Virginia C. Andrews

Une série que j'ai lue il y a plusieurs années maintenant, j'en garde un très bon souvenir.



On suit l'histoire de quatre orphelines que tout sépare et pourtant, tous les lies. principalement leur passé tumultueux. De cela va naitre une amitié très forte.

Une série que j'ai lue il y a plusieurs années maintenant, j'en garde un très bon souvenir.



On suit l'histoire de quatre orphelines que tout sépare et pourtant, tous les lies. principalement leur passé tumultueux. De cela va naitre une amitié très forte.

Une série que j'ai lue il y a plusieurs années maintenant, j'en garde un très bon souvenir.



On suit l'histoire de quatre orphelines que tout sépare et pourtant, tous les lies. principalement leur passé tumultueux. De cela va naitre une amitié très forte.

Une série que j'ai lue il y a plusieurs années maintenant, j'en garde un très bon souvenir.



On suit l'histoire de quatre orphelines que tout sépare et pourtant, tous les lies. principalement leur passé tumultueux. De cela va naitre une amitié très forte.

Une série que j'ai lue il y a plusieurs années maintenant, j'en garde un très bon souvenir.



On suit l'histoire de quatre orphelines que tout sépare et pourtant, tous les lies. principalement leur passé tumultueux. De cela va naitre une amitié très forte.

Un roman poignant !



Lorsque l'histoire débute, on fait la connaissance d'une famille. Corinne et Christopher sont les parents de 4 enfants. Christopher l'aîné, Cathy de deux ans plus jeunes et Cory et Carrie des jumeaux de 5 ans. Ils vivent en harmonie, le père est souvent en déplacement pour le travail. Mais un jour, leur vie va basculer.



Alors contraint de retourner vivre dans la famille de Corinne la mère de famille, la fratrie pense qu'ils vont avoir des grands parents, et le luxe qui plus est d'une famille fortunée. Mais la vérité est bien loin. Parce que les Foxworth cachent bien des secrets sordides. Et les enfants vont payer pour les erreurs du passé.



Je ne conseillerais pas ce roman à tous. Tout simplement parce que les sujets abordés peuvent être assez sensibles. Notamment, l'enfermement, la maltraitance et le conditionnement mental. Mais aussi les liens et relations familiales.



Pour ma part, j'avais déjà vu les adaptations en téléfilms et je n'ai pas été surprise ni choquée connaissant déjà l'histoire.



Ce roman est une histoire poignante, une histoire qui nous montre à quel point certains faits peuvent avoir des répercussions. Sur plusieurs générations.



L'autrice nous fait vivre aux côtés de ces frères et sœurs, ces enfants qui n'ont rien demandé et qui vivent un enfer. Qui survivent comme ils peuvent. On ne peut pas rester insensible face à tout cela. Mon avis est positif, mais cela reste bien entendu un récit de fiction.

À la mort de son mari, Corinne n’a qu’une solution pour survivre elle et ses quatre enfants, retourner dans la demeure parentale. Seulement son père l’en avait chassé il y a plusieurs années du fait de son mariage qu’il n’approuvait pas, alors pour se réconcilier avec lui et obtenir sa part d’héritage elle va devoir lui cacher l’existence de ses enfants et va alors les enfermer au grenier pour ce qui devait être quelques jours et qui deviendra finalement des mois.

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Je cherchais pour cet été une nouvelle saga capable de m’emporter suffisamment pour que j’attende avec impatience la lecture du prochain tome. Avec la réédition de cette saga visiblement culte j’ai alors eu envie de me prêter au jeu de la découverte.



Je referme ce premier tome avec un sentiment véritablement partagé, pleine de sentiments contradictoires pour cette histoire bien différente de tout ce que je peux lire.



L’autrice a ce talent indéniable de savoir rendre son récit totalement addictif et je me suis vraiment laissée captiver par cette histoire dès les premiers chapitres. Rapidement l’ambiance devient lourde, on sent le malaise s’installer pour finalement ne plus nous quitter.



Elle mêle à cette histoire nombre de sujets tous aussi dérangeants les uns que les autres et ce roman me laisse finalement un sentiment étrange, j’ai très envie de découvrir la suite tout en me laissant une véritable gêne, ma curiosité l’emportera finalement et je lirai le deuxième tome pour en savoir un peu plus!

