Alexandre Bourbaki, auteur irréel et réaliste, auteur amalgame et proto-scientifique, nous livre ici une pseudoautofiction où il rencontrera l'oeuvