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Critiques de Terry Goodkind (897)
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L'Epée de Vérité, tome 9 : La chaîne de flammes

Salut les Babelionautes

Terry Goodkind n'en fini pas de faire des misères a Kahlan et Richard et cette fois il n'y va pas avec le dos de la cuiller.

Richard a était blessé par un carreau d'arbalète et sa vie ne tient plus qu'a un fil, et quand après une guérison miraculeuse, il s'aperçoit que le souvenir de Kahlan a disparu de la mémoire de tous ceux qui la connaissait, et qu'il n'y a que lui qui s'en souvient.

Mais elle a aussi disparu et Richard sent qu'elle est en danger, aussi allant contre l'avis de tous, il va tout tenter pour la secourir.

Il lui faudra beaucoup de persévérance et aussi de chance pour y arriver, car comment convaincre les autres de l'existence de Kahlan quand on se trouve devant sa sépulture.

J'ai vraiment bien aimé ce tome 9 de " L'Epée de Vérité", hélas il me faudra lire la suite pour en connaitre la conclusion car il se termine sans nous la donner.

Je vais vite ouvrir le tome 10 "Le fantôme du souvenir" sans oublier de remercier Jean Claude Mallé qui a assuré la traduction de toute la Saga, sans lui je n'aurais pas parcouru les 5312 pages déjà lus.

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L'épée de vérité, tome 0 : La Première inquisitrice..

Salut les Babelionautes

Ce roman de Terry Goodkind est une deuxième préquelle a "l'Épée de Vérité" et apporte beaucoup d’éclaircissement sur la création de l'Épée et sur l'Ordre des Inquisitrices qui auront énormément d'importance dans la Saga.

J'avoue qu'à ma première lecture ce sont des questions qui étaient restées sans réponse.

j'aurai du commencé par celui-là avant Dette d'Os qui se déroule chronologiquement après.

Donc nous voila dans l'Univers créé par Terry Goodkind avec deux Royaumes qui s'affrontent avec des armées usant de Sorciers de Guerre.

Magda Searus est l'épouse du Premier Sorcier et elle affronte son suicide sans comprendre la raison qui l'y a poussé.

Elle va entreprendre de découvrir la vraie raison de sa mort, aidé en cela par un message sibyllin qu'il lui a laissé.

Mais très vite elle s'apercevra que des forces ennemies ont entrepris de brouiller les cartes.

Magda n'a aucun don pour la magie, et elle doit s'en remettre a son intelligence pour vaincre.

Après beaucoup de mésaventures en échappant a plusieurs reprises a des assassins elle va trouver de l'aide.

Vraiment un bon récit d'introduction au quinze tomes qui composent "l'Épée de Vérité".

J'ai lu les autres avis postés sur ce livre et je ne suis pas tout a fait d'accord avec certains, pour moi il mérite d'être lu en premier pour mieux comprendre ce qui va arriver dans la Saga.

Merci a Jean Claude Mallé qui a assuré la traduction de toutes la Saga ainsi que des deux préquelle.
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L'Épée de Vérité, préquelle : Dette d'Os

Salut les Babelionautes

J'avais commencé a lire le tome 1 des "chroniques de Nicci" quand je me suis aperçus que c'était la suite de "L'Épée de vérité" de Terry Goodkind.

Les ayant lus a leur sortie dans leur première édition ,et ne m'en rappelant plus vraiment, j'ai décidé de reprendre la Saga en commençant par cette préquelle.

C'est plus une longue nouvelle qu'un roman, le livre ne contenant que 120 pages, mais cela met en place l'Univers que l'Auteur va déployer au long des 19 tomes de la Saga.

On n'y fait connaissance avec Zeddicus Zu'l Zorander, un sorcier puissant, qui lutte avec ruse contre l'Armé de D'Hara.

Zed, c'est son surnom, tout en organisant les batailles, va honoré une dette d'Os, si vous vous demandez ce que cela peut bien être il ne vous reste plus qu'à ouvrir ce livre.

Cette préquelle nous apprend comment dut créée la Frontière séparant les trois royaumes composant cet Univers de Fantasy.

Même si elle n'est pas indispensable, c'est une bonne mise en valeur de Zed, surnommé par les Inquisitrices "le Filou".

Je voulais continué par "La première leçon du sorcier" mais en lisant vos avis j'ai vus que "La Première Inquisitrice. La Légende de Magda Searus" est aussi a lire avant, donc je vais me lancer dans sa lecture.

