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EAN : 9781774537435
Kobo Originals (12/10/2022)
2.26/5   21 notes
Résumé :
Lorsque Liza part pour un week-end romantique avec sa femme, la pragmatique Hanna, elle espère oublier quelques jours leur trépidante vie professionnelle. Et tout particulièrement son podcast, « Deux filles, du vin, des crimes », dont le succès grandissant met son mariage en danger.
Mais c’est un tout autre scénario qui l’attend : le couple se retrouve coincé par la neige dans un château des Highlands, avec en prime un mystère criminel digne d'Agatha Christi... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (19) Voir plus Ajouter une critique
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Tout d'abord, merci à Kobo et Babelio pour l'envoi de ce livre numérique.
Une vague imitation d'Agatha Christie.
J'ai mis un certain temps pour lire ce « polar » et ce n'est pas bon signe, oui, je m'y suis un peu ennuyée.
Je me suis retrouvée dans une ambiance de déjà lu, un huis clos comme en ont écrit Agatha Christie, Robert Thomas (8 femmes), Camilla Läckberg (Cyanure) etc...
Liza et Hanna, mariées depuis 10 ans se rendent en Ecosse, dans un château transformé en hôtel de luxe, pour y passer un petit séjour « de remise à niveau de leur couple ». Malheureusement, elles n'y trouvent pas la quiétude qu'elle étaient en droit d'attendre, un meurtre vient assombrir le moment, et ce en plein milieu d'une tempête de neige qui les isole du reste du monde ! Et comme dans ce genre de livre un meurtre peut en cacher un autre, voire d'autres….. Chacun soupçonne l'autre et les hypothèses vont bon train.
Chacun y va de sa petite enquête. C'est mou, grotesque par moment. L'écriture est quelconque, un trop plein du mot « merde » omniprésent et malvenu. Quant à la chute…. c'est bof !
J'avoue que j'attendais plus, la quatrième de couverture était plus prometteuse.
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Sixième lecture dans le cadre de la Masse Critique Original Kobo qui fut, à mon grand regret, une douche écossaise... en Ecosse !

Extrait du résumé :

"Lorsque Liza part pour un week-end romantique avec sa femme, la pragmatique Hanna, elle espère oublier quelques jours leur trépidante vie professionnelle. Et tout particulièrement son podcast, « Deux filles, du vin, des crimes », dont le succès grandissant met son mariage en danger. Mais c'est un tout autre scénario qui l'attend : le couple se retrouve coincé par la neige dans un château des Highlands, avec en prime un mystère criminel digne d'Agatha Christie."

Sous la neige qui tombe dans un château au milieu des Highlands avec des résidents très étonnants, pas de réseau, tout pour passer un week-end déconnecté et romantique ! Une ambiance huis-clos Agatha Christie et Cluedo très agréable avec un petit côté suranné qu'on s'attend à trouver dans ce genre d'endroits.

Le cozy crime est très bien avec plein de suspense et de suspicion, un certain réalisme instauré par Liza qui compare ce qu'elle voudrait faire, irréaliste, avec les romans du même type !

La partie qui aurait dû être romance, non pas que ça me manque, n'est pas à la hauteur, franchement pas romantique !

J'avais bien intégré que c'était un couple, marié, de lesbiennes mais là où c'est devenu d'une lourdeur ridicule c'est qu'à toutes les sauces et très souvent, le mot “épouse” a été utilisé alors que le prénom aurait pu sans souci prendre sa place ou "femme", puisque “mon épouse” ne nous a pas non plus été épargné, ou “elle” mais encore “la” comme dans “elle la lui donna” plutôt “qu'elle la donna à son épouse” !

Pour certains paragraphes, c'est dans toutes les phrases, ad nauseam ! L'enquête a beaucoup perdu de son suspens et de son rythme et j'ai noté quelque chose qui me serait passé inaperçue : Sir Richard a été traité de sexiste alors qu'il avait dit “jeune femme” à l'une des épouses !

Je ne sais pas ce que l'auteur a voulu faire passer comme message mais je ne comprends pas du tout ! Un couple, quel que soit le sexe des personnes et son statut, reste un couple : deux personnes qui s'engagent l'une envers l'autre !

J'ai eu la nette impression que l'auteur avait la structure de son polar et que pour tenir un engagement sur le nombre de signes il a fait du remplissage, car pour couronner le tout, les soucis de leur couple sont restés nébuleux ! A la moitié, je n'ai fini par lire que la partie enquête avec des personnages assez truculents !

Je n'en remercie pas moins Babelio et Kobo car jusqu'à celui-ci j'ai plutôt eu des bonnes surprises sur des thèmes que je n'aurais jamais cherché à lire !

#massecritiquebabelio #massecritiquekobo2022
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Déjà le sixième roman dans le cadre de la Masse Critique Original Kobo, que le temps passe vite. Merci pour cette aventure.

Le résumé de ce roman est plutôt attirant, la perspective d'être plongée dans une ambiance Agatha Christie était fort réjouissante.

Oui, mais voilà, tout le monde n'a pas le talent d'Agatha Christie....

Un hôtel isolé en Ecosse, une tempête de neige, l'impossibilité de communiquer avec l'extérieur, et des meurtres qui se succèdent. Tout sonne comme Les dix petits nègres. Ou comme Koh Lanta...

Un couple lesbien, qui connaît des "difficultés", se retrouve pour un week-end dans ce cadre presque idyllique.
De leurs soucis de couple on connaît tout depuis le départ et on ne risque pas de l'oublier car ce thème est abordé, ré-abordé, à en avoir une overdose. Roman policier ou thérapie de couple ?

