Virginia C. Andrews

Même si je l'avais déjà lu il y a des années, je me suis rendue compte que j'avais oublié beaucoup de choses de ce tome. Notamment et surtout la relation de Cathy et de Paul (j'avais eu un doute en voyant le téléfilm puis je m'étais dit que je me faisais des idées, que le vieux docteur ne faisait pas ça pour Cathy, bah si ). Donc Cathy, Carrie et Chris sont adoptés par Paul, qui est tout de même fasciné par Cathy. La jeune fille est au centre de ce tome, entre Paul, Chris, Julian et Bart, elle a l'embarras du choix ( c'est même un peu gros, ok elle est belle mais à ce point là ?). Le pire c'est que Cathy ne sait ni qui elle aime, ni qui elle choisit (en gros elle réalise toujours ses sentiments quand il est trop tard...) Elle aime Paul parce qu'il les a aidé, Julian parce qu'ils se ressemblent, Bart parce qu'elle l'aime depuis ses 15 ans ( et que c'est le mari de sa mère ...). Mais au fond, elle aime Chris ... en tous les cas, elle ne réussit jamais à se débarrasser de ce qui s'est passé dans le grenier. On voit donc que la réclusion a eu un effet sur ces trois gamins, la pauvre Carrie finit par rejoindre Cory, Chris est incapable de sortir de son complexe d'oedipe (dont le seul substitut acceptable est sa soeur Cathy) quand à Cathy, c'est sûrement la plus folle de toute. En dépit de sa "haine" pour Corinne, elle agit en tous points comme elle, y compris et surtout avec les hommes. La seule différence, c'est que pour l'instant, Cathy est sans doute une bonne mère pour son petit Jory et Bart...



J'ai cependant apprécié que Corinne reçoive enfin une punition pour tout ce qu'elle a fait à ses enfants. La fin s'ouvre sur une nouvelle vie, mais on se doute bien que ça n'ira pas tout seul...





Ce que j'aime : l'écriture de l'auteure, c'est énorme, on sait que c'est trop rocambolesque pour être crédible et pourtant, ça fonctionne (du moins avec moi). Les personnages sont admirables de noirceur et d'égoïsme j'adore





Ce que j'aime moins : je pense qu'il y a un peu trop d'hommes amoureux de Cathy.... et le fait que Chris et elle réussissent de belles carrières en dépit du handicap d'une déscolarisation de 3 ans est limite...





En bref : Un second tome aussi fort que le précédent qui nous dépeint une Cathy de moins en moins sympathique : avide de revanche, amère et séductrice, elle finit par ressembler à sa mère... A la notable exception qu'elle ne laisse pas tomber ses enfants





Ma note





8,5/ 10
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J'ai lu tous les 5 romans et je peux dire que j'ai été passionné.

Savoir si ces enfants allaient s'en tirer et surtout je voulais chaque fois savoir la suite et d'ou venait cette haine qu'avait Olivia pour Corinne qui n'était pas sa fille mais aussi la haine que Olivia avait pour Christopher.

Elle les détestait tous les deux et dans le fond savait très bien ce qui allait se passer en ne leur disant pas la vérité et il était inévitable que ces deux là soit amoureux et vivent leur vie ensemble.

Sauf que Corinne fille très gâtée par le père sortie de son contexte perd les pédales et ne souhaite qu'une chose détruire ses enfants rien que pour récupérer l'argent des Foxworth et cet argent maudit elle le laisse en héritage à Bart, fils de Cathy et de Bartholomé son époux décédé et il manque quand même de les détruire aussi.

l'aboutissement de cette trilogie se dévore littéralement on suit la vie de" ces enfants et ce qu'ils deviennent

magnifique rien à redire

J adore cette ecrivaine meme que katheleen e woodiwiss

Je me souviens avoir adoré cette série lue durant mon enfance: 4 enfants sont séquestrés par leur mère dans un grenier, se retrouvent abandonnés, et doivent trouver un moyen pour survivre. Cette expérience les marquera à jamais, eux et leurs descendants...

Ce quatrième tome s'éloigne de plus en plus, j'avoue que je n'y ai pas retrouvé la veine des premiers livres. Mais je veux quand même aller jusqu'au bout !

Nous retrouvons Willow, qui commence à se faire une petite place dans le nouveau monde qu'elle fréquente.

Elle a retrouvé sa mère biologique, une femme fragile et simple. Et bien que son père soit décédé, il continu de veiller sur elle, par le biais d'une petite voix qu'elle seule entend et ressent. En prime, elle se découvre un demi-frère, Linden. Mais celui souffre de trouble du comportement et bien que Willow veuille l'en guérir, elle est pour lui source de douleurs.

