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Critiques de Theresa Révay (215)
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La louve blanche

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Le Temps des orages

Ce roman est le premier d'une trilogie. Il se sépare en quatre parties qui couvrent grosso modo du début de la première guerre mondiale jusqu'au crash boursier de 1929. Je l'ai trouvé en rabais dans une friperie il y a plusieurs années, et je ne l'aurais probablement jamais acheté s'il ne m'avait pas été recommandé par une collègue de travail. En effet, la quatrième de couverture n'est pas très vendeuse pour moi... On laisse sous-entendre qu'on aura sous les yeux une énième histoire mièvre et tout à fait prévisible, sans surprises...



Ce n'est pourtant pas une histoire bourrée de clichés d'héroïne de romans d'amour, ni un roman prévisible (mis à part pour les événements qui font partie de l'Histoire). On ne ressent aucune affection particulière pour les personnages. Chacun d'entre eux est présenté à nu, sans artifices, autant leurs défauts que leurs qualités. On espère donc du début à la fin que Félicia mettra de côté son égoïsme agaçant et qu'elle cessera d'être si superficielle. Alors, me direz-vous, pourquoi poursuivre sa lecture si les personnages sont si prodigieusement irritants ?



Je n'ai malheureusement pas de réponse à apporter. L'histoire coule bien, et on demeure curieux de voir ce qu'il adviendra des personnages, s'ils deviendront un peu plus sensés. On tente de comprendre ce qui se passe dans leur tête, et, au final, je crois que c'est ce casse-tête qui nous tient en haleine.



Le résultat de tout cela, c'est que j'ai dû emprunter les deux tomes suivants à la bibliothèque. Damn. Vais-je jamais venir à bout de ma PAL ?
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L'autre rive du Bosphore

Je suis assez déçu avec ce livre, surtout par la fin qui est tirée par les cheveux et vraiment pas nécessaire, si elle s'était arrêté sur la page 476, le livre aurait été beaucoup beaucoup mieux.

Il y a pas mal de longueurs et trop de détails historiques à mon gout.

J'ai lu ses deux livres " La Louve Blanche " et " Tous les rêves du mondes " ( le deuxième tome ), qui sont des gros coups de coeur et uns de mes livres préférés, je m'attendais à la même expérience avec ce livre, mais malheureusement ce n'était pas le cas.

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La vie ne danse qu'un instant

Un roman écrit avec précision et élégance.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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La louve blanche

Une jeune fille Russe qui découvre la révolution Russe et qui doit apprendre à surmonter les épreuves...

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La louve blanche

Le roman nous donne un aperçu sur le regime tsariste avant la révolution bolchévique et sur la vie en Allemagne pendant l'ascension d'Hitler.

Xénia, artistocrate russe voit sa vie basculer, elle se réfugie en France et tente de survivre tout en protégeant les siens.

Elle fait alors la rencontre de Max , un allemand, artiste au grand coeur antiHitlerien.

Va alors naître une magnifique histoire d'amour, que le destin, l'Histoire et les protagonistes eux-mêmes vont sévèrement compliquer...
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Tous les rêves du monde

A Paris, en octobre 1944, nous retrouvons Xénia, et sa fille Natacha, Félix et Lilli les enfants de Sara une amie juive de Max Von Passau. Période trouble depuis l’euphorie du Débarquement en juin 1944, les règlements de compte vont rendre les heures difficiles, pour tous ceux qui ont collaboré avec le régime de Vichy et les Allemands, contraints et forcés ou volontairement. Puis il va y avoir les dénonciations anonymes de ceux qui veulent nuire à certains, par jalousie ou par pure méchanceté.

Xénia va encore devoir serrer les poings, à l'extérieur et à l'intérieur de sa propre maison. Les enfants ont grandi, ils se font leur personnalité. Comme dans beaucoup de familles, ils se cherchent et se forment en se confrontant à l'autorité au sein même de leur foyer.

Quelle épreuve encore à affronter quand on connaît les origines de chacun de ces personnages !
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Dernier été à Mayfair

Theresa Révay nous brosse ici une admirable saga, tableau de la fin d'une époque pour l'aristocratie anglaise : grèves ouvrières pour de meilleures conditions de travail, montée du féminisme avec les suffragettes et leur lutte pour le droit de vote, fin de règne des grandes maisons (qui n'a pas été sans m'évoquer Downtown Abbey) et ascension des nouveaux riches. Les débuts de l'aviation et le sujet des prêtres-soldats m'ont vraiment intéressée. L'entrée en guerre en 1914 va exacerber tous ces phénomènes et obliger hommes et femmes à se révéler.



