.



Que contiennent donc les 396 pages restantes ? Exactement la même chose que dans les tomes précédents : on disserte de la théorie de la magie, on rappelle que l'Ordre n'est pas particulièrement réputé pour sa bonté, on reçoit des cours de morale, dans des dialogues interminables qui n'apportent strictement rien au récit. On a aussi droit à des matches de Ja'la en intégralité, avec explication des règles et des tactiques utilisées. Arrivé là, on se félicite que Goodkind ait promis que "L'ombre d'une inquisitrice" clotûrerait la série, parce qu'on le sent capable de continuer comme ça pendant une dizaine de livres. Point positif à noter, il semble avoir finalement laissé de côté les scènes de torture et de violence.



Dans les 300 dernières pages, l'histoire avance enfin. Kahlan y reçoit notamment son presque-viol traditionnel. L'intrigue n'est pas mauvaise en soi, mais le rythme était tellement lent et poussif dans les tomes précédents qu'on a l'impression que les évènements sont précipités et bâclés : pour rattraper la longue attente, il fallait mettre la barre très haut. Ceci dit, j'ai trouvé la fin de l'intrigue plutôt intéressante et bien pensée. Je finis la série sur une note assez positive, d'autant que je m'attendais à un naufrage complet.



L'histoire de cette saga aura été assez chaotique : les premiers tomes avaient leurs défauts et ne révolutionnaient pas le genre, mais étaient vraiment agréables à suivre. Tout s'est gâté après le sixième volume. Je me demande encore ce qui a poussé l'auteur à abandonner le monde qu'il avait créé pour s'en servir comme tribune pour sa philosophie de comptoir et sa mauvaise propagande politique.

- Yahhhhhhhhhhhhhhhhhhh, ou es tu femme ? montre toi ou tu tâteras de ma lame...Je suis le sourcier et sorcier de premier choix, je suis l'élue...Pose les armes et rends toi !



- Bon chouchou, t'es mignon, je t'aime bien et tout, mais là j'ai pas envie de jouer... je vais me coucher, donc range moi ce balai tout de suite...



- Mais euh choupette t'avais promis de faire la MORDSITH ce soir...



- Ce soir choupette est fatiguée donc elle jouera pas avec le sourcier, ni avec son bâton...



- pfffffffffff, toute façon c'est toujours pareil...Ma mère a raison, t'es trop une nase....Je me casse...je vais sur Babelio, ils sont plus sympa là bas...



- Qu'est ce tu dis chouchou j'ai pas entendu...



- Je disais : C'EST PAS GRAVE JE T'AIME QUAND MÊME VA...



Salut les copains...

En ce qui concerne l'épée de vérité, c'est carrément dément : des dragons, des sorciers, des magiciennes, des guerriers, des sacrés méchants, des châteaux, des bois, des monstres, des princesses, du cuir moulant, des cheveux longs....Arrrrrggghhhhh....



- Chouchou t'as pas rangé le balai...



- C'est pas le balai choupette... on peut jouer maintenant ....



A plus les copains....

Le 17 septembre Terry GOODKIND s'en est allé.

Il avait 72 ans.

Ce recueil rassemble les 5 tomes du dernier roman de Terry : Les Enfants de D'Hara, écrits et parus en 2019-2020. Dans ce roman, l'auteur, après un détour par le thriller-fantastique (La Fille sur la Lune, Trouble's Child, Crazy Wanda) et la Science-Fiction (The Sky People), revient à ses premières amours et nous ramène auprès de Kahlan et Richard.

Loin d'être du "réchauffé", cette suite directe de l'immense et grandiose oeuvre L'Épée de Vérité, est un vrai régal et replonge les fans de la première heure dans ce riche univers créé de main de maître par un auteur irremplaçable et au style incontestablement addictif.

Ce recueil paraîtra donc à titre posthume et le monde de la fantasy vient de perdre l'un de ses plus talentueux conteurs.

Terry GOODKIND ne laissait pas indifférent.