Merci a Jean Claude Mallé qui a assuré la traduction de toutes la Saga ainsi que les deux préquelles.
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

Le monde de la Fantasy ne serait pas ce qu'il est sans des auteurs de grandes classes et Terry Goodkind avec sa série à succès l’Épée de Vérité a pour moi marqué ce genre apprécié des puristes et des amateurs en tout genre. Richard et Kahlan, personnages principaux de la saga sont justes époustouflants et l'on révérait tous d'êtres ce qu'ils sont (même si tous leurs malheurs on aimerait tout de même les éviter). Je le recommande surtout pour ceux qui aime entrer dans les détails et qui apprécient toute la qualité d'une oeuvre majeure.
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Les Chroniques de Nicci, tome 2 : Le Linceu..

Avec ce 2d tome des "Chroniques de Nicci", Terry Goodkind sort péniblement hors du gouffre de platitude dans lequel, à mes yeux de lecteur assidu, il est tombé avec le tome 1.

Nicci est devenue un personnage ennuyant, et très caricatural des héros féminins de Fantasy.

Sans cesse décrite comme une magicienne au pouvoir dévastateur, ultra-puissante (ce qu'elle est bien dans ses premières apparitions dans "L'épée de Vérité"), elle est dans cette série, qui pourtant lui est dédiée, toujours "perdante" et mise en échec dans presque tous ses combats.

Le mélange puissance-faiblesse est terriblement mal exploité ici.

C'est vraiment frustrant et très étonnant de la part de l'auteur qui a su construire les personnages de Kahlan et Richard... modèles absolus de héros surpuissants, sensibles, et... vulnérables uniquement par accidents.

Nicci, ici, est en permanence décrite comme la plus grande de toutes les magiciennes, et pourtant chaque fois qu'elle se bat elle est mise en échec, si ce n'est battue !

Fan presque inconditionnel de Goodkind, après la lecture de ces 2 tomes j'en viens presque à me demander si cette série est vraiment écrite par l'auteur de "L'Épée de Vérité", tellement le style en est incroyablement plus basique... Bien sûr ce n'est pas le cas, mais sérieusement cette série, jusqu'à présent, est pour moi une mauvaise parenthèse.

Heureusement, la nouvelle série dérivée de "L'Épée de Vérité" dont le 1er tome vient de paraître ("Les Enfants de D'Hara"), est d'un excellent niveau, et nous replonge avec bonheur dans le style Goodkind des premières heures. Le premier tome intitulé "L'Homme Griffonné" est un vrai régal...



Malgré cela, et pour conclure, ce tome 2 des "Chroniques de Nicci", est tout de même d'un niveau supérieur au précédent, et l'histoire est plus riche et mieux construite. La fin est heureusement réussie et donne envie (ouf !) de lire le prochain épisode (tome 3 : "Le Siège de Pierre", avant dernier de la série qui devrait se terminer avec le tome 4 "Heart Of Black Ice").
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

Alors qu'il cherchait une plante dans la forêt, Richard Cypher, un forestier vivant dans la Terre d'Ouest, tombe sur une femme poursuivie par quatre cavaliers. Comme il est altruiste et généreux, il tue les poursuivants et sauve ainsi la belle jeune fille vêtue d'une robe blanche, qui se nomme Kahlan. Pour l'aider, il la conduit auprès de son voisin un peu fou, Zedd et celui-ci lui révèle le but de Kahlan : trouver le Sourcier, un magicien pouvant manier l'Epée de Vérité, une arme magique capable de rendre justice et de sauver le monde, et il se trouve que c'est... Richard ! Celui-ci n'a pas de temps à perdre et doit vite manier ses pouvoirs : car à d'Hara, une lointaine contrée loin de Terre d'Ouest, un despote au doux nom de Darken Rahl veut dominer le monde et pour cela est à la recherche de puissants artefacts pouvant mettre en péril la vie de millions de personnes... Richard, Kahlan et Zedd partent à l'aventure pour combattre le Mal !

