Virginia C. Andrews

Je viens de revoir ce titre.

J’ai lu cet étrange roman il y a des années et revoir sa couverture m’a fait me souvenir à quel point j’avais aimé cette lecture, comment j’avais dévoré ce roman étrange.

Je ne le relirais pas afin de garder cette impression intacte.

Décidément, Mélody n'a pas de chance dans la vie : elle est pauvre, son père meurt à la mine et sa mère puérile perd son travail puis disparaît avec un autre homme dans l'espoir de devenir mannequin. Elle est alors hébergée chez sa tante qu'elle ne connaît pas et qui voit en elle le fantôme de sa fille morte noyée. Ah j'oubliais! Elle se lie d'amitié avec sa jeune cousine... qui est sourde.



Vous l'aurez compris, l'autrice joue à fond la carte du mélodrame. C'est vrai que j'aime les histoires tristes mais là, c'est trop gluant et surfait à mon goût. Les titres des chapitres en donnent un bon aperçu: "Belle rêveuse", amer chagrin / Déracinée / La seule mère que j'avais / Vent d'orage / Persécution / Rien ne vaut la douceur du foyer...



Ce livre m'avait plutôt plu dans mon adolescence mais il faut croire que j'ai perdu une partie de ma candeur romantique car sa relecture s'est révélée difficile.

Melody est le premier tome de la série La famille Logan. Personnellement, je m'arrêterai là.

J'avais à peu près le même âge que l'héroine quand je l'ai lu, et je passais moi aussi beaucoup de temps avec ma grand-mère. J'ai donc très vite adopté la saga. Virginia a réussi à me faire voyager en Louisiane dans le bayou entre les alligators, les eaux des marécages et les repas Cajun, sans jamais "décoller" de mon canapé.

Malsain mais j'aime bien.



Mon premier roman de Virginia C. Andrews. Déjà, l'illustration de mon édition promet une ambiance particulière. Une gentille petite fille en chemise de nuit assise sur une imposante chaise à bascule surplombée par l'immense ombre chinoise d'un profil enfantin similaire au sien. Et la couverture ne ment pas, l'ambiance est lourde, très spéciale.



Élégamment écrit et non moins percutant qu'un roman au style plus trash, ç'aurait pu être le festival de la surenchère entre la femme amputée, le viol d'enfant, la relation père/fille douteuse, l'abus narcissique, les histoires de fesses des uns avec les autres, la fausse couche sur le beau tapis et j'en passe. C'est exactement cette étrangeté poussée jusqu'au bout qui en fait une lecture si distrayante.

Les personnages, il n'y en a pas un pour rattraper l'autre et personne n'est au-delà de la corruption, tout moche ou tout beau, même si certains sont plus gratinés que d'autres. Que ce soit par faiblesse, méchanceté, stupidité, ils ont tous une tache indélébile sur le portrait psychologique que nous en fait l'auteur. Parfois, on ne voit que cette tache, mais il n'y a réellement pas de manichéisme.

D'un extrême à l'autre, le style de l'auteur est vraiment la glu qui fait tenir tout ce fatras. J'ai adoré, jusqu'à la fin. Qui est étonnante. Ah, la fin. Toute ensoleillée qu'elle soit au terme de toutes ces horreurs et faux semblants, je la vois maquillant la faiblesse en indulgence sans sortir du cercle infernal. Dommage qu'on voit arriver la grande révélation finale à des kilomètres. Mais les tours et les détours pour y arriver valent d'être lus.



Classique et sordide.

nous voilà dans le deuxième tome de la vie de heaven et les rebondissements n'en sont que meilleurs , on la suit dans sa quête de vérité et l'on partage avec elle joies et chagrins, ce deuxième tome plus intense que le premier à réussi a me faire monter les larmes

quelle aventure et ce n'est pas fini , je passe à la suite....

Alors, je tiens déjà à préciser que c'est une relecture... Mais avec toujours autant de plaisir que la première fois. Fleurs Captives et sans aucun doute ma saga favorite de VC Andrews (sûrement parce que contrairement aux autres qui sont des franchises, celui ci a vraiment été écrit par l'auteure...)