Sa disparition laisse un grand vide.



RIP Terry GOODKIND (1948-2020 +)

Salut les Babelionautes

Avec ce tome six Terry Goodkind continue de faire des misères a Richard et Kalhan, qui dans le tome précédant a bien faillit y laisser la vie.

Richard est retourné dans son pays et au milieu des forêts ou il exerçait son métier de guide forestier il va essayé de guérir la Mère Inquisitrice.

Mais les armées de l'Empereur sont innombrables et la Guerre est sur le point d'être perdue, car Richard qui c'est retiré des combats est capturé par magie par la Maitresse de la Mort.

Au bout d'un long voyage vers la capitale de l'Empire, il va vivre comme une expérience une vie de labeur, qui malgré les écueils va lui servir pour essayer de renverser l'ordre religieux qui est a la source du pouvoir de Jagang.

Mais le personnage le plus intéressant est Nicci, qu'on avait découverte quand Richard était prisonnier des Sœurs de la Lumière, devenue l'Esclave de l'Empereur, elle va entraîner Richard au cœur de l'ancien monde.

Deux récits se déroule parallèlement, les combats toujours plus violent opposant les deux armées et celui de la fausse vie de couple entre Nicci et Richard.

C'est parfois long et on comprend bien que l'Auteur critique une fois encore le Communisme, mais passons, je vais continuer cette Saga pour en connaitre le dénouement.

Encore une fois merci à Jean Claude Mallé qui a eu la lourde tache de traduire les quinze tomes qui la compose sans oublier les prequelles et les œuvres annexes.

Comme Robin Hoob, après nous avoir promis deux fins de série, Terry Goodking nous propose une nouvelle aventure. Sauf que contrairement à l’Assassin Royal, nous nous retrouvons ici peu de temps après les événements du volume précédent.



Nous retrouvons donc Rchard et Kahlan en train de régner bien tranquillement pendant quelques instants... avant de faire face à une menace qui paraît aussi farfelue qu’inattendue mais qui se révèle finalement bien concrète. Comme par le passé, il va être question d’un ennemi mystérieux, bien décidé à détruire le monde tel qu’il existe à ce moment-là de l’intrigue. Comme par le passé, une entité profite des actions que le Sourcier a dû réaliser pour sauver son monde d’une menace passée.



Autant se référer à la deuxième leçon du sorcier et se dire, que finalement, tant qu'à faire, autant baisser les bras...



Bref, vous l’aurez compris, tout cela à un air de déjà vu assez évident. Et pourtant, il y a ici de quoi se laisser prendre. Le style de l’auteur est toujours aussi fluide, efficace. L’éditeur a mis les bouchées doubles pour nous proposer un bel objet avec une couverture renforcée, un papier de qualité, une illustration réussie… et surtout un format bien plus court que d’habitude (120 pages seulement, cela tient de l’exploit).



Si tout cela se lit agréablement, l’on pourra noter ici et les habitudes et tics d’écriture assez lassants avec des expressions toutes faites (tout simplement, par bonheur et autres phrases toutes faites). Il faut également compter avec des révélations sur ce qui s'est passé avant, ce qui exclue directement les novices. Certaines des idées très arrêtées de l’auteur vont faire leur apparition à certains moments… pas sûrs qu’elles plaisent à tout le monde.



En somme, voici un roman à réserver aux adeptes de l’auteur... du moins ceux qui sont prêts à repartir pour une nouvelle aventure.

Richard Cypher est un jeune garde forestier vivant en Terre d’Ouest, contrée où la magie a été bannie. Son destin se retrouve bouleversé lorsqu’il aide une jeune femme poursuivis par trois hommes. Mystérieuse, elle ne lui révèle que son prénom : Kahlan. Mais décidé à en savoir davantage, il décide de l’accompagner dans sa quête, bien que des créatures malveillantes semblent suivre l’étrangère. Richard est alors loin de se douter que le monde est en train de changer en basculant du côté du mal. Dans ce contexte, il ne pourra compter que sur son vieil ami Zedd …



J’ai beaucoup hésité avant de me lancer dans cette saga. Il faut savoir qu’elle est assez importante puisqu’elle comprend 15 tomes, ce qui peut paraitre assez impressionnant … Mais j’en avais pas mal entendu parler, souvent en bon termes d’ailleurs, j’ai donc eu envie de découvrir à mon tour cet univers fantasy.