Parmi les saga de fantasy, Goodking a une place de choix, sa série littéraire Sword of Truth trust les ventes depuis les années 90 (2000 dans l'Hexagone) et est souvent cité comme un des héritiers de Tolkien. Comme pour Game of Thrones, je voyais pendant des années ses livres dans les rayons et finalement, j'ai décidé de m'y lancer. Et autant dire que le roman m'a rendu confuse. Je peux pas dire que je l'ai apprécié mais je ne peux pas non plus dire que je l'ai détesté. Il contient de bonnes idées et quelques surprises mais les défauts son aberrants.

Commençons : l'histoire est très classique. Le héros vivant isolé du reste du monde qui découvre qu'il est l'Elu d'une prophétie et qui doit partir pour une quête quelconque et contrer un vilain méchant qui veut régner en tyran, accompagné d'un sorcier sage qui en est son mentor et de quelques amis de bon coeur, bla bla bla... bref rien de nouveau sous le soleil. Les péripéties sont donc prévisibles : ils affrontent des ennemis, se perdent, font face à des peuples divers, sont capturés, combattent le méchant... et l'histoire d'amour est tout aussi convenue, dès le premier regard ils s'engagent pour la vie.

Pour autant, même si l'histoire est vu et revu, les réactions de Richard sont tout de même assez réaliste, il s'interroge régulièrement sur sa destinée et éprouve des remords en tuant des gens même s'ils sont maléfiques et veut parfois laisser tomber sa tâche. Et pour rajouter, le monde de l’Épée de vérité est très riche et vaste, avec des créatures assez originales (entre la liane-serpent, le garn, les dragons rouges...), des peuples insolite (j'ai beaucoup aimé le séjour des héros chez le Peuple d'Adobe, des gens qui se disent bonjour en se giflant !) et une magie assez interessante, bien qu'elle ne casse pas trois pattes de canard.

Parlons des personnages ! Certains sont bien trop stéréotypés, bien oui il fallait s'attendre avec un récit simpliste. Richard est le héros trop positif, trop gentil, trop bon, et même s'il a des doutes, il est toujours trop lisse. Quant à son contraire, Darken Rahl... c'est un des méchants les plus CLICHE que j'ai vu dans la fantasy, rien que le prénom est révélateur (Darken, sérieusement ?), plein de vice, qui adore éviscérer des enfants, est méchant jusqu'au bout des orteils, même Sauron et le Ténébreux ont un peu plus de consistance que ça !

En revanche, les autres se distinguent par leur singularité. Zedd est un magicien loufoque, lorsqu'on le voit pour la première fois il est nu comme un ver, rien que ça... en plus d'être excentrique, il a aussi beaucoup de bon sens, et ses raisonnements sont très pertinents. Et Kahlan, une femme au grand caractère qui est beaucoup plus consistance que Richard et qui est une Inquisitrice (les Inquisitrices sont des femmes pouvant soutirer des aveux aux criminels et les réduire en légume... hum, je crois avoir vu ça chez les Aed Sedai...) plus courageuse que Richard. Les autres hélas ont une personnalité de bout de bois, voilà.

L'écriture est certes simple mais très efficace, on ne s'ennuie pas avec son style, d'autant plus qu'il est très descriptif et les descriptions, j'aime ça !

Concernant le livre, ce qui m'a plu c'est également la réflexion autour de l'homme, sur sa nature double de bon comme de mauvais, et surtout sur les masses influencés par les dirigeants, ce qui m'a un peu surprise. On a par exemple des peuples qui sont à la solde du méchant peu crédible certes, qui souffrent, et qui pourtant n'hésitent pas à se mettre à sa confiance, et ce malgré le prix lourd à payer.

Par contre, deux gros points noirs m'ont gâché la lecture, surpassant les défauts mentionnés auparavant :

Déjà, je trouve qu'il y a un déséquilibre dans la tonalité. Je m'explique : la première partie du livre est très naïf, on découvre le monde de Goodking sous un oeil bon enfant, les gentils sont gentils, avec plein de guimauve, bref un début digne de Disney... et puis entre-temps, et surtout dans la seconde partie, on a des atrocités abominables, du sadisme insoutenable, des scènes de carnage, de meurtre, de viol, avec en plus des passages bien tordues qui ne sont pas avare en détail, donc les âmes sensibles doivent s'abstenir. J'aime bien quand on mélange les genres mais là, c'est soit forcé soit incongru.

Et surtout, le moment que tous ceux qui ont lu le premier tome comprendront : le passage de torture, très long, qui vient brusquement, sans apporter une évolution au héros. En plus d'être inutile, il est malsain. Et puis , voilà quoi. Et surtout le comportement de Richard après ce moment, qui est irréaliste au possible !