L'histoire entre ces deux personnages est poignante et se vit par les tripes.

Ajoutons à cela un amoureux, riche, beau, sexy en diable... mais nanti d'une mère prétentieuse et hautaine, qui ne vit qu'à travers les codes de la bonne société américaine.

Heureusement, son amoureux semble parfois tenir tête à sa mère et faire fie des conventions sociales, mais jusqu'à quand?



Une bonne suite qui nous permet de découvrir une face cachée de notre héroïne, qui se familiarise avec le monde de faux-semblants de palm Beach.

Le premier tome de cette série renferme bien des surprises et des mensonges.

Willow a été adoptée. Sa mère passe son temps à l'humilier et son père semble tolérer sa présence sans oser l'aimer. Qu'est ce que cela signifie... Au décès de son père la lumière va se faire jour et des ,vérités vont éclater. Mais tout n'est pas si simple.

Projetée dans le milieu très "bling-bling" de Palm beach, la droite Willow va devoir apprendre les subtilités de cette vie de paraître pour trouver son chemin et obtenir les réponses qu'elle veut.

Bien écrit et entraînant, ce livre se lit avec facilité et plaisir.

Je me souviens du bonheur que j'ai eu à lire et relire cette saga, lorsque j'étais ado. Des personnages forts et attachants, qu'on ne quitte pas comme ça, je me suis beaucoup attachée même si j'avoue qu'avec le recul de l'âge, je ne suis pas sure que je l'apprécierai maintenant.



Toutefois, cela reste un de mes beaux souvenirs de jeunesse.



Adepte de romantisme, et d'épopée familiale ce livre est pour vous.

Etant plus jeune - il n'y a pas si longtemps que ça, pourtant, il me semble ;-) - j'avais découvert Virginia C. Andrews en lisant la série Fleurs captives et la Saga des Heaven. J'en garde un souvenir vraiment positif. J'avais bien aimé.

J'ai chois de lire Janet en me disant que ça allait sans doute me plaire. Et bien, non ! Je n'ai pas accroché. Une écriture beaucoup trop simpliste, une histoire pas passionnante. On connaît la fin dès le début. C'est sans surprise.

Evidemment, j'ai grandi et mes lectures ont évolué. Ce type de lecture convient, à mon avis à un public jeune et romantique.

Je ne lirai donc pas la suite de la série.

J'ai découvert cette saga grâce à @posetoievalire (merci Eva pour tes bons conseils), on y rencontre Corinne qui, au début de ce premier tome vis une vie parfaite avec son mari et leurs enfants. Des jumeaux vont bientôt agrandir la famille.



Un drame familial guette cette jeune femme, elle va perdre subitement son mari et elle est contrainte de retourner chez ses parents avec ses enfants. Oui mais voilà elle va être obligée de cacher ses enfants à son père pour espérer se faire pardonner son comportement passé et être à nouveau sur son testament pour enfin envisager hériter d'une grande fortune.



Les quatre enfants vont être enfermés dans un grenier, insalubre infesté d'araignées et de souris. Leur calvaire commence ici et ce qui doit durer quelques jours va durer des années.



Comment ces enfants vont-ils s'en sortir, que vont-ils devenir et surtout pourquoi Corinne leur fait vivre cela, sont les grandes questions qui ont accompagnées ma lecture.



C'est une histoire d'amour, de fraternité, de résilience, de deuil, de non-dit. J'ai beaucoup aimé ce premier tome (je trouve par contre que la comparaison avec Lucinda Riley n'est pas forcément adéquate). J'ai beaucoup aimé le personnage de Cathy qui est loin d'être naïve pour son jeune âge et qui fait preuve d'une grande force de caractère et d'abnégation pour la fratrie dont elle fait partie.



Il y a des secrets de famille, des complots qui pèsent autour de ces enfants qui n'ont rien demandés et subissent les décisions d'adultes devenus bourreaux.
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Il arrive que l’on ne parvienne pas à prendre la distance nécessaire en lisant une œuvre emplie de sentiments poussés à leurs extrémités. Terriblement dur en la matière, le deuxième tome de la saga Fleurs Captives a été pour moi une lecture particulièrement éprouvante.



Les enfants Dollanganger soignent leur traumatisme du mieux possible. Mais alors que Chris a trouvé la ressource pour pardonner, Cathy reste hantée par l’idée de se venger. Dans cette douloureuse reconstruction, les enfants grandissent et s’évertuent à accomplir leurs rêves.