Je reconnais que j’ai eu quelques difficultés à entrer dans l’histoire. Et le souci c’est que je ne saurais même pas expliquer pourquoi … Je n’arrivais pas à me sentir concernée ou être captivée par ce début de récit. Pourtant l’intrigue démarre assez vite avec des mystères dès les premiers chapitres mais je ne sais pas … C’est peut-être dû au prénom du héros : Richard ! J’avoue que j’ai été un peu déconcerté par ce choix, je ne m’y attendais pas, étant plutôt habituée à des prénoms originaux dans ce genre littéraire. Mais heureusement, ce sentiment n’a pas duré et plus j’avais connaissance de l’univers, plus j’avais envie de savoir ce qu’il se passerait.



J’ai finalement beaucoup aimé découvrir ce monde, ses secrets et ses problèmes. On y retrouve tout ce qui plait dans la fantasy : de la magie, des créatures merveilleuses (qu’elles soient bienveillantes ou non) et bien sûr une quête pour sauver le monde. Les personnages sont attachants, notamment le trio qui se forme : Richard, Zedd et Kahlan. Richard est un homme qui tente d’accepter au mieux ses nouvelles responsabilités, mais il a des failles, ce qui rend son personnage intéressant. Zedd est un vieux magicien très puissant et touchant dans la relation protectrice qu’il entretient avec Richard. Quant à Kahlan, c’est le personnage que j’ai préféré. Une femme qui cache de nombreux secrets du fait de son statut et de ses pouvoirs. J’ai vraiment aimé l’originalité de son personnage. Évidemment on trouve également un individu maléfique en la personne de Rhal qui est à l’origine de scènes assez violentes et d’actes malsains …



Pendant une bonne partie de l’histoire, c’est principalement Richard que l’on suit. Puis, on note une différence de point de vue mais elle arrive assez tard dans le roman, ce qui est un peu dommage. Je pense que le fait d’alterner davantage entre les personnages aurait peut-être évité quelques longueurs…



Malgré mes bémols et un début difficile, j’ai finalement apprécié ma lecture et la découverte de cet univers. Le récit connait de nombreuses péripéties, révélations et rebondissements. Les évènements s’enchainent avec des scènes qui nous tiennent en haleine. Je serais donc curieuse de découvrir la suite de cette saga !
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Un tome sept dans lequel Richard et Kahlan n'apparaissent qu'à la toute fin ,voilà de quoi innover un peu ! C'est Jensen ,accompagnée du mystérieux Sebastian et Oba qui sont les personnages principaux ,des rejetons du défunt Darkhen Rahl .L’histoire est intéressante mais sans grande surprise. Par contre j'ai beaucoup aimé que l'on bascule dans le camp de l'ordre durant l'attaque d'Aydindril ,voir les réactions de Jagang face à ce que lui réserve Zedd. Il n'a plus l'air si invincible là !

La venue de nouveaux personnages que l'on va retrouver dans les tomes suivants relance un peu la saga et donne envie de lire la suite , même si ce tome sept n'est pas parmi les meilleurs pour moi .

...

Bon ne pas lacher une série en court, ça veux aussi dire lire la fin...

Voilà comment une série qui était très bien, devient décevante à force de pousser toujours trop loin sans jamais vouloir conclure...

Enfin bon on suit l'histoire de Richard post Jit, et la révélation du troisième royaume par le peuple de Stroyza...