Et pour finir, les dialogues sont cucul la praline, très niais, tout droit sortie d'une romance pour adolescente, et qui conviennent guère à de la fantasy. En plus de l'importance à l'amour, les paroles m'irritent au plus possible, argh...

Pour résumer, un curieux livre avec quelques thèmes et innovations mais paradoxalement trop classique et usant la violence d'une manière déplacé. Néanmoins je vais me procurer la suite, pour voir si cela s'améliorer où pas...
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Les chroniques de Nicci, tome 1 : La Maîtress..

Je voudrais remercier les éditions Bragelonne et Babelio grâce à qui j’ai remporté ce livre lors de la dernière opération masse critique, ce qui m’a permis de découvrir Terry Goodkind que je n’avais pas encore eu l’occasion de lire. Je ne connaissais pas l’univers de l’épée de vérité et cela m’a un peu gêné dans ma lecture au début, l’auteur reprenant quelques allusions à ce qui s’était passé dans le cycle précédent et surtout au personnage de Richard, héro de l’épée de vérité. Mais, on s’y fait cependant et la lecture s’est avérée fluide.



Le roman a pour personnage principale Nicci,une magicienne et Nathan, un sorcier tous deux déjà présents dans le cycle de l’épée de vérité, mais ne l’ayant pas lu, je ne sais pas à partir de quel tome, ni quel importance ils y avaient. Ils voyagent dans le nouveau monde (notion somme toute assez vague, car il n’y a pas de carte et que l’univers est assez flou pour moi), pour y apporter la bonne parole de Richard (héro du cycle de l’épée de vérité) qui a visiblement vaincu un gros méchant. Leur voyage va s’avérer plus compliqué que prévu et une série de péripéties les attend (sinon on ne serait pas dans une série, ce roman étant le tome 1). Au cours de leurs différentes aventures, ils vont être amenés à rencontrer Bannon, un jeune homme malmené par la vie, qui leur sera d’une aide précieuse. Même si je ne connaissais pas l’univers auparavant, je l’ai trouvé assez classique: il y a des magiciens (très puissants), des guerriers, des dragons, divers créatures surnaturelles, enfin tout ce qu’on s’attend à trouver dans de la fantasy.



Le style de l’auteur est très fluide, les scènes de combat sont très visuelles. Les chapitres sont courts et le rythme plutôt intense, on ne s’ennuie pas une seconde et on tourne les pages sans s’en rendre compte. De ce point de vue, le livre est très réussi et se lit très bien. Cependant, les péripéties s’enchaînent et j’ai eu du mal à voir le fil directeur dans tout ça. C’est un premier tome d’une série (qui je l’espère n’aura pas autant de tomes que le cycle de l’épée de vérité) et donc un tome introducteur mais je me demande bien où tout ça va les mener. Cela peut donner envie de poursuivre la lecture ou au contraire énerver car on ne voit pas bien le but de tout cela.



Les personnages sont travaillés et intéressants mais somme toute assez classiques et on s’attend à leurs réactions, devinant facilement ce qui va arriver. Bannon est de loin, le personnage le plus attachant. Il a été marqué par la vie mais veut avancer avec les moyens dont il dispose et qui ne sont pas ceux de l’héroïne, personnage très, peut être trop, fort. La magie est très puissante dans cet univers et on se demande même si elle a des points faibles, au point que l’on n’a pas vraiment peur pour les personnages car on sait qu’ils s’en sortiront toujours quel que soit le danger à affronter. Entre cela et le côté classique de l’univers, j’ai eu l’impression d’assister à une partie de jeu de rôle racontée par le MJ: vous arrivez dans un village et il y a un problème, que faites vous? OK, il vous arrive cela alors et après que faites vous, Ok alors il se passe ça. Ce n’est pas désagréable en soit mais sans surprise. Peut -être suis je blasée mais je n’ai trouvé aucune originalité ni fraicheur dans ce roman.



Les chroniques de Nicci est donc un roman plaisant qui se lit bien et agréablement avec des personnages attachants et de nombreuses péripéties mais manquant cruellement d’originalité. Il n’a pour moi rien pour faire résonner l’histoire comme dirait un certain Arthur.
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L'Épée de vérité, tome 5 : L'âme du feu

Un mal mystérieux rôde autour de Kahlan et Richard : les personnes meurent de façon étrange : des noyades dans des flaques d'eau, des suicides par le vide (pardonnez l'expression), des immolations par le feu. Que se passe t il?