Une fois de plus, c’est un roman poignant que livre Virginia C. Andrews. Bien que l’histoire s’ouvre sur la rencontre trop fortuite à mes yeux entre nos héros et Paul, nouveau personnage, la relation développée ensuite entre eux a su capter mon attention et un côté malsain en ressort immédiatement.

Mais je dois bien avouer que le plus marquant dans cette suite est l’impression de souffrance – qu’elle soit mentale ou physique – quasi constante qu’on y lit. Tour à tour tourmentée ou tourmentant, Cathy est la pierre angulaire de chaque page ; en se perdant entre son statut de victime et celui de vengeresse, ses actes m’ont autant énervé que sa détresse et sa colère justifiées m’ont émue. Le développement de son caractère est déroutant par la complexité de ce qui se joue en elle : tout à ses accusations, elle en oublie l’inhumanité abhorrée qu’elle acquiert elle-même peu à peu.



Dur, ce récit m’a donné les larmes aux yeux. En effet, ce roman est une violence psychologique à laquelle il faut être bien préparé, et je n’étais vraisemblablement pas assez blindée pour supporter avec assez de détachement ce à quoi la romancière, douée pour happer l’esprit de ses lecteurs, confronte ses personnages.



Pétales au vent s’inscrit dans l’approfondissement d’une histoire sombre et malaisante, des mots que vous risquez de relire lors de mes prochains retours sur la suite de la saga.



Âmes sensibles : veillez à être suffisamment préparé avant de plonger dans cette saga immersive.
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A la mort de son mari, Corinne est obligée de retourner vivre dans la demeure parentale en compagnie de ses quatre enfants car elle n'a plus les moyens de subvenir à leurs besoins puisqu'elle ne travaille pas et l'ensemble de leurs biens vont leur être retirés puisqu'ils vivaient au-dessus de leurs moyens.

Afin de recouvrir sa part d'héritage, cette mère va devoir enfermer ses enfants en leur faisant espérer que cette situation sera de courte durée c'est-à-dire le temps que le grand-père décède et qu'elle se réconcilie avec lui.

Cette situation qui ne devait durer que quelques jours se transformera en semaines, en mois voire des années.

Alors que les deux enfants les plus âgés, Catherine et Christopher, font en sorte de magnifier cette circonstance, ils n'ont qu'une idée en tête celle de s'échapper à n'importe quel prix.

Ce premier volume de la série littéraire Fleurs captives de Virginia C. Andrews est très addictif car le lecteur est en attente de réponses à savoir par exemple si les enfants vont s'échapper et de quelle manière ? Dès le début, le lecteur s'interroge, par le biais du personnage principal, quant à l'existence des grands-parents dont il n'est pas fait mention pendant une bonne partie de la vie de Corinne et sur la raison pour laquelle elle a été reniée par ses parents.

Le lecteur vit l'histoire au travers de Catherine, personnage principal âgé de douze ans, et partage ainsi le quotidien de quatre enfants séquestrés, terrorisés par la grand-mère. Ce dernier éprouve diverses émotions car il ressent selon les circonstances de la compassion voire de la pitié pour ces jeunes enfants maltraités et également l'espoir qu'ils s'en sortent.

J'ai découvert ce livre à l'âge adulte et peut être que je ne suis pas le public cible.

Je n'ai pas apprécié ce roman. La captivité de quatre jeunes enfants dans le grenier de leur grand mère est le coeur du livre.

J'ai eu le sentiment qu'il y a vraiment des longueurs et qu'il se passe peu de choses.

Certains passages sont assez peu réalistes également.

Le style est lisse.

Je suis donc passée à côté de cette lecture dont je vois pourtant beaucoup d'avis favorables.

Coup de cœur ! Je veux le Tome 2 !!!



Voici une saga sortie en 1987 et composée de 5 livres. Le livre poche nous le propose dans une nouvelle édition, très jolie couverture d'ailleurs.



Dès les premières lignes j'ai été électrisé par l'histoire.

Séquestration, manipulation sont de mise. Des enfants confinés a qui l'on demande la plus grande discrétion sous couvert de menaces.



L'expérience du confinement rend certains passages si réalistes, pourtant nous pouvions prendre l'air, voir le soleil, ouvrir une fenêtre.



C'est dur, poignant, horrible et tout comme les enfants on garde espoir, mais cela est-il suffisant... l'espérance !



Je ne veux pas trop en dire mais si vous aimez les ambiances glaçantes, avoir le souffle court et la larme à l'oeil, ce livre est pour vous. Si vous êtes sensible à la maltraitance des enfants, peut-être faut-il vous abstenir.