Un tome toujours facile à lire bien écrit etc... mais qui devrait être conclu maintenant depuis déjà 2 livres... ça n'avance plus vraiment, l'histoire suit son court avec sont lot de rebondissement de plus en plus fade et prévisible, des personnages qui se répètent au fur et a mesure (on retrouve dans le discourt de Kalan exactement la même chose que celui de Richard quand il est prisonnier de l'ordre impériale...) .



Ha un moment il faut dire stop, et malheureusement Goodkind n'a pas su trouver le bon moment ce qui rend malheureusement cette série décevante...



Et un gros point noir soit à la traduction de Jean claude Mallé soit à l'origine, mais dans le fantastique du genre on ne peut pas se permettre de comparer quelque chose à une aile d'avion alors que les avions n'existent pas...

Je pensais en avoir terminé avec Goodkind suite aux dernières déceptions, preuve que non puisque j'ai craqué pour ce nouveau roman qui lui aussi prend place dans l'univers de l'épée de vérité.



J'ai toutefois attendu de le voir en rayon pour ne pas me faire arnaquer comme avec Dette d'os et comme le roman offrait à la fois une bonne épaisseur et un quatrième de couv' alléchant j'ai succombé !



Et c'est tant mieux au final parce que j'ai apprécié cette lecture qui m'a ramené un peu au plaisir de lecture du début de la saga. Les nouveaux personnages bien qu'évoqués de manière historique dans la saga sont plaisants à découvrir et apportent une certaine fraîcheur.

Au niveau du scénario on sait à quoi s'attendre et ça ressemble à ce que l'on connait, mais pour autant on découvre tout un tas de détails et d'explications qui viennent véritablement enrichir la saga et que j'ai vraiment pris plaisir à découvrir.



A mon sens ce roman n'est donc intéressant qu'à partir du moment où on a lu une bonne part du cycle de l'Epée de Vérité (je dirai les 10 premiers tomes en gros) parce qu'ils apportent des précisions et éléments qui ne prennent de sens que si l'on connait l'univers et l'épopée de Richard et Kahlan.

Sans cela je suppose que ça se lit tout de même bien et que l'on comprend, mais pour le coup ça devient un roman d'aventure fantasy assez "bato" et perd cette valeur ajoutée.



Si on peut redire au niveau de l'intrigue qui reprend un scénario et un schéma déjà bien rôdés par Goodkind, c'est plus satisfaisant du côté des personnages.

Magda est une vraie héroïne et c'est un plaisir de découvrir ce personnage que Goodkind a su rendre humaine et toute en nuance. Le parallèle avec Kahlan est inévitable mais ne vient pas parasiter l'image de Magda pour autant, en somme c'est réussi.



De même on découvre aussi la naissance du conflit avec l'Ancien Monde, mais j'avoue que ça m'a moins passionné que l'enquête au sujet du mari de Magda et que sa relation avec le sorcier de guerre qui devient son allié.



En résumé à la différence de Dette d'os qui n'était que de la poudre (chèrement payée !) aux yeux, ce roman est une vraie préquelle à l'Epée de Vérité et il remplit son rôle : il apporte des éléments de compréhension à la saga, il dévoile des détails intéressants et met en scène des personnages historiques (pour ne pas dire légendaires !) de l'univers de la saga.

C'est donc un pari réussi pour cette fois pour Goodkind même si il faut le reconnaître qu'une fois encore il ne se foule pas trop au niveau des ficelles utilisées et de l'intrigue mise en place...
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Il y a vraiment tout un tas de chose à dire, sur un récit de 985 pages.



Dans un premier temps, même si l’écriture est un peu simpliste, je ne me suis pas ennuyée.



L’univers est très complet, bien décrit, je me suis complètement immiscée dans ce monde, en imaginant parfaitement les chiens-cœurs, les garns, le monde des morts… mais aussi comment il fonctionne. Tout est assez clair et complexe à la fois.



J’ai adoré le personnages de Zedd, qui est bourré d’humour.



Il y a aussi quelques personnages secondaires très intéressants, que ce soit du côté des méchants, que des gentils ! Ils ont une vraie personnalité.