Bref, j'ai retrouvé avec plaisir cette histoire de pauvres gamins enfermés dans un grenier et qui ont bien du mal entre la grand-mère fanatique et la mère démissionnaire. Le fait que l'histoire est racontée par Cathy apporte vraiment quelque chose. Par exemple, le passage où la grand mère exige qu'elle ait la tête rasée ferait frémir toute femme normalement constituée... J'aime aussi la manière dont le comportement de Corinne, la mère, est dépeint. A travers les yeux de Cathy, on la sent vraiment s'éloigner peu à peu et renoncer sans trop d'efforts à ses enfants ( la grand-mère est un monstre, mais Corinne est encore pire.) Idem pour le personnage de Chris : contrairement à Cathy, on se rend bien compte que le regard qu'il pose sur elle est de moins en moins celui d'un frère. Et en même temps, on ne peut pas les blâmer... Déjà, la grand-mère leur met d'entrée de jeu l'idée en tête en se montrant obsédée par leur promiscuité, s'ensuit la révélation des liens familiaux entre leur père et leur mère (et tous les discours de Corinne qui dédramatisent l'inceste) et puis... Cathy et Chris endossent le rôle de parents pour les jumeaux. Sans oublier le fait d'être deux ados enfermés depuis des années dans un grenier : il y a de quoi détraquer l'esprit de n'importe qui. La suite est odieuse (quand on voit ce que Corinne est capable de faire à ses propres enfants, ça fait froid dans le dos). Néanmoins, comme Cathy raconte sa vie, de temps en temps il y a des choses qui sortent du drama ( comme leurs parties de Monopoly, le moment où ils décorent le grenier). Bref, on est vraiment dans l'histoire que l'on suit à travers les yeux de Cathy, comme si on était nous aussi dans ce fichu grenier : flippant.Bref c'est le triomphe de l'argent sur les sentiments





Ce que j'aime : la manière dont l'auteure fait entrer le lecteur dans l'histoire, la manière dont les choses se mettent en place peu à peu jusqu'à la consommation de l'inceste...





Ce que j'aime moins : bah rien en fait, si ce n'est ma violente antipathie pour Corinne





En bref : Un superbe roman sur l'inceste et la maltraitance. A lire





Ma note





9/10
Lien : http://jessswann.blogspot.fr..

quand j'ai commencé à lire la sage fleurs captive, ce volume n'était pas encore paru. Je dois dire qu'il a été pour moi comme une révélation parce qu'on comprenait comment tout d'un coup la vie de quatre enfants avaient pu basculer dans un enfer sans nom.

On quitte le personnage centrale qu'est Willow pour nous concentrer sur sa fille Hannah.

Honnêtement, j'ai eu plus de mal avec ce 3eme tome. Surement parce qu'on change de protagoniste, et que ce n'est plus Virginia Andrews mais sa famille qui s'est inspiré de ces précédents écrits.

Je ne sais pas, toujours est-il que malgré tout, Hannah est une ado attachante et qu'on traverse les épreuves avec elle. Mais je ne reconnais plus la Willow, devenue mère et sans doute basé et blessée de sa vie et de ses relations avec les plus huppés de Palm Beach.

Je garde une impression étrange de ce 3eme tome.

Cette saga a su retrouvé un nouveau souffle pour terminer cette saga assez particulière, si je peux le dire. En effet, un événement va bouleverser tous les personnages de la saga mais aussi le lecteur car il ne saura quelle personne croire dans toutes ces paroles, ces manipulations. Je ne m'attendais pas à cette fin. Je ne peux dire si j'ai aimé ou non ce tome car j'ai un avis mitigé car malgré tous ces points positifs, l'histoire n'était pas si prenante qu'au début et les personnages devenait à force très ennuyants.
Lien : http://leschroniquesdemilie...

Petite fille, j'adorais les livres de Virginia C. Andrews. Je crois que j'ai du dévorer tous ceux qui étaient disponibles à la bibliothèque.



