Histoire de deux jeunes filles un peu décalées
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Intéressant, ce tome m'a donné envie d'en lire un deuxième.
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La vie de famille d'Odilon n'est pas toujours simple , mais qu'elle bonheur de lire cette bande dessinée .
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Deux petites poules curieuses se demandent où le soleil peut bien aller quand il se couche... eh bien, au bout du monde, pardi!
Alors, en avant ! Direction le bout du monde.
Mais c'est loin...
Et en chemin, lors d'un naufrage, Eva et Ada sont séparées... Aïe... Le bout du monde, on ne sait pas vraiment où c'est. Mais la fin du monde, c'est quand deux ami(e)s sont séparés...
La morale sauve un peu l'album du naufrage. Il y a deux parties à l'histoire: d'une part la recherche du bout du monde, et d'autre part la séparation des deux amies. Cela ne donne pas une cohérence à l'ensemble, et c'est dommage, car les deux poules sont bien chouettes.
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Sujet intéressant mais traité de façon un peu plate.
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Le sujet.
La kleptomanie d'un membre d'une famille jusqu'alors sans histoires, le titre ne tourne pas autour du pot.
Un sujet grave sur lequel l'auteur Thierry Robberecht s'est lancé à écrire et de surcroit sur le genre choisi du polar. Ce qui n'est pas une mauvaise idée en soit et ce qui évite le témoignage personnel et dramatique fictif façon "Confessions intimes"l'émission, un peu lourd à digérer pour un roman jeunesse.
Nous pourrions déja hâtivement supposer avec ce titre, avec la quatrième de couverture qui promet que le pire est à venir, que le père voleur a commis le crime compulsif de trop, l'escalade qui le fera passer dans le camp des vrais criminels.
Ce n'est pas si simple et d'ailleurs, on peut constater à la lecture que le roman est divisé en deux parties principales.
Le roman de vie, dramatique, pour poser les repères du sujet, le thème principal malgré tout, et ensuite, un temps complètement imprévisible, une intrigue polar qui vient se poser là et qui développera le drame familiale vers le thriller.
Le point de départ de cette mésaventure.
Mathieu, 16 ans, et Frédéric, 8 ans, découvrent en jouant maladroitement dans le jardin le secret de leur père caché dans la cabane à outils.
Le connaissant peu bricoleur, sans s'interroger jusqu'à présent de l'utilité du cabanon peu accessible pour le restant de la famille, la mère et les deux fils constatent enfin la collection d'outils de jardinage neufs volés par grandes séries, accrochés avec soin, encore étiquetés, avec mention du lieu du forfait au dessous.
C'est l'insupportable révélation et l'implosion à compte à rebours.
Les parents se séparent, pour faire court et les enfants apprendront à partager les temps de repas avec le nouveau locataire, la maladie du père, qui ne quitte hélas plus les conversations, ni l'esprit des membres sur la défensive en allant dans les lieux publics.
L'auteur nous remet bien dans la peau de chaque personnage, de la gêne à la tristesse, avec les coups de gueule, l'inquiétude des lendemains devant un père un peu apathique devant la détresse des situations qui lui échappent, la séparation du couple et sa maladie.
Quand le polar intervient-il?
Un jour où Mathieu a le sentiment renforcé que sa mère ne reviendra plus avec son père, il tente d'avoir de ses nouvelles à l'insu de l'autorité maternelle, réfugiée chez sa soeur avec ses deux enfants.
Nous prendrons au sérieux rapidement la situation, Mathieu surprend dans son ancienne maison un intrus, fouillant furieusement les placards et qui le cognera sévèrement quand il tentera de donner l'alerte.
Quelques jours plus tard, le cadavre du jeune cogneur est retrouvé par la police.
Le jeune homme était employé dans un magasin que fréquentait le père de Mathieu.
Quel lien étrange faire avec son père à qui il a caché le triste épisode?
Comme dit plus haut, le drame psychologique familial va monter d'un cran pour Mathieu qui se trouvera plongé dans un thriller personnel.
L'auteur fera preuve de raccourcis pour la chute mais au final, les lecteurs jugeront honnêtement que cela est bien vu car nous percevons les choses surtout du point de vue de Mathieu et cela suffit amplement à son malheur.
Nous avons là une drôle d'aventure et une famille à bout de souffle.
Entre sa musique et ses copains pour vivre un peu sa vie d'ado, il ne sera pas simple de retomber sur ses pattes et que la vie de la famille continue.
Mais heureusement, Thierry Robberecht, auteur bruxellois, nous promet un happy end qui nous fera souffler de soulagement en fermant les pages.
A découvrir.
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La kleptomanie est rarement traitée en littérature, sans doute encore moins en littérature jeunesse, c'est ce que nous propose ce livre en présentant ce père malade qui vit dans le secret et peut être aussi dans la honte de ce vice plus fort que lui. Avec cette découverte c'est toute la vie de la famille qui bascule, l'incompréhension des enfants, la honte de la mère, la difficulté pour se soigner et la lente descente vers l'enfer.