Le passage de la Mord-Sith m’a vraiment surpris. Le personnage de Denna est complexe, detruit, torturé. Un tournant du récit que je n’attendais pas. Notre Héros prend une énorme claque, et évolue de manière considérable.





Alors si parfois la tournure du roman est un peu cliché, ou trop évident, cela ne m’a pas dérangé du tout. :)



J’ai hâte de lire le prochain tome.

Au début, j’avançais plutôt bien dans l’histoire et j’appréciais relativement bien. Mais le fanatisme religieux du dirigeant du sang de la déchirure m’a franchement agacé. Il n’hésite pas à torturer, tuer, violer enfin bref commettre les pires massacres et atrocités au nom de son Créateur. En fait, c’est juste un homme jaloux des pouvoirs que les autres possèdent et que lui n’a pas. Il veut toute la couverture à lui, il veut être le maître du Monde. Il ne fait que se cacher derrière sa croyance religieuse…

Richard a fini par m’agacer également. Je n’ai plus apprécier sa recherche de domination du monde. A des moments, j’ai même cru qu’il devenait fanatique lui aussi. Certains aspects ne sont d’ailleurs pas si éloignés que ça de l’autre personnage. Chacun croit en la totale pureté de ses actes. Je sais que c’est le bien qui affronte le mal mais ne pouvait-il pas le faire sans vouloir dominer le monde ?

J’avais déjà eu du mal à finir le tome 02 que j’avais trouvé long, du coup je me suis arrêtée dans ma lecture et je ne continuerais malheureusement pas cette série. Dommage…

Lors d'une embuscade, Richard a reçu un carreau d'arbalète près de son cœur. Nicci le fait évacuer de la zone pour le soigner. À son réveil ni Cara, ni Nicci, ni Victor ne se souviennent de Kahlan. Même ses traces de pas ont disparu. Elle a complètement disparu des radars, et de l'histoire.

Est-ce qu'un sortilège l'a touchée ? Ou Richard est-il piégé dans un cauchemar ? Est-ce que Jagang a développé ses pouvoirs comme il l'avait fait pour Nicholas le Chapardeur ? Est-ce que c'est Kahlan qui a donné sa vie pour que Richard vive ?



Entre les livres de prophéties qui s'effacent et une prophétie qui annonce la défaite si Richard n'est pas à la tête de son armée lorsque l'armée de Jagang se divisera, ce qui est le cas... Richard va retourner ciel et terre pour retrouver la vie. Car sans l'Amour il n'a plus de raison de se battre, et qu'importe qu'il soit le seul à avoir raison quand tout le monde à tort... Mais personne ne voudra d'un chef qui devient fou, en plaçant son fantasme avant la vie de tout son peuple qui se retrouve abandonnée face à l'Ordre Impérial...





Après avoir convaincu dans les tomes précédents le peuple de Jagang en  Altur'Rang, celui de ses ancêtres, dépourvu de magie : les Bandakar, maintenant il doit convaincre ses plus proches ami.es, alliés qu'il est dans le vrai.



Terry Goodking est toujours aussi doué pour nous embarquer dans ses 640 pages d'une course frénétique contre-la-montre, pour suivre Richard courant de gauche à droite à la recherche d'un fantôme nommé Kahlan.

ALERTE COUP DE COeUR



Clairement cette saga commence fort. J'ai découvert ce premier tome en audio et si on enlève le narrateur qui lit comme une patate (vitesse 1.3 ça passe nickel) j'ai passé un moment incroyable avec tous ces personnages.

Richard Cypher, garde forestier suit son chemin dans la forêt de Hartland jusqu'au jour où une belle inconnue se retrouve en fâcheuse posture. Classique me direz-vous ? Cliché même. Et alors ? Ne vous y trompez pas, cette rencontre marque un tournant dans la vie du jeune homme et une aventure sans précédent commence pour lui dès que son regard se posera sur Kahlan. Qui est cette femme ? Qui sont ces hommes qui en voulait à sa vie ? Que fait-elle ici en Terre d'Ouest elle qui vit au-delà de la frontière, dans les hostiles Terres du milieu ?