Richard et Khalan viennent de se marier, ils devraient être heureux et profiter de leurs noces. Pourtant ce n'est cas. En plus de la menace Jagang, ils doivent affronter les Carillons



Aie, le moins bon tome des cinq que je viens de lire. J'adore toujours autant les personnages, j''ai bien aimé l'idée du risque d'un monde sans magie, qu'elle soit bonne ou mal (et encore c'était pas très clair). J'ai trouvé la fin télescopée, bâclée sans aucune ouverture.



Les méchants pour moi n'avaient pas de saveur. Dalton, fin stratège et méchant, devient pitoyable et gentil vers la fin.



Bref je vais passer vite très vite au suivant pour oublier un tome qui ne m'a pas plu du tout.
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L'Épée de vérité, tome 5 : L'âme du feu

Je dois bien avoué que là, j'ai vraiment eu du mal à aller jusqu'à la fin du roman.



Bien que les personnages soient attachants et tout et tout, je me suis vraiment, mais alors vraiment ennuyer. Surtout au début. Trop de blabla, trop de scènes qui ne font pas avancer l'histoire, trop de déballage de sentiments dont on ne voit pas l’intérêt puisque comme d'habitude, ils s'aiment, mais bien que Richard soit le sourcier de "VÉRITÉ", comme d'habitude Kalhan ne le croit pas et c'est reparti pour une séance de blabla.



Heureusement il y a les 2 ou 3 derniers chapitres, où finalement tout ce passe et qui résolvent l'histoire en un clin d’œil pour repartir sur autre chose. Finalement ça s'arrête quand ça commençait juste à devenir bien.

Je suis donc fatalement déçu par ce tome. Trop politique, trop blablatant et trop de rien finalement.

J'espère juste que la suite sera plus passionnante et palpitante parce que le 4eme tome m'avait déjà laissé un goût amer, mais celui là n'arrange rien. A voir...
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L'Épée de Vérité, préquelle : Dette d'Os

Cette préquelle est divertissante, mais pas vraiment essentielle pour la compréhension de la saga. Certes, il est intéressant de comprendre les circonstances de la création de la frontière, de faire connaissance avec un Zedd plus jeune et sa fille. Mais le récit est très court et ne permet pas vraiment à Terry Goodkind de développer l’histoire. Il aurait été intéressant de lire quelque chose de plus long, de plus étoffé, qui parle réellement des origines complètes des Contrées du Milieu.
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L'Épée de vérité, tome 4 : Le Temple des Vents

C'est à ce tome-ci que les choses ont commencé à se gâter...

Les trois premiers relataient essentiellement des scènes de voyage, d'amour et de bataille. Le rythme, quoique parfois décousu, était suffisamment haletant pour que l'on ne s'ennuie pas trop... Ici, c'est très différent. Pas de scènes de chevauchées, de combat, de magie, juste des personnages qui parlent et qui parlent et qui parlent... C'est dans l'ensemble assez barbant.

Le début était pourtant très bon et prometteur : la poursuite dans les souterrains et le combat contre le sorcier possédé m'avaient plu...

Tout a été gâché par Drefan, un personnage tout aussi prétentieux que son demi-frère. Alors que l'on s'attend à un personnage d'envergure, on n'a affaire qu'à un vulgaire remake de Jack l'Eventreur qui ne sait absolument pas masquer les preuves de ses forfaits (à l'instar de l'auteur qui, juste histoire de conter une scène de boucherie, écrit de son point de vue en livrant des détails sans équivoque pour les lecteurs). En gros, un nouveau psychopathe que Richard va noyer sous ses discours de grand défenseur du bien avant de l'écrabouiller en une scène bien gore (qui n'a d'ailleurs pas manqué).

L'idée de la maladie répandue par Jagang était un bon filon, même si Terry Goodkind ne l'a pas exploité de la meilleure manière. Ce n'était qu'une façon de montrer à quel point celui qui marche dans les rêves est un homme méchant...

Le manichéisme, s'il pouvait passer dans les tomes précédents, commence ici à devenir franchement lourd. La peste aurait pu être explotée comme un moyen de retourner la populace contre Richard et le forcer à fuir (ce qui nous aurait fait d'excellents passages.) Au lieu de cela, on ne voit que des personnages qui se lamentent à la recherche d'un temple inexistant.