Les héros de la saga Fleurs Captives cèdent leur place principale – tout en restant le point d’ancrage du récit – à la jeune génération. Deux jeunes garçons que l’on va apprendre à connaître et dont on va suivre, ahuris, les aventures terriblement inquiétantes.



En effet, comme ses prédécesseurs, Bouquet d’épines, troisième tome de la saga, se veut toujours autant torturé. Si la mort et la notion de péché sont une fois de plus les lignes directrices du récit, nous assistons impuissants à la manipulation opiniâtre d’un dévot fanatique sur une âme modelable comme l’argile. La force de la persuasion sur un esprit chétif encore en construction est terrassante et l’on ressort de cette lecture, une fois de plus, passablement ébranlé par la folie de ce qu’on y lit.



Sombre et inquiétante, cette suite nous plonge toujours plus dans l’effroi, l’angoisse et cette impression constante de malaise.

Une réussite pour une romancière qui atteint magistralement l’objectif recherché.
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Avec ce tome 4, je termine la série Fleurs captives.

J'ai eu de la peine à lire ce tome, un mois et demi pour le lire, c'est rare chez moi. En effet, je suis lassée des personnages.

On retrouve Cathy, qui vit maritalement avec son frère au grand dam de son fils, Bart, qui n'accepte pas Chris comme père de substitution. Il y a aussi Cindy, fille adoptée par le couple Cathy et Chris, qui est en guerre avec son frère Bart. Seul, le fils aîné, Jory ,est heureux. Très bon danseur professionnel, il est marié avec Mélody danseuse également, qui attend un enfant. Tout ce petit monde se retrouve au manoir de Foxworth, héritage de Bart et restaurée par ce dernier.

Il va arriver des évènements catastrophiques. Et c'est toujours la même chose. Un personnage malfaisant manipule Bart pour lui faire commettre des atrocités. On ne saura d'ailleurs pas qui a provoqué un accident qui arrive à un des personnages principaux. L'autrice reste dans le flou, elle n'ose pas vraiment assumer ses choix.

Je ne la lirai plus , notre époque a évolué, et les thèmes abordés sont malaisants.

"Bouquet d'épines" est le troisième tome de la saga familiale "Fleurs captives" de l'autrice américaine Virginia Andrews qui a fait l'objet d'une réédition en avril dernier. Je remercie @lelivredepoche et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir la suite de cette saga qui a connu un grand succès dès sa première parution dans les années 1980.



Je conseille de lire cette histoire familiale dans l'ordre chronologique pour une meilleure compréhension de l'intrigue générale. En résumé, le tome 1 révèle l'enfance douloureuse de Cathy et son frère Chris tandis que le tome 2 nous dévoile ce qu'ils sont devenus à l'âge adulte.



Dans ce tome 3, les protagonistes sont les deux enfants de Cathy : Jory, 14 ans, danseur comme son père, et son demi-frère Bart, 9 ans. Cathy et Chris vivent une paisible vie de famille en essayant d'oublier les fantômes du passé. Mais bientôt, une mystérieuse vieille dame riche voilée de noir vient emménager dans la maison voisine... Qui se cache derrière ce voile ? Cathy et Chris parviendront-ils à préserver leur inavouable secret de famille ?



L'atmosphère de ce troisième opus devient de plus en plus sombre, morbide et angoissante au fil des pages. L'intrigue est assez prenante car l'histoire traumatisante de Cathy et Chris semble vouloir refaire surface avec l'arrivée impromptue de cette étrange dame âgée. Elle se rapproche petit à petit de Bart qui est un enfant à problèmes en quête d'identité et qui se sent délaissé par sa famille.



Ce que j'ai le plus apprécié, c'est l'alternance des points de vue des deux enfants qui permet de découvrir la vérité peu à peu, comme les deux faces d'un même miroir. La psychologie complexe de Bart qui semble souffrir de schizophrénie est bien détaillé. Il est menaçant et violent : il incarne le Mal alors que Jory incarne le Bien.



La plume de l'autrice est toujours aussi addictive et le sentiment de claustrophobie est très perceptible, comme si le cercle infernal de la violence et de la vengeance se répétait sans cesse. Le dénouement tragique donne envie de découvrir la suite des aventures de Jory et Bart avec le tome 4 intitulé "les racines du passé".

Quand la cupidité pousse au pire...voilà exactement ce qui résume ce livre !