Pour les distraire de leurs disputes sous-jacentes, une mort suspecte arrive à point nommé. Liza, qui anime un podcast sur d'anciennes affaires criminelles, se sent investie de la mission d'élucider ce qui ressemble vite à un meurtre.

Les morts se succèdent mais les hôtes ne semblent pas très affectés. Laissons le personnel ranger les cadavres dans l'écurie et poursuivons notre séjour.

Les personnages secondaires sont intéressants mais trop peu utilisés.
Tout est traité avec une sorte de désinvolture qui finit pas être agaçante.
Pour moi, lectrice, pas de peur, pas d'envie de savoir, juste un ennui profond qui s'installe au fur et à mesure. Où sont les frissons ?

La lecture n'est pas désagréable en soi car le style n'est pas mauvais mais que de blabla pour un si piètre résultat.



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Je tiens en premier lieu à remercier ce nouvel envoi de la Masse Critique Spéciale, merci à Babelio et à Kobo.

J'adore lire des policiers, thrillers en tous genres, et depuis que j'ai découvert les "cosy mysteries", je dois dire que ce genre de romans me plaît énormément, j'en trépigne presque d'avance car j'adore ces ambiances "so british" (enfin pas tout le temps mais très souvent).
J'avais donc hâte de découvrir cette histoire, avec Liza et Hanna, un couple de femmes mariées depuis 10 ans. Elles se rendent en Ecosse, région que j'avais adoré visiter il y a quelques années!
Bon le charmant château choisi pour un weekend romantique se transforme vite en château de l'horreur quand un premier cadavre est découvert! Adieu le weekend pour faire repartir l'étincelle, la flamme de l'amour dans leur couple... C'est même plutôt bonjour les prises de tête!
Entre Hanna, très terre à terre, pragmatique, qui veut rester tranquille et attendre que tout soit fini, et Liza qui se sent l'âme d'une grande détective et veut mener l'enquête, il y a de quoi faire question désaccord entre les deux jeunes femmes!

J'ai bien aimé l'ambiance générale de l'histoire, dans ce château en Ecosse, où toute une galerie de personnages qu'on dirait tirés du Cluedo, se retrouvent coincés et avec un ou plusieurs meurtriers...
En soi l'histoire est agréable à suivre, mais au bout d'un moment ça tourne un peu en rond, et j'ai eu plus de mal à rester concentrée sur l'enquête.
C'était un peu poussif par moments, ça stagne un peu, bref ça se lit, mais il ne faut pas trop réfléchir non plus pour garder un certain attrait à cette lecture.

Le fait qu'Hanna et Liza soit un couple de lesbiennes mariées sort un peu de l'ordinaire, après je ne sais pas si j'ai bien saisi où l'auteur voulait en venir en insistant autant sur les "mon épouse" par-ci, "mon épouse" par-là...
Même quand un personnage dit "Jeune fille" à l'une d'entre elles, ça a été pris pour du sexisme ou contre les couples gays/lesbiens et dénoncé comme tel... Certes le personnage est sûrement maladroit par la volonté de l'auteur, mais de mon point de vue, le "jeune fille" n'était pas plus si grave. ça a un côté relation (grand) parent à (petit) enfant, mais il aurait dit "jeune homme" à un garçon ça ne m'aurait pas plus choquée.

Et même les problèmes de couples entre les deux femmes ne sont pas si bien exploités que cela. En tant que lecteur on passe un peu à côté, car on manque de pas mal d'informations.
Pourtant l'histoire commençait directement avec ça, mais ça a aussi eu un petit côté de soufflé qui retombe à la sortie du four car on a trop attendu...
ça m'a même un peu lassé de lire les passages sur leurs problèmes personnels.

ça en reste une lecture agréable, tous les éléments sont là, le couple de femmes aurait pu apporter un peu de fraîcheur, mais en fait là encore l'auteur est un peu trop resté dans les stéréotypes du genre.

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Souhaitant redonner un peu de dynamisme à leur couple, Hanna et Liza partent en week-end en Ecosse. En effet, leurs carrières respectives les éloignent, d'autant plus que Liza rencontre un vrai succès dans ses podcasts sur les crimes. Un thème que cette dernière va devoir affronter dans la réalité, puisque très vite, un des vacanciers de l'hôtel où le couple réside, décède, tombant d'un des étages. Et lorsque les meurtres se succèdent, Liza mène l'enquête…
Classé comme cosy mystery, j'y ai plutôt vu un whodunit somme toute classique : des personnages types, un hôtel isolé dans la campagne écossaise, une scène de résolution caractéristique, etc… et j'ai beaucoup apprécié. Toutefois, il m'a franchement manqué l'humour présent dans les cosy mysteries ainsi que le côté romantique que l'on y trouve souvent.
L'originalité de ce roman tient au fait que les personnages principaux sont deux femmes mariées. Malheureusement, le côté couple lesbien n'est pas suffisamment exploité pour que cela apporte un réel plus à l'intrigue. Quelques lourdeurs de style sont à noter également. Donc un avis mitigé, avec une petite déception sur certains aspects du livre…
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Le crime, asséna Belloc d’un air sentencieux, n’est pas un sujet dont on bavarde entre copines en prenant l’apéro. Le crime est un sujet sérieux, pour les gens sérieux. Rimbaud n’a-t-il pas dit « Je me suis séché à l’air du crime » ?
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