Je remarque cependant que très peu m'ont marquée puisque j'en garde très peu de souvenirs. Je suis à peine capable de dire lesquels j'ai lus.



Pour Ruby, c'est le titre qui a attiré mon oeil. Je me souviens que j'adorais m'identifier aux héroïnes. Je pense que c'est ce qui faisait la force de ces romans : de jolies héroïnes au destin contrarié qui finissaient toujours par atteindre un niveau social différent de leur niveau d'origine après avoir dû traverser des épreuves difficiles, avoir subi des injustices, etc.



Aujourd'hui, par contre, cette littérature ne me dit plus grande chose.

Auparavant, j'étais une "mordue" de cette auteure. A l'époque, je trouvais que celle-ci était originale. Comme toutes les sagas de Virginia Andrews, les familles sont toutes maudites et le dernier tome boucle la fin de la saga ou le tome 0 qui permet de comprendre toutes les intrigues de l'histoire (une sorte de flash back sur la famille entière)



Maintenant, mon univers littéraire a quelque peu changé. Du coup, je ne sais pas si j'aurais encore autant de plaisir à lire les aventures des Landry ou une autre saga de cette romancière. Les histoires sont toujours très sombres et les héroïnes ne s'en sortent jamais indemnes, et sont même rattrapées par le passé.

Pierre après pierre, Foxworth Hall est rebâtie, tout comme tome après tome V. C. Andrews nous plonge dans une atmosphère toujours aussi oppressante ; la romancière ne cessera jamais de me surprendre par l’efficacité de sa plume.



Alors que le tome précédent changeait de protagonistes principaux pour mettre en avant deux enfants torturés par les évènements, c’est ici le retour de Cathy comme narratrice. Les enfants ont grandi, les relations sont toujours aussi pernicieuses, et c’est une ambiance suffocante qui est à nouveau déployée.



J’ai mis du temps à lire cet opus, reposant bien souvent un livre dont l’histoire travaille fortement le lecteur. En effet, souffler n’est pas permis dans cette histoire, peu nombreux sont les instants de félicité et il est bien loin d’être évident de se complaire dans ce malaise constant. Mais, comme toujours, c’est une plume habile qui parcourt les couloirs de la sombre demeure jouant de décor à ce qui ressemble à un huis clos, tiraillant le lecteur en tous sens, parvenant même à nous faire douter, dévoilant toujours plus les fêlures de personnages nuancés.



Passionnant autant que glaçant, ce quatrième tome ne m’aura apporté qu’un regret : celui d’expédier un final tant attendu qui m’aurait émue aux larmes s’il avait été davantage développé.
Lien : https://bessiesbazaar.wordpr..

"Le jardin des ombres" vient clôturer la saga familiale "Fleurs captives" en nous replongeant dans les fantômes du passé grâce au personnage central d'Olivia, la grand-mère de Cathy et Chris qui les a enfermés et maltraités dans le grenier du manoir maléfique de Foxworth Hall. Je remercie @lelivredepoche et @NetgalleyFrance de m'avoir permis de terminer cette saga sur trois générations.



Olivia Winfield a épousé Malcolm Foxworth et son mariage est un vrai désastre. Abandonné par sa mère à l'âge de 5 ans, Malcolm ne s'est jamais remis de ce traumatisme, ce qui le rend dur et violent envers Olivia. En réalité, il entretient une relation malsaine d'amour/haine envers sa génitrice : cette femme voluptueuse, impulsive, insouciante et prodigue le fascine autant qu'il le terrifie.



Olivia se sent bafouée et va finir par haïr son mari avant de s'en prendre à Alicia, la très jeune femme de son beau-père, dont elle est jalouse. Cette trop belle rivale qu'elle va séquestrer pour lui prendre l'enfant qu'elle porte... celui de Malcolm !



Avec ce dernier tome, la boucle est bouclée sur cette saga familiale tragique mettant en scène les malheurs et les secrets de trois générations engluées dans un passé malsain dont elles ne peuvent s'extirper. Une série qui se clôture sur un flashback sur l'origine du Mal qui a gangréné cette famille !

