Romans dans lesquels les meurtres prennent place à bord d'un train ou aux abords d'une voie ferrée. Ou alors, le train est un des thèmes centraux de l'enquête et de l'intrigue.
Deux hommes embarquent à bord de "La Trochita", un train antédiluvien qui parcourt la Patagonie argentine. Les deux compagnons projettent de prendre en otages les passagers du train pour libérer "Beto", un prisonnier en transit. Cependant, rien ne se passe comme prévu. Il n'y a pas grand monde dans le train et la prise d'otages tourne court ; le conducteur de la locomotive y voit même une diversion !
En 1891, Louis Denfert, jeune reporter au Petit Eclaireur, est envoyé en reportage à Dijon sur une affaire au parfum de scandale : une honorable gouvernante anglaise a été retrouvée, dans le train de nuit Paris-Marseille, sauvagement égorgée et démembrée. Ce meurtre aurait-il un lien avec la disparition, un an auparavant, dans le même train, de Louis Aimé Augustin Leprince, un inventeur franco-anglais qui venait de mettre au point un appareil de projection d'images révolutionnaire ?
Dès la première nuit, un homme est assassiné. Le train est immobilisé par la neige qui empêche l'assassin de s'enfuir. Dans les wagons isolés du reste du monde, Hercule Poirot, au sommet de son art, mène l'enquête.
Deux trains allant dans la même direction roulent à vitesse égale. Mrs McGillicuddy, regarde les occupants du train d'en face. Elle aperçoit alors : un homme, debout, le dos tourné, serrant la gorge d'une femme ; il l'étranglait.
Macabre découverte à bord du fameux " train bleu " qui mène vers la Riviera les riches vacanciers : Ruth Kettering, la fille du milliardaire américain Van Aldin, a été assassinée dans son compartiment.
Istres-Marseille. Pour Jeanne, la vie est ponctuée par cet aller-retour ferroviaire quotidien. Un soir, elle trouve une lettre, glissée entre deux banquettes qui énonce : "vous êtes si belle". Mais derrière ce mystérieux soupirant se cache le meurtrier tant recherché par la police.
Rachel prend le train deux fois par jour pour aller et revenir de Londres. Chaque jour elle est assise à la même place et chaque jour elle observe une jolie maison avec un couple qu'elle imagine heureux. Un jour, elle aperçoit un autre homme à la fenêtre et quelques jours après, la jeune femme a mystérieusement disparu...
Deux hommes se rencontrent par hasard, dans un train. Chacun aimerait se débarrasser d'une personne de son entourage. Et si l'un tuait pour le compte de l'autre, il serait impossible d'établir le lien entre la victime et son meurtrier.
Une jeune femme est trouvée morte dans un compartiment de train de nuit. La police est rapidement dépêchée pour enquêter, mais la chose ne semble pas aisée. En effet, il faut démêler le vrai du faux dans les témoignages discordants de chacun des occupants des six couchettes du wagon. Mais il faut surtout arrêter l'assassin au plus vite car il ne cesse de se débarrasser des autres occupants du wagon.
Les cadavres d'un obscur fonctionnaire et d'une serveuse de restaurant de Tokyo sont découverts sur une plage de l'île de Kyushu. Conclusion : double suicide amoureux par empoisonnement au cyanure. Mais un détail attire l'attention des enquêteurs. L'homme est resté seul six jours dans un hôtel et un seul ticket de la voiture-restaurant du train est retrouvé dans sa poche.
Au coeur de la nuit, un wagon se détache d'un train-couchettes et s'arrête soudain. D'abord persuadés qu'il s'agit d'une panne, les occupants découvrent qu'ils sont perdus au milieu de nulle part. Abandonnés, oubliés par les secours, certains partent en éclaireurs et disparaissent. (suggestion de GabySensei)
La bête humaine, c'est le conducteur de train Lantier, le fils de la pauvre Gervaise de L'Assommoir et la victime d'une folie homicide. S'il désire une femme, un atroce désir de sang l'étreint. La bête humaine, c'est aussi sa locomotive à vapeur, la Lison, une puissante machine aimée et entretenue comme une maîtresse. Avec elle, il affronte une tempête de neige sur la ligne Paris-Le Havre et une effroyable catastrophe ferroviaire.