Ah, et je n'ai pas parlé de Nadine... Une cruche tout juste crédible qui ne sert encore qu'à prouver à quel point Richard est beau et fort. Particulièrement fustrant, d'autant que Goodkind l'introduit avant de la tuer d'une manière tout à fait grotesque.

Terry Goodkind montre néanmoins un talent sûr pour les prophéties biscornues : la réalisation de celle visant Kahlan et Richard a été une réelle surprise, ce qui a quelque peu amélioré mon avis sur ce roman. Les dialogues sont aussi plutôt bons (bien qu'assez mal écrits) et les descriptions bien menées. C'est ce qui m'a poussé à lire la suite.
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L'Épée de vérité, tome 2 : La Pierre des larmes

Ce tome est et restera pour moi le meilleur des onze tomes que compose la série. Tous les éléments sont regroupés pour passer des heures à se laisser enivrer par ces aventures trépidantes.



Après une fin de tome 1 presque idyllique ( Darken Rahl est mort, les boîtes d'Orden refermées, Richard à réussi à déjouer le pouvoir de Kahlan, leur permettant ainsi de vivre leur amour au grand jour... bref tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes!), nous nous demandons, nous lecteur, comment une nouvelle intrigue va se mettre en place, mais surtout si cette dernière va fonctionner autant que la première.

Par bonheur, c'est le cas, et Terry Goodkind nous offre ici une suite digne de ce nom.



ATTENTION SPOILER!!!



Au commencement, nous sommes heureux de revoir nos deux héros dans un climat paisible, loin de la torture, de la magie et des monstres.

Cependant, comme tout histoire qui se respecte, un élément perturbateur vient briser ces petits moments de bonheur.

S'ensuit ainsi le moment le plus déchirant du livre, là ou Kahlan fait croire à Richard qu'elle ne l'aime pas afin de le sauver de son don.

Tout au long du livre, Richard croira dur comme fer d'avoir perdu l'amour de la mère inquisitrice, et nous lecteur, nous ne pouvons que compatir à sa peine et sa colère.

Tout ceci nous conduit à un des meilleurs passages de la série : le moment où Richard provoque délibérément des centaines de sœurs de la lumière (soit des magiciennes qui peuvent carboniser un homme en un simple froncement de sourcil). Juste excellent!

Quant au palais des prophètes, ce lieu me fait rêver... Un grand palais situé sur une île avec des magiciennes chargées de former des sorciers...ou de les tuer! En effet, la conspiration nous fait douter de tout le monde au palais, nous rendant même plus paranoïaque que Richard lui-même.

Bien sûr, certains diront que l'éternel clivage Ombre et Lumière, Gardien du royaume des morts ou Créateur du monde des vivants, est assez cliché, mais ça ne m'a pas du tout gêné.

Après tout, n'est-ce pas ça la fantasy? Des gentils qui se battent contre des méchants (pour caricaturer un peu)?

Enfin j'aimerai parler aussi de la bataille menée par Kahlan, que je trouve juste extrêmement originale, bien détaillée et TRÈS bien écrite. J'aime beaucoup les méthodes non-conventionnelles que l'héroïne utilise pour venir à bout d'une force dix fois supérieure en nombre (chevaucher nue et seule au milieu de millier d'hommes, il fallait oser le faire quand même!).



Bref, j'avais beaucoup de choses à dire sur le tome 2 car c'est incontestablement mon préféré. Non content d'avoir trouvé une nouvelle intrigue, Terry Goodkind a réussi avec brio un miracle de la littérature (et même du cinéma) : faire une suite meilleure que le premier tome.

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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

On peut tout lire sur Goodkind et sa saga, et n'en penser pas moins.



Cette saga commence comme de nombreuses sagas de science-fiction ou de fantasy, Goodkind n'a rien inventé ou réinventé mais il fait de son Richard l'égal des Luke Skywalker, Fitz (R. Hobb) Corwin (R. Zelazny) et autre Simon (T. Williams) : celui qui se pensait un être simple, et se révèle être celui par qui tout arrive ou doit arriver, le sauveur malgré lui, celui qui a des pouvoirs... pourquoi pas ? C'est une entrée classique en fantasy, voir en science-fiction, et de ce côté-là, c'est plutôt réussi bien qu'inspiré de ce qui existe déjà partout.

