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L’autrice y raconte la découverte de sa grossesse et son cheminement pour avorter a une époque où cela était illégal en France.

Recueil de textes d’accompagnantes a la naissance autour de la justice reproductive. Livre militant

Roman largement inspiré du contexte de la politique de l’enfant unique en Chine. l’heroine est une femme cherchant à preserver son enfant à naître et sa fille aînée de la repression du régime.

Roman. La mère, n’ayant pas désiré son fils, le néglige et le délaisse, ce qui va conduire ce dernier à developper une structure de personnalité psychopathique.

« L'amour maternel est-il un instinct qui procéderait d'une " nature féminine ", ou bien relève-t-il largement d'un comportement social, variable selon les époques et les mœurs ? Tel est l'enjeu du débat qu'étudie Elisabeth Badinter, au fil d'une très précise enquête historique menée avec lucidité mais non sans passion. L'amour en plus, un livre passionnant, dérangeant. »

Roman fantastique autour de la maternité, son deuil, puis une nouvelle grossesse. Beaucoup d’angoisse, de détresse.

Série de manga autour du lien toxique entre une mère hyper possessive et son fils.

Nouvelle. « Depuis le début de la grossesse de sa sœur, la narratrice consigne dans un journal les moindres transformations physiques de la future mère. Et quand celle-ci, passé la période des nausées, retrouve un appétit vorace, elle s'empresse de lui préparer des marmelades de pamplemousses, dont elle la régale et la gave à plaisir. Peu à peu la peau — peut-être toxique — et la chair des fruits viennent se mêler, dans son esprit, à l'effervescence mystérieuse de la "matière" en gestation... Avec un rare talent, Yôko Ogawa pousse jusqu'à l'obsession ce désir nourricier irrépressible dont le lecteur, jusqu'à la fin, ne peut que pressentir les conséquences. Par quelques allusions, elle maintient ce récit entre ironie et cruauté, au bord d'un abîme où la vie menace d'engendrer la mort. »

Roman dystopique dans lequel les femmes pouvant encore concevoir et enfanter sont réquisitionnées pour donner des enfants aux hommes en haut de l’échelle sociale.

« Elif Shafak témoigne ici avec brio de la crise d'identité à laquelle peuvent être confrontées les femmes lorsqu'elles veulent à la fois être mères et créatrices. Évoquant ces hautes figures de la littérature que sont Virginia Woolf. Simone de Beauvoir et Doris Lessing. Lait noir est aussi un portrait de la société turque dans sa double dimension : orientale et occidentale. Tout autant roman qu'autobiographie, voici le livre le plus grave et le plus drôle, le plus iconoclaste et le plus intime de l'auteur, qui réinvente la femme, pour nous dire que tout lui est possible. »

4e tome du cycle de fantasy Terremer. La protagoniste principale y recueille une petite fille mutilée, traumatisée, et la prend sous son aile. Difficile à lire parfois, mais juste et très beau.

Essai sur la posture politique des mères.