L'histoire est absolument horrible et pourtant, les enfants gardent une touche d'innocence, de joie...ils sont touchants à leur manière.



Par contre, je n'ai pas apprécié le nombre de fautes, de lettres manquantes voir des mots absents parfois !

Ça ne fait vraiment pas sérieux.



Une lecture que j'ai plutôt apprécié sans être un coup de cœur.

Troisième tome de la saga Fleurs captives, j’avais un peu d’appréhension avant de débuter ma lecture.



En effet, j’avais eu un peu de mal avec le deuxième tome et le comportement de Cathy. J’avais donc peur de ce que me réservait cet opus.



Finalement j’ai beaucoup aimé ! On retrouve le côté sombre du premier tome qui m’avait aussi bien plu. Je vous rassure, pas d’enfants séquestrés dans le grenier ici, mais une atmosphère toujours aussi oppressante et malsaine.



Cathy et Chris vivent avec les enfants de Cathy : Jory et Bart. Tous va bien désormais dans leur vie, même s’il dissimule aux enfants les liens qui les unit. Mais l’arrivée d’une femme âgée dans la maison voisine vient perturber leur quotidien. Toutes les horreurs du passé risquent bien de ressurgir.



Si Jory est un enfant sage et m’a touché, Bart est quant à lui un peu plus perturbé. Sa grande imagination va lui jouer des tours et on voit qu’à certains moments il ne sait plus distinguer ses jeux d’enfants de la réalité.



J’ai été tenu en haleine du début à la fin. J’ai vite compris de quoi il retournait dans ce tome, mais je voulais savoir comment cela allait se terminer. Le suspens et l’atmosphère font de ce roman un page-turner. Je n’ai trouvé aucune longueur et aucun temps mort.



C’est pour moi un troisième tome réussi, qui m’a redonné goût à cette saga. Je vais donc poursuivre cette saga et voir ce que la suite réserve aux personnages.

Aussi intense que révoltante, cette histoire captive (le jeu de mot avec le titre VF est involontaire).



C’est l’histoire de quatre enfants – Cathy, Chris, Carrie et Cory – qui, à la mort de leur père, sont emmenés par leur mère chez des grands-parents qu’ils n’ont jamais vus. Un grand-père riche, très riche, qui ne doit pas connaître leur existence, une grand-mère dévote qui les prend pour les enfants du diable, une mère qui les séquestre pour toucher un héritage, et les voilà retenus prisonniers durant plusieurs années.



C’est avec des thèmes forts que Virginia C. Andrews aborde sa saga : deuil, torture psychologique et physique, tentative de meurtre, inceste… bref, rien n’est épargné aux jeunes protagonistes d’une histoire qui se veut bouleversante. Car ce roman dramatique est oppressant et saisit par son aspect immersif et dérangeant. Il est intéressant de se questionner sur le comportement développé au fil du temps par les enfants Dollanganger : résulte-t-il d’une possible consanguinité ou par la séquestration et le martelage psychologique dont ils sont l’objet ?



Ne m’attendant pas à une lecture à ce point frappante, j’ai suivi cette histoire de manière effarée sans toutefois saisir l’ampleur du choc que j’allais ressentir en tournant la dernière page : car c’est dans l’instant fugace où je me suis repassé toute l’aventure que je venais de lire que j’ai véritablement été frappée d’indignation.



Un récit poignant vécu de l’intérieur, porté par une plume percutante qui, vous l’aurez compris, ne laisse pas indifférent.
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Ce deuxième tome était aussi envoûtant que le premier car je n’ai pas vu les pages défiler.    

L’ambiance y est toujours aussi « glauque », sombre mais parfaitement addictive ! J’ai été ravie de retrouver ces enfants attachants là où je les avais laissé dans « Fleurs captives » et découvrir cette nouvelle aventure de la vie qui s’offre à eux et la vivre à leurs côtés...    

J’ai aimé la façon dont l’auteure fait évoluer ses personnages au fil des chapitres, avec ses espoirs, ses failles, ses illusions ou encore ses déceptions... Les rebondissements sont parfois inattendus et toujours aussi plaisants. L’auteure continue d’aborder des sujets aussi délicats, graves, de manière très crue, ce qui peut parfois mettre mal à l’aise durant la lecture. Difficile d’en dire davantage sur ce deuxième livre sans spoiler si vous n’avez pas lu le précédent... donc je n’en dirais pas plus... mais lisez cette saga si ce n’est pas encore fait ! De mon côté, j’attends la sortie des prochains tomes avant impatience car cette saga me plaît vraiment beaucoup et j’ai trop hâte de connaître la suite... !