Le personnage de l'oncle est plutôt bien vu aussi, bien que traditionnel dans ce type d'histoire. Quant au rôle de la "princesse", elle est comme dans tous ces récits : belle, forte, et pleine de caractère.



Alors pourquoi lire ce premier Goodkind ?

parce que bien que le livre paraisse énorme, il se lit comme un roman de plage, simple, et sans détour.

Parce que pour une copie, c'est relativement inspiré, et pas trop mal fait bien que très mal écrit.

Parce que lorsqu'on a lu les suivants, on est bien heureux d'avoir lu le premier et de se dire que "pourtant, c'était drôlement bien parti !!"

Et parce que au final, on rêve toujours de retrouver la "série" qui nous emmènera pour des années, et nous fera saliver en attendant le tome suivant... on peut se laisser tenter deux-trois tomes par celle-ci.

En attendant.
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L'Épée de vérité, tome 2 : La Pierre des larmes

Plus de barbares, plus de guerres, plus de tortures, plus de sang, plus de magie, plus de femmes aux gros seins (si si je vous jure), plus de morales américaines : style puritaine effarouchée en plein jour mais grosse cochonne quand même, je vous laisse imaginer la nuit...



- Pas vrai choupette ?

- Ta GAULE p'tain, je regarde la téloche !



Sinon ce n'est pas mal, voir excellent mais je m'inquiète pour la suite :

un héros méga puissant au second tome, ça donne quoi au dixième ?



Un mec comme moi ?



Ps : bon apparemment Richard rencontrera surement des Égyptiens prochainement...

Que vient faire le mot hiéroglyphe dans sa bouche ?



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L'Épée de vérité, tome 14 : Le Crépuscule des Prophéti..

Richard et Kahlan ont besoin d'aller au Palais du Peuple en d'Hara pour enlever le poison qui les tue petit à petit. Mais sur le chemin il y a déjà Hannis Arc, l'empereur Sulachan et des centaines de milliers de demi-hommes qui s'y dirigent.

La magicienne Irena, trouve la solution, il faut aller à l'opposé, à la citadelle, l'ancienne demeure d'Hannis Arc car à l'intérieur il y a une salle avec un champ de protection.



Leur long chemin va être truffé de rebondissements et de fatigue moral. Car toujours devoir se battre contre le mal pour vivre en paix est épuisant. Cela donne envie d'arrêter, de s'isoler loin des conflits, pour vivre en paix et pouvoir enfin profiter du bonheur trop longtemps inaccessible.



C'est toujours une excellente lecture par Terry Goodkind. Et ce coup de théâtre final qui nous donne l'eau à la bouche pour le dernier de cette saga.

:)
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L'Épée de vérité, tome 7 : Les piliers de la création

De status de femmes favorites du seigneur Darken Rahl, elles sont devenues des parias fuyant sa colère.

Par amour, ces femmes ont gardé leur progéniture, enfant, bâtard d'un tyran qui les avaient mises enceintes puis qui les a rejetés et tentés de les tuer ainsi que ses enfants qui n'avaient pas le don.





Ici, deux d'entre elles ont éduqué de manière différente leur enfant.



Jennsen Dagget, une jeune femme aux cheveux roux, et aux yeux bleus a été élevée dans l'amour, la vérité, et hélas la peur d'être tuée par des quatuors : 4 assassins costauds envoyés par Darken Rahl.

À l'inverse, Oba Schlak, un jeune homme grand et fort aux yeux bleus et aux cheveux blonds, a été élevé par sa mère toxique, qui lui a mis toute sa haine, sa frustration sur lui.



Jennsen, Oba et Drefan, (que l'on connaissait déjà) et les autres enfants n'ayant  pas le don, sont des Trous dans le monde. Ils n'ont pas de magie, mais à la place ils ont une sorte d'anti-magie qui fait que la magie ne leur fait rien. De temps en temps une voix intérieure les appels et leur demande de renoncer...



Jennsen sera aidée par un jeune homme aux cheveux blancs et courts, qui est du côté de Jagang... Hélas et évidemment il va   endoctriner, manipuler par ses mensonges en déformant la réalité Jennsen de son côté, puisqu'elle ne connaît pas la réalité.



Quant à Oba... on sait d'où il a eu son côté psychopathe...