Il s’agit du premier tome d’une saga de 5 livres publiée dans les années 80.



Corinne vit une vie paisible avec son mari et ses 4 enfants. Un jour, son mari meurt accidentellement. Ruinée, elle retourne chez ses parents. Pour une question d’héritage, elle doit cacher l’existence de ses enfants à son père. Sa mère, qui se montre vindicative et terrible, lui propose de les cacher dans le grenier de la grande demeure familiale. Cela doit être l’affaire de quelques jours en attendant que le père meurt...



J’ai eu du mal à entrer dans l’histoire à cause de l’ambiance malsaine et dérangeante de ce roman : séquestrer 4 enfants dans un grenier sans lumière. Quelle idée horrible !



J’ai eu beaucoup de peine pour les enfants. Surtout que l’histoire est racontée par l’aînée, Cathy, qui a 12 ans.



Bizarrement, même si c’est malsain, c’est très intriguant : quand vont-ils être libérés ? Que va-t-il se passer ? Est-ce que le cauchemar va prendre fin ?



Le thème de l’inceste est également présent. Quelques scènes sont dérangeantes. Et c’est raconter de manière assez bizarre.



Vous l’aurez compris, l’ambiance de ce roman est dérangeante, malsaine. Il n’empêche que c’est assez addictif, je suis curieuse de connaître la suite, en espérant que ce soit moins glauque…

Réédition d'une série parue dans les années 80



Le macaron accrocheur choisit par l'éditeur, on en parle ou pas ..... ( rien à voir avec l'univers Lucinda Rilley)



Un roman noir, plus on avance dans l'histoire et plus cela devient gênant d'être spectateur de cet enfer



Ayant le 2 tome dans ma PAL, je vais donc continuer cette série, je croise les doigts pour que "le soleil " apparaisse enfin pour ces 3 enfants

Je suis faible, c’est un fait avéré. Alors quand on m’a dit que l’autrice de La vie qu’on m’a choisie s’en était inspirée et que j’ai vu le macaron « pour les fans de Lucinda Riley », je ne pouvais que craquer. Il s’agit d’une réédition d’une série sortie il y a fort longtemps mais que je n’ai jamais lu, merci à la maison d’édition d’avoir remis la couverture au goût du jour, les précédentes n’étant clairement pas attrayantes. J’ai adoré cette lecture mais avant d’aller plus loin je tiens à préciser que je n’ai vu aucune similitude avec Lucinda Riley… C’est un macaron vendeur certes, mais un peu trompeur. Heureusement j’ai adoré cette lecture !



Attention ce roman n’est pas un roman facile, ni un roman à mettre entre toutes les mains. Certains thèmes abordés sont lourds et moralement douteux. L’autrice arrive à faire vaciller nos convictions et nos certitudes, et joue clairement avec les limites des bonnes moeurs. Certains actes que je condamnerais en temps normal me sont apparus moins tranchés, moins contestables. Je tais volontairement le thème qui me viens à l’esprit pour ne pas gâcher la lecture de ceux qui voudraient découvrir ce roman, mais sachez que l’autrice réussi ce pari fou grâce à l’ambiance qu’elle a su créer. Une ambiance sombre, malaisante, oppressante, angoissante, suffocante. Il y a une vraie noirceur qui se dégage de cette histoire. En dehors de cet emprisonnement qui rendrait claustrophobique même les agoraphobes, il y a vraiment quelque chose de malsain et de dérangeant dans cette intrigue. Que la grand mère soit horrible, passe encore, mais comment une mère peut elle accepter que l’on traite ses enfants ainsi ? C’est inconcevable pour moi. J’ai été horrifiée, que dis je ulcérée par le sort réservé à ces enfants. Il y a une véritable escale dans la violence, qu’elle soit physique ou psychique, et les détails troublants se révèlent glaçants.



L’histoire est racontée par les yeux naïfs et innocents de l’enfance, une enfance qui sera volée et brisée. Et c’est ce qui est le plus terrible. Quand nous adultes prenons conscience que le mal s’est infiltré partout, les enfants ne sont qu’indulgence et pardon… Le contraste entre cette candeur enfantine et cette perversion adulte est saisissante, perturbante limite provocante. Clairement ce fut une lecture éprouvante émotionnellement dont on ne ressort pas indemne, mais ce fut surtout une lecture très prenante. Nous avons envie de comprendre : pourquoi ? Nous sommes envie de voir les enfants s’échapper : comment ? Mais la seule chose qui nous aide tous à tenir c’est finalement l’espoir, cette petite lueur dans l’obscurité. Et quand on referme la dernière page, un seul mot nous vient à l’esprit : revanche !