Les personnages sont magnifiques de justesse, poignants, l'époque et les cataclysmes qu'elle a engendrés extrêmement bien rendus parce que bien documentés, le tout dans une langue soignée et alerte que l'on a plaisir à suivre.



Ce roman est pour moi un coup de coeur et je vous le recommande vivement !
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L'autre rive du Bosphore

Après un voyage en Turquie, ce livre offre d'aimer, plus encore, ce pays et d'approfondir sa découverte. Il permet de comprendre ce pays et son histoire contemporaine, se débarrasser de clichés trop largement diffusés sur nos ondes et dans nos médias.



Par ailleurs, un roman passionnant et captivant.
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Dernier été à Mayfair

Je me suis laissé prendre par l'histoire.J'ai apprécié la description de la guerre de 1914 ce sont les les pages les plus intéressante du livre surtout la bataille de la Somme qui nous fait réfléchi a tout ces morts. Les sentiments éprouvés durant cette guerre par les héros sont bien décrit .Certains personnages manquent d'épaisseurs mais dans l'ensemble j'ai aimé la lecture de ce livre .
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Dernier été à Mayfair

Très mitigé mon bilan de ce livre. D'abord, j'y entre avec circonspection, car je ne suis pas fan des sagas, des aventures des grandes familles. Puis, je m'y mets avec plaisir parce que l'auteure commence très bien son roman avec des personnages qui semblent être intéressants, une époque qui l'est sans aucun doute et un certain souffle dans son récit qui emmène le lecteur. Enfin, je redeviens circonspect voire réticent devant des descriptions longues et inutiles, des tergiversations et des discours fatigants.



Donc, tout commence bien, Theresa Révay installe tout son petit monde en Angleterre, dans l'aristocratie. Tout va bien pour tout le monde jusqu'à ce qu'une des héritières se pique de féminisme, qu'un des frères se passionne pour l'aviation et que l'autre se renferme sur lui et sur les principes de sa classe sociale. Des archétypes, bien sûr, surtout si l'on rajoute le majordome fidèle, les travailleuses miséreuses, mais ce genre de roman fonctionne avec des stéréotypes ou des clichés pour bien installer l'atmosphère. Ce n'est pas là-dessus que je titille l'auteure, mais plutôt sur des détails dont on se passerait bien, comme des descriptions mal ficelées (à mon goût)

D'autres passages sont dignes de la littérature style Harlequin (je dis ça, mais c'est un a priori, puisque dans ma grande inculture je n'en ai lu qu'un seul il y a très très longtemps. Pour savoir. J'ai lu, je n'ai pas recommencé) lorsque deux protagonistes (un homme et une femme, cha ba da ba da) se retrouvent ensemble et sont prêts à croquer la pomme ! C'est vrai qu'on est habitué à des récits crus et directs mais là, même les oreilles les plus chastes peuvent lire ces lignes (encore que je doute que des oreilles puissent lire, mais bon, c'est une image !). C'en est agaçant tellement c'est cucul (si vous me passez ce vocable). Oh, je ne demande point de passages salaces qui ne me plaisent pas plus que cela non plus, mais là on frise le ridicule. Ajouté à cela les descriptions de paysages plates et banales dont je parlais plus haut et vous pourrez comprendre mes réserves.



C'est d'ailleurs fort dommage, parce que en éludant et en coupant dans ce gros texte (473 pages) on aurait pu avoir une saga plus ramassée, plus courte et plus percutante. Avec les personnages de Theresa Révay et la période dans laquelle elle situe son histoire, il y avait de quoi faire mieux.



Néanmoins, que mon avis peu enthousiaste ne dégoute pas les amateurs (trices) de ce genre de romans, parce qu'ils (elles) trouveront sûrement leur bonheur entre ces pages. Madame Yv dirait que c'est mon insensibilité qui me fait écrire toutes ces méchancetés.
Lien : http://www.lyvres.over-blog...
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Dernier été à Mayfair

Fresque familiale de grande envergure, « Dernier été à Mayfair » est un roman majestueux, plein de panache et de sentiments exaltés.