C'est à travers une multitude de péripéties que nous apprendrons à découvrir cet univers incroyable. Avec une palette de personnages incroyables, l'auteur nous plonge dans les Terres du milieu avec délectation. Richard tout d'abord, très complet et fédérateur, qu'on suivrait jusqu'au bout du monde. Tout comme Kalahn, l'ultime Inquisitrice, mystérieuse, forte et loyale. Zedd, vieil ermite et plus ancien « ami » de Richard qui ne pense qu'à manger mais qui permettra au jeune homme d'y voir plus clair…parfois^^ Chase, Rachel, Adi, Brophy, Ecarlate et bien d'autres encore Et que serait une épopée fantasy de cette qualité sans un antagoniste. Je dois dire que ce Darken Rahl, tyran au visage d'ange, vous donne froid dans le dos. Sous son calme et sa beauté, se cache un être tout droit sorti du ventre de l'Enfer, abominable bourreau, dominateur et effrayant. Il faudra d'ailleurs penser à avoir le coeur bien accroché en commençant cette saga, certaines scènes de tortures sont très explicites et semblent interminables dans cette ouverture.

En tout cas, je suis absolument sous le charme de cette lecture après la déception de la Roue du temps, j'avoue que je n'ai qu'une hâte, que mon crédit audible arrive pour continuer 😉 Je ne saurais que trop vous conseiller cette quête fabuleuse et vous encourage vivement à rencontrer Richard et ses amis.

Salut les Bableionautes

Avec ce tome quatorze Terry Goodkind continue de faire subir les pires avanies à Kahlan et Richard, mais la il a atteint des sommets.

Dans les tomes précédant ils ont étés Contaminés par la souillure de Jit, leur seul espoir c'est de rejoindre au plus vite le Palais du Peuple, où Zedd et Nicci les guériront à l’abri d’un champ de protection.

Mais comme d'habitude l'Auteur ne leur laisse guère de chance avec la mort d'un des personnages clefs de cette Saga, et bien sur la trahison d'un autre, dont je me méfiais aux vues de son comportement.

Avec la fin de ce quatorzième tome j'en suis a plus de 9000 pages et je ne sais combien d'heure de lecture mais j'en viendrai a bout, car malgré beaucoup de défauts et redites, cette Saga reste agréable à découvrir.

Je ne sais pas comment Terry Goodkind va s'en sortir pour le dernier, qui en rajoutera 360 ce qui fera dépasser la barre des 10 000 a cette œuvre.

Comme d'habitude je tiens a remercier Jean Claude Mallé, sans son travail de traduction, ces 10 000 pages m'auraient étés aussi inaccessibles que du Chinois.

Ensuite je continuerai avec " Les chroniques de Nicci " et " Les Enfants de D'Hara " et j'en aurais terminé avec Terry Goodkind.

Salut Les Babelionautes

Je viens d'en terminer avec ce tome 11 dont je ne voyais plus la fin, et encore une fois Kalhan et Richard vont souffrir, Terry Goodkind n'est pas vraiment tendre avec ses Héros.

La Magie disparaît en même temps que l'identité de Kalhan de la mémoire des personnes qui l'ont connus, sauf Richard, protégé par ce qu'il tenait l’Épée de Vérité quand le sort "La chaîne de flammes" a été lancé.

Mais avant de s'en sortir un peu par miracle, nos deux tourtereaux vont devoir subir les sévices des Sœurs de l’obscurité et de l'Empereur Jagang.

Dommage que se soit si long, l'auteur aurait pus boucler cette Saga en l'amputant de presque la moitié des tomes, car à leur lecture ils n'apportent rien d'essentiel au récit.

Merci à Jean Claude Mallé, qui a assuré la traduction de toute la Saga.