Dérangeant, malaisant mais captivant !
Lien : https://monjardinlitteraire...

FLEURS CAPTIVES

Virginia ANDREWS



Une superbe famille, quatre beaux enfants.

Le père décède et tout le monde se retrouve démuni.

La mère va tenter d’approcher ses parents, qui eux sont immensément riches mais qui l’on reniée lors de son mariage.

Ces parents sont aussi de véritables despotes, des fanatiques religieux.

La mère, véritable garde chiourme, place les enfants dans deux pièces, une salle et une chambre et leur ordonne de ne pas sortir de ces pièces tant que leur mère n’aura pas amadouer son père pour qu’il accepte ses enfants qui pour lui sont des enfants de satan.

Jour après jour les enfants sont certes couverts de jeux et de cadeaux, mais sont enfermés, ils ont découvert un grenier par une porte cachée et y font leur paradis.

Leur mère leur donne sans cesse de l’espoir de bientôt pouvoir courir partout et reprendre l’école, mais plus le temps passe, plus la mère change elle aussi de bord.

Mais pas dans le sens du fanatisme religieux, non dans celui du faste et du luxe qu’elle n’avait jamais eu faute de moyen.

Elle ne dit pas aux enfants que le grand père est décédé et ce n’est que lorsqu’un des quatre enfants est gravement malade que les autres l’apprennent et décident de s’enfuir.

Un livre qui fait un peu froid dans le dos, superbement bien écrit.

Mais que l’on pourrait placer à l’heure actuelle à tous ces enlèvements et séquestration.

Ce livre fait aussi partie de la série des fleurs captives)

Andrews Virginia

Le jardin des ombres

Jeune fille orpheline, pas très jolie, comptable pour son père pense qu’elle ne pourra jamais avoir une vie normale comme ses compagnes.

Pourtant le beau Malcolm va demander sa main, mais celui-ci ne s’est jamais remis de l’absence de sa mère qui l’a abandonné enfant et de ce fait il peut être dur et violent.

Ils auront deux fils, et le troisième enfant sera mort-né. Mais pour lui il voulait une fille, ce qui le rend encore plus désagréable.

Pendant ce temps, sont père s’est remarié avec une jeune femme très jolie qui a un fils Christopher

Il ne peut s’empêcher de voir en elle sa mère partie, et il en vient à pratiquement la violer. Fatalement elle tombe enceinte et c’est une fille. Dès la naissance de cet enfant, il exile sa belle-mère ainsi que son fils et tombe en extase devant la petite fille.

Mais quelques années plus tard, sa belle-mère lui demande de l’aide, son nouveau mari est décédé et elle a quatre enfants. Ils peuvent venir dans une aile du manoir mais Malcolm a une attaque lorsqu’il apprend que sa bien-aimée Corinne, fille de lui et sa belle-mère tombe amoureuse de Christopher.

Il est paralysé et insupportable. Pour se consoler son épouse toujours fidèle et qui a malheureusement perdu ses deux fils fait venir son cousin John Amos pour combler sa solitude et son désespoir

Donc avec ce livre on a les réponses à l’imbroglio familial du livre intitulé bouquet d’épines.

Andrews Virginia

Les enfants des collines

C’est l’envers de l’Amérique, la pauvreté à deux pas du luxe, l’ignorance à cent mètres des écoles

Une cabane sordide où s’entasse avec ses frères et sœurs Heaven qui se demande parfois pourquoi ses parents l’on appelée ainsi

Mais s’aperçoivent-ils qu’elle existe, il y a la misère matérielle, la solitude, le sentiment d’être rejetée sans savoir pourquoi comme si elle avait commis une faute mystérieuse.

Mais elle apprendra le secret de sa naissance, que la vie de son père a été brisée.

Il fera adopté ses enfants faute d’argent, les deux plus jeunes dans une famille gentille, l’ainé Tom où il sera confronté aux durs labeur de la ferme, Fanny quant à elle sera adoptée par le pasteur et sa femme et elle dans une famille où le mari est beaucoup plus jeune que sa femme et cette femme va la détester car par le passé, elle a aimé son père.

Son soi-disant père adoptif tombe amoureux d’elle et tellement seule et malheureuse, elle cède

Mais elle pourra revoir ses frères et sœurs qu’elle aimait et Logan son amour de jeunesse, mais il faut qu’elle parte car elle a découvert le secret de sa naissance et va partir pour les retrouver.

Le roman des romans mais cela délasse en ces temps sombres