Theresa Révay nous balade entre Londres et Paris au beau milieu d'une époque tumultueuse, berceau de nombreux revirements historiques incontournables. Son récit débute en 1912 pour nous abandonner fin 1918, à la fin de la première guerre mondiale. C'est donc dans une époque mouvementée que l'auteur nous entraine, sur les pas de quatre frères et sœurs aristocrates dont le train de vie en dilettante touche à sa fin. La fratrie peut se décomposer en deux groupes opposés : Julian et Vicky sont les traditionalistes, le sens du devoir et le maintien de leur rang les obnubilent. Au contraire d'Evie et Edward qui sont les révolutionnaires de la famille, Evie militant pour les droits des femmes et Edward préférant s'adonner aux jeux d'argent et à l'aviation. A travers leur destinée, Teresa Revay nous livre un récit historique soigné, l'auteur se basant sur un travail d'historiens riche et méticuleux. Elle ressuscite le temps d'un roman une époque charnière de notre histoire, abordant aussi bien des thèmes culturels que politiques et sociaux. Droit de vote des femmes, début de l'aviation, premiers mouvements de grève des ouvriers, guerre 14-18, etc. Les sujets sont nombreux et traités avec brio, j'ai régulièrement eu l'impression de revivre l'histoire.



...la suite sur mon blog !


Lien : https://avideslectures.wordp..
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Dernier été à Mayfair

La romancière, s'appuyant sur une documentation historique solide qu'elle sait glisser sans alourdir son intrigue, parvient à créer une atmosphère convaincante.
Lien : http://www.lefigaro.fr/livre..
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Dernier été à Mayfair

•Mlle Alice, pouvez-vous nous raconter votre rencontre avec Dernier Eté à Mayfair?

"Connaissant mon amour pour l'Angleterre et son histoire, les Agents Littéraires ont eu la gentillesse de me proposer ce livre que j'ai donc eu le bonheur de trouver dans ma boîte au lettre par un beau matin d'automne..."



•Dites-nous en un peu plus sur son histoire...

"La famille Rotherfield, et leurs amis, vivent sans le savoir les dernières heures de leur époque. Après avoir connu chacun ses joies et ses chagrins, les quatre frères et soeurs vont êtes confrontés à la guerre et à tout ce qu'elle engendre, dépassant de loin leurs conflits familiaux. "



•Mais que s'est-il exactement passé entre vous?

"J'ai l'impression qu'avec ce blog je deviens de plus en plus exigeante! J'ai aimé ce livre, l'ambiance de la première partie qui se passe avant la guerre et ses nombreux personnages hauts en couleur auxquels je me suis beaucoup attachée. Malgré tout, j'ai trouvé que la première partie ressemble parfois plus à un état des faits qu'à un roman: lorsque tel couple se rencontre, c'est une évidence puis on les retrouve un an plus tard, mariés! Comme si la façon dont ils en seraient arrivés là n'avait pas d'importance! Alors la première fois, je me dis que ce n'est pas le principal dans l'histoire mais lorsque cela devient systématique, je trouve ça vraiment dommage. Et puis j'ai moins aimé la deuxième partie, parce qu'elle se déroule pendant la guerre mais ça, ça a plus avoir avec moi qu'avec le livre!"



•Et comment cela s'est-il fini?

"J'ai retrouvé dans ce livre des ambiances que j'aime comme celle de Downtown Abbey ou même de "Chez les Heureux du Monde". Malheureusement, on se demande parfois ce que l'auteur a voulu réellement raconter: l'histoire d'une époque, d'une famille, la guerre, la vie de tel ou tel personnage? Sûrement tout cela à la fois et du coup certains se perdent en chemin et des dénouements manquent à l'appel en laissant comme un sentiment d'inachevé."
Lien : http://booksaremywonderland...
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Livia Grandi ou le souffle du destin

Roman assez dur, voire même éprouvant. En effet, il se déroule juste à la fin de la Seconde Guerre Mondiale, dans une Europe en ruine, meurtrie, en proie à des règlements de comptes de la part des allemands.



Malgré les épreuves, deux figures de femmes se dégagent : Livia, l'héritière vénitienne d'un célèbre maître verrier de Murano, et, Hanna l'allemande.

Toutes deux ont en commun le même amour de la vie, et, un « parcourt similaire » dans le monde de la verrerie d'art. Elles éprouvent une véritable passion, à la limite de l'amour charnel et de l'obsession pour ce métier.



Afin de survivre dans un monde, essentiellement, composé d'hommes, et, s'imposer en tant que femme maître verrier, c'est le début d'une « lutte à mort ».



C'est un roman passionnant de la 1er à la dernière ligne. On ne peut que prendre faits et causes pour les deux héroïnes.

Je conseille vivement sa lecture.
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