Après le troisième tome "Bouquet d'épines" centré sur Bart et Jory, ce quatrième tome intitulé "les Racines du passé" nous replonge dans ce maudit manoir de Foxworth Hall où Cathy et Chris ont vécu leur enfance douloureuse. Je remercie les éditions @lelivredepoche et @NetGalleyFrance de m'avoir permis de découvrir la suite de cette saga familiale prenante.



Bart, âgé de 25 ans, a hérité de la demeure de Foxworth Hall et décide de la restaurer entièrement. Cathy et Chris s'y installe avec leur fille adoptive Cindy qui est en conflit permanent avec Bart. De son côté, Jory est marié à Mélodie qui est enceinte de lui.



Cette famille semble avoir trouvé un certain équilibre jusqu'à l'arrivée du frère de Corinne, Joël (qui est donc le grand-oncle de Bart !). Il s'avère qu'il n'est finalement pas mort dans un accident de voiture comme tout le monde le pensait et son irruption soudaine vient déstabiliser et manipuler la personnalité tourmentée de Bart par sa foi particulière en Dieu...



J'avoue avoir été un peu lassée par le personnage maléfique de Joël qui m'a fait cruellement pensé qu'il s'agissait d'un copié-collé du personnage de John Amos du tome 3. Donc, l'histoire tragique de cette famille se répète indéfiniment comme un cercle vicieux fatal. Je vais quand même lire le dernier tome consacré aux grands-parents en espérant qu'il nous livre les derniers secrets.

Cathy est une petite fille qui aime énormément son père. Ses parents forment apparemment un couple idéal et très amoureux. Peu après la naissance de leurs jumeaux, le père meurt dans un accident de la route. La famille se retrouve vite avec des soucis d'argent tels qu'elle doit déménager chez les grands-parents maternels. Mais la famille de la maman de Cathy est certes très riche mais aussi très stricte et les enfants vont vite déchanter. Leur vie ne sera plus jamais la même.

J'ai été happée par cette histoire dès le départ. C'est un livre qui, au début, m'a fait penser à mes lectures d'enfance préférés comme Rémi sans famille, ou Vipère au poing.

Ce livre touche de front des sujets très durs et n'est pas adapté aux âmes sensibles.

On y aborde les violences sur enfant, la séquestration, la torture physique et psychologique.

Ces enfants vivent des choses abominables. C'est très dur et j'ai retenu mon souffle tout le long du texte espérant qu'ils soient enfin libérés.

Il est dur d'en dire plus. C'est un livre qui bouleverse et qui dérange. J'ai détesté la grand-mère et encore leur mère. Impossible de ne pas avoir de peine pour ce qui arrive à ses enfants.

J'ai enchaîné dès la dernière page avec le tome 2.

Petite déception pour ce second tome.



Si vous n’avez pas lu le premier tome « Fleurs captives », vous risquez d’être spoilé par ma chronique. Bien que ce roman soit une suite, ils peuvent se lire indépendamment car les événements du premier opus sont repris au fil des pages dans ce roman.



On retrouve Chris, Cathy et Carrie après leur évasion du grenier. Les années défilent et ils atteignent leurs rêves : Chris accède à des études de médecine et Cathy devient danseuse. Et tout ça, grâce à Paul, un médecin qui les a recueilli.



J’avoue qu’à la fin du premier tome je n’avais qu’une envie, que les enfants se vengent de leur mère et de leur grand-mère. Alors j’avais hâte de connaître cette suite. Finalement, c’est Cathy qui ressasse le passé et désire se venger. Chris et Carrie préfèrent laisser le passé derrière eux.



On voit que leur captivité du premier tome a énormément affecté nos trois personnages, surtout les filles. J’ai eu beaucoup de peine pour Carrie de par ce qu’elle a vécu au fil des années, elle m’a beaucoup touchée.



J’ai eu du mal avec le comportement de Cathy notamment avec les hommes. Séductrice, impulsive, je n’ai pas compris une grande partie de ses décisions. Mais je comprend que ce qu’elle a vécu est horrible et l’a changé.