Cette histoire est un peu la réalité et l'inverse du discours qu'a eu Richard face à Du Chaillu  lorsqu'il lui a demandé de garder son enfant issu d'un viol, comme ce fût le cas par rapport à lui et sa mère... Les chiens font des chiens, les monstres engendrent des monstres... même si les parents donnent le meilleur d'eux-mêmes, d'autres agiront comme des géniteurs.trices. L'un comme l'autre, peuvent transformer leurs enfants en des humains bienveillants ou en monstres qui peuvent faire souffrir celles et ceux qui ont été bien éduqués.



Cette histoire concerne les demi-frères et demi-sœurs de Richard Rahl, et ils ont le point commun de vouloir sa mort.

Même si pour une fois Richard n'est pas le personnage principal, ce fût vraiment une bonne lecture dans la suite de la série :)
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L'Épée de Vérité, préquelle : Dette d'Os

Prerequelle qui nous éclairci un peu plus sur l'histoire de Zedd, plus jeune et moins expérimenté. J'ai beaucoup aimé parce que d'une Zedd est mon personnage préféré ( ce livre est l'occasion d'en savoir plus sur lui) et que cela nous explique comment les frontières ont été mise en place (c'est quand même un pilier de l'histoire).
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L'épée de vérité, tome 1 : La première leçon du sorci..

C'était une époque ou je lisais tout ce qu'il y a vait de sagas de fantasy dans les rayons de ma bibliothèque.

Je venais de lier tous les Gemmel dispos ( surtout Drenaï) et les Feist également ( la Guerre de la Faille ).

La comparaison avec ces deux sagas a sûrement influencé ma lecture. Je n'ai pas accroché aux personnages, que j'ai trouve presque caricaturaux dans leurs présentations.... non, ça n'a pas pris.
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Les chroniques de Nicci, tome 3 : Le siège de..

Salut les Babelionautes

En refermant ce tome trois des Chroniques de Nicci de Terry Goodking je me suis aperçu qu'il devait manquer un tome et effectivement il y a un quatrième.

Confrontés a plusieurs menaces, notre trio aura bien du mal a survivre.

D'un coté, une armée qui se réveille d'un sort de pétrification après quinze siècles, de l'autre les esclavagistes qui rêvent de se créer un empire.

Usant de toutes les armes a leur disposition, magique ou non, ils vont les contenir sans pourtant les vaincre.

J'espère que l'épilogue se trouve dans le dernier tome, car je serai frustré si il me faut attendre pour connaitre la fin.

Merci à Jean-Claude Mallé pour la traduction de cette trilogie.
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La fille sur la lune

Terry GOODKIND. La fille sur la lune.



Angela Constantine est une jeune femme d’origine italienne. Elle vit aux États-Unis. Elle travaille dans une boite de nuit, et de plus elle est coursière. Sa mère l’a eu très jeune et mène une vie de patachon. Elle se drogue, boit et à de nombreuses relations avec les hommes. Certains de ses amants ont même abusé de Angela, alors qu’elle était encore une petite fille. Elle trouve une protection auprès de ses grands-parents. Elle ne connaît pas son père ; c’est certainement le fruit d’une relation d’un soir. Elle découvre qu’elle possède un don : reconnaître les prédateurs, qu’ils soient sexuels ou terroristes. Elle peut voir dans leur yeux leurs pouvoirs et les actions qu’ils ont commises. Elle va user de ce pouvoir pour exterminer de nombreux êtres malfaisants, des assassins, des meurtriers.



Ce thriller est haletant. Avec beaucoup de dextérité, Terry Goodking introduit une chasse à l’homme rocambolesque, mais vraisemblable et nous assistons, en direct, comme au cinéma au déroulement des diverses actions, depuis leur élaboration, au sein des services secrets d’Iran, jusqu’à sa résolution aux États-Unis. Grâce au don de Angela, des milliers de morts seront épargnés.



Ce thriller au rythme intense, nous tient en haleine et chaque page nous entraîne sur les divers lieux d’action. Les principaux acteurs sont sur le qui-vive et il n’y a pas de temps morts. Angela détient-elle la totalité des clés pour remettre la justice en marche. De l’action, de la tendresse et même de l’amour. Angela, éprouve un immense amour pour sa mère, malgré ses addictions et son mode de vie.

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L'épée de vérité Tome 1

Au début du livre quel est le métier de Richard Cypher?

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