A la mort de son mari, copine retourne vivre chez ses parents avec ses 4 enfants.

Pour des histoires d'héritage les enfants vont devoir rester cachés de son père.

Pour oublier le triste ils vont devoir s'inventer une nouvelle vie et veiller les uns sur les autres !

Arrivée à une trentaine de pages, l'histoire me disait quelque chose, après réflexion j'avais  vu le film tiré du livre, j'ai hésité à  continuer connaissant déjà l'histoire.

J'ai décidé de continuer ma lecture et j'ai apprécié.

Certains passages sont difficiles mais l'histoire est captivante et intrigante..

Je vais lire la suite avec plaisir!

Cathy, Chris et Carry ont réussi à se sortir de ce grenier abominable. Ils sont recueillis par un docteur bienveillant qui va leur venir en aide. Mais arriveront-ils à poursuivre leur vie ? Quelles séquelles leur passé à laisser en eux ?

J'ai enchaîné avec ce tome car je voulais absolument savoir comment allaient s'en sortir Cathy, Chris et Carry.

Ce tome m'a moins plu.

Déjà de part la relation entre Cathy et Chris qui extrêmement ambiguë et malsaine.

Puis c'est terrible de voir ces enfants qui grandissent comme ils peuvent, terriblement traumatisés et blessés.

J'ai trouvé l'écriture très efficace et prenante malgré certaines longueurs. J'avais parfois l'impression que les personnages n'évoluaient pas bien qu'ils prennent de l'âge et de l'expérience.

Le personnage de Cathy m'a agacée mais j'étais également triste pour elle. Elle joue de ses charmes sur tous les hommes, elle complètement perdue, obsédée par une seule chose : la vengeance.

Comme dans le premier tome, des thèmes durs sont abordés comme le harcèlement scolaire que subit Carry.

Bref, je ne veux pas en dire trop mais c'est un tome dur, sur lequel j'aurai aimé que quelques rayons de soleil apparaissent de temps en temps.

Un terreau vintage, en fond d'années 80 porte ce roman au fin fond des États-Unis, même si la toile pouvait ressembler à n'importe quel territoire. Partout où des enfants courent et rient. Sauf que dans l'univers dépeint par Virginia C Andrews, où les enfants vivent captifs dans un grenier, dans lequel leur mère les tient secrètement loin du monde. Leur vie avait pourtant commencé de manière idyllique, aimés par un père expansif et une mère parfaite. Mais la perfection est un vernis, et quand le père meurt dans un accident, il faut absolument que Corinne trouve une solution pour se sortir du désespoir financier qui la guette.

Le scénario oscille entre Charles Dickens et Margaret Mitchell, en un huis clos dans lequel des enfants de 5 à 14 ans acceptent de disparaître par amour, de devenir invisibles et pourtant de continuer à vivre dans toute leur splendeur.

J'ai pensé aux romans de la Comtesse de Ségur en découvrant cette histoire, premier tome d'une série de 5 volumes. J'en ai découvert l'existence sur un groupe de partage et cédé à la tentation.

Un très bon moment, dévoré en deux jours.

Tout avait pourtant bien commencé pour eux…



Chris, Cathy, Corry et Carrie, quatre frères et sœurs ont vécu leurs premières années dans un cocon familial protecteur et baigné d’amour. Malheureusement, à la mort de leur père, leur vie va tourner au cauchemar… Ne pouvant faire face aux difficultés financières, leur mère Corinne n’a pas d’autre solution que de les arracher à la maison de leur enfance pour les conduire chez leurs grands-parents. S’ils franchissent les portes d’une somptueuse demeure, ils n’en verront que les plus sombres recoins. Pour une raison qu’ils ignorent, leur grand-père ne doit pas découvrir leur existence. Ils sont cachés dans les étages avec pour seul espace de jeu un sombre grenier. La situation ne devait pas durer. L’affaire d’une journée, puis d’une semaine… Mais les mois défilent et les enfants doivent subsister avec un minimum de vivre et aucune liberté.