J’ai trouvé quelques longueurs au cours de cette lecture mais la dernière partie m’a tout de même assez plu.



C’est donc une suite intéressante, mais le premier tome reste mon préféré. Je me laisserais tenter par la suite quand elle sortira au Livre de poche, je suis curieuse de connaître ce que devienne les personnages.

Adolescente j'ai eu ma période " Virginia C. Andrews".



J'ai adoré certaines de ses sagas, notamment la famille Logan et La famille Landry. Alors je me suis dit tiens je vais lire Fleurs Captives......



Mais hélas je n'ai pas réussit à être transporter dans cette histoire. Non pas que le livre est mal écrit, que l'on n'aime ou non l'auteur sa plume est toujours habile, mais je ne sais pas.... ce livre n'était pas fait pour moi.

J'ai lu ce roman pendant mon adolescence et il m'a tout simplement bouleversée. La cruauté de leur mère et de leur grand-mère, leurs rêves brisés, leur enfance saccagée, sont autant de passages qui m'ont glacés le sang.



C'était les premiers livres de Virginia C. Andrews que je lisais et j'en suis resté marqué. J'ai par la suite lu quelques autres de ses titres, mais aucun ne m'a autant marqué que Fleurs captives.



Finalement, je garde de ce livre un très bon souvenir. Je le relirai peut-être un jour avec des yeux nouveaux.

Après des semaines à fantasmer sur ce livre, j'ai enfin pu le tenir entre mes mains. Résultat : une semaine de lecture intensive, et je n'en suis pas sortie indemne.



Fleurs Captives aborde plusieurs thèmes : l'argent - dans un contexte contrasté entre précarité financière et richesse extrême -, la force de la corruption, la famille, et le passage à l'âge adulte.



Dans ce livre, en effet, victimes des vices des adultes, quatre frères et sœurs se retrouvent enfermés dans un grenier, condamnés à y passer une période charnière de leur vie.



Le personnage de Cathy, notamment, fait face à la puberté avec innocence, et se découvre un corps qui change. Ces bouleversements, et la naissance d'envies troubles poussant Cathy et son frère aîné Chris à briser les règles de la morale, donnent à l'histoire une dimension à la fois touchante et mélodramatique, mêlant romantisme et interdits. Cette histoire funeste, mettant en scène l'enfance spoliée des frères et sœurs comme un tableau blasphématoire, m'a particulièrement touchée et marquée.

Je recommande ce livre à des lecteurs avertis.

Un dernier tome qui est à la hauteur des précédents même si j'ai toujours autant de mal avec Cathy, la narratrice... J'ai adoré voir Bart se débattre avec ses démons et ses mauvaises influences (j'avais totalement oublié le personnage de Joël mais je l'ai redécouvert avec plaisir même s'il est quasi un copié collé de John Amos...) Les malheurs de Jory me font toujours frissonner et j'ai particulièrement apprécié le traitement du personnage de Mélody. Bart reste le plus touchant en dépit de son côté sombre et méchant. Par contre, j'ai été déçue par Cindy, j'avais le souvenir qu'elle était moins superficielle (mais j'ai été influencée par le téléfilm).



J'en reviens à Christopher et Cathy, si le premier est toujours aussi "raisonnable", Cathy m'a réellement énervée avec sa manie d'appeler les jumeaux de Jory, Cory et Carrie, de mon point de vue, elle est au moins aussi malsaine que Joël ou John Amos...



Sur le reste, c'est toujours aussi émouvant et j'aime la manière dont l'histoire tragique se répète (mention spéciale pour le moment où Cathy attend le retour de Christopher... la boucle est bouclée)



Au final, une belle lecture avec une fin particulièrement émouvante, sans en faire des tonnes.





Ce que j'aime : Bart, les rebondissements, l'écriture, la relation Bart/Cindy





Ce que j'aime moins : Cathy et sa fixation sur le passé, le personnage de Joël redondant après John Amos





En bref : Un magnifique tome qui clôt en beauté la saga





Ma note





8/10
Lien : http://jessswann.blogspot.fr..