Même si l'auteur va un peu trop loin à mon gout dans cette déchéance, cette histoire est bien mené et on sent tout 'amour qui porte cette famille malgré toutes les difficultés qu'elle traverse.
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Voici un polar bien ficelé qui accroche le lecteur autour d'un sujet peu traité : la kleptomanie.
Le malade ici est le père et l'enquête menée par Mathieu et Frédéric est une véritable preuve d'amour filial. L'intrigue fonctionne et passionne jusqu'au bout mais un léger excès sur les impacts de cette kleptomanie est à déplorer...un peu exagéré mais toutefois crédible.
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Amusant ce loup tombé d'un livre de la bibliothèque de la chambre de Zoé; le chat le guette et il cherche désespérément un livre où entrer pour sauver sa peau, mais ce n'est pas si simple
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J'ai acheté ce livre sans le lire car ma petite fille raffole des loups.
L'idée de cette histoire charmante est excellente mais nous aurions voulu un peu plus de rebondissements. L'histoire se finit en eau de boudin, nous sommes restés sur notre faim, la fin est vraiment décevante, ma petite-fille m'a dit que l'auteur n'avait pas fini son livre !Les dessins sont mignons comme tout, le chat est super bien dessiné mais le loup manque de design.
Comme nous ne sommes pas satisfaites nous avons inventés et terminés l'histoire ! Ma petite-fille a 6 ans et déjà férue de lecture, alors le coup de l'histoire pas terminée, elle a pas aimé !
Bon, nous sommes peut être un peu sévères car nous sommes des lectrices exigeantes.
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Mon petit dernier est toujours aussi fan des loups et heureusement, la littérature jeunesse ne manque pas de livres avec cet animal qui est un symbole dans les histoires pour les enfants. Et on peut dire que les auteurs ont beaucoup d’inspiration.
Ici, le loup sort d’un livre et se retrouve dans une bibliothèque où il tombe nez à nez avec un chat. Le problème c’est que sa taille est à l’image du livre d’où il sort, très petit. Et le chat ne devrait faire qu’une bouchée de ce minuscule loup qui n’a d’autres choix que de se faufiler dans un autre livre pour lui échapper...
L’idée est vraiment sympathique car le loup va vivre quelques mésaventures pour pouvoir « s’insérer » dans ces livres. Je regrette que l’auteur ne soit pas aller au bout de son idée (le livre aurait évidemment pas eu le même format et la même densité mais bon...). La conclusion est tout de même sous la forme d’un clin d’œil amusant.
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Dans la bibliothèque de Zoé, un livre tombe à terre. Et sous le choc, le loup qui en était le personnage principal en est éjecté. Un tout petit loup ne fait pas le poids face au chat de Zoé. Alors il cherche à rentrer dans un livre pour échapper au félin.
Dans un livre, il n'y a pas de loup, il doit se déguiser. Dans un autre, il n'y a que des dinosaures. Dans un troisième, il ne tombe pas au bon moment... Vient un dernier livre où le loup tombe sur une petite fille en rouge qui attend ... un loup qui n'arrive pas. Alors le loup propose de remplacer l'absent.
Et le récit s'arrête là... pile au moment qui nous semblait le plus approprié pour que le récit démarre. Franchement, nous avons été déçus. Il y avait matière à développer comment le loup allait remplacer son alter ego face au chaperon rouge. Au lieu de cela on se perd dans divers ouvrages sans vraiment de cohérence. Restent les dessins sympas.
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« La bibliothèque de Zoé était pleine de livres, tellement pleine à craquer qu'un jour, un livre est tombé à terre et que le loup de l'histoire en est sorti. »
On peut s'arrêter là quelques minutes, fermer les yeux, imaginer la suite, puis replonger dans cet album et se réjouir de toutes les idées géniales des auteurs.
Comme l'annonce la couverture, notre infortuné loup rencontre des prédateurs dans la vraie vie ; il a intérêt à trouver une astuce pour sauver sa peau. Comment faire ? Retourner dans un livre ? Encore faut-il atterrir dans le bon, et à la bonne page !
Album plein d'humour et très pertinent, où les frontières entre fiction et 'réalité' (une réalité relative) sont brouillées.
Je ne sais pas à partir de quel âge le jeune lecteur y trouvera un écho, mais le premier degré est déjà un régal, d'autant que les illustrations donnent parfaitement vie à l'histoire.
La réflexion est intéressante aussi pour les adultes. On a parfois du mal à quitter les personnages de ses lectures, pour le meilleur ou pour le pire. Ils 's'échappent' alors de l'ouvrage et nous accompagnent, ou nous envahissent. Il peut même arriver qu'on fasse des détours la nuit pour ne pas se confronter à un livre angoissant et à ceux qui le peuplent... 😉
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