Forcément, quand on a aimé la saga des Sept sœurs et qu’on lit sur la couverture “pour les fans de Lucinda Riley”, il est difficile de ne pas se laisser tenter par cette lecture.



J’ai d’abord pu le lire en version numérique grâce à NetGalley. Puis j’ai tellement aimé cette lecture que j’ai acheté la version papier.



Fleurs captives est le premier tome d’une grande saga familiale. Peut-être d’ailleurs que certains d’entre vous ont pu la lire il y a plusieurs années. L’auteur, Virginia C. Andrews, est décédée en 1986. Le livre vient d’être republié aux éditions Livre de poche et se trouve facilement sur les étals des librairies.



Hormis le fait qu’il s’agisse d’une saga familiale on s’éloigne tout de même beaucoup de l’univers de Lucinda Riley. L’ambiance est ici beaucoup plus sombre et torturée. Parfois même les faits sont malaisants et dérangeants. Par ailleurs, il n’y a pas la double temporalité. Nous avons ici affaire à un déroulé chronologique sans aller-retour entre passé et présent.



Beaucoup de différences donc avec la reine de la saga, mais un point commun et pas des moindres : un style totalement addictif ! J’ai été complètement transportée par cette histoire. Je me suis beaucoup attachée à Chris et sa sœur Cathy. Le premier tome relate leur terrible et cruelle enfance. J’ai maintenant hâte de commencer le tome 2 pour savoir ce qu’ils vont devenir…
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Chris, Cathy et Carrie sont enfin libres.



Ayant perdus toute confiance en leur mère ils ont finalement décidé de s’échapper et de partir loin de la maison où ils ont été retenus prisonniers plusieurs années.



Sur le chemin de leur fuite, ils vont croiser Paul. Un médecin qui a perdu femme et enfant et qui est prêt à les accueillir et à prendre soin d’eux. Grâce à lui, Chris va pouvoir réaliser son rêve de devenir médecin, Cathy vivra de sa passion la danse et Carrie trouvera le cadre protecteur d’un foyer qui lui a tant manqué.



Si cette rencontre relève du miracle, elle ne suffit pas à effacer le passé. Cathy ne pense qu’à se venger de sa mère…



Entre soif de vengeance et nouveaux drames, ce tome 2 ne manque pas de rebondissements.



Impatiente de connaitre la suite de l’histoire de Chris, Cathy et Carrie j’ai enchainé le tome 1 et le tome 2.



Si on les retrouve enfants, on va les voir grandir et devenir adultes. Des adultes pour qui il est difficile de se construire et d’être heureux.



Ce tome met particulièrement Cathy en avant. La jeune femme va découvrir l’effet qu’elle provoque sur les hommes et cela va faire des ravages…



Les passages malaisants sont encore plus nombreux que dans Fleurs captives. Il est ici beaucoup question d’inceste.



J’ai parfois eu la sensation que l’histoire était peu crédible mais malgré tout je me suis laissée une nouvelle fois emportée par la plume de Virginia C. Andrews. Je suis impatiente de découvrir les tomes suivants.
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Je connaissais cette saga, car j’avais vu le film à la télévision, mais sans vraiment me rappeler.

Le livre de poche vient de le rééditer et m’a permis, avec NetGalley de le lire.



La 4ème de couverture nous donne tout de suite le ton de ce livre. Cette histoire est racontée par Cathy, l’une des enfant de Christopher et Corinne. Le jour où leur père décède dans un accident de voiture, tout bascule.

Leur mère, Corinne, sans travail ni ressource se voit obligée de retourner chez ses parents avec ses enfants, Christopher, Cathy, Cory et Carrie.

Mais rien ne sera comme les enfants peuvent le penser. Corinne leur mère ayant été chassée de chez elle, elle devra regagner la confiance de son père. Pour cela, elle cachera avec l’aide de sa mère, les enfants dans un grenier. Ils seront enfermés pendant de nombreuses années.

Au fil des pages nous faisons la connaissance de tous les personnages. Les enfants devront grandir vite et comprendre que leur seule espérance est la fuite.



J’ai vraiment aimé cette histoire qui est le premier volet d’une saga de 5 tomes. Virginia C. Andrews nous retrace une histoire qui se passe dans les années 50, mais qui ressemble à du Dickens.



Je vais faire tout mon possible pour lire la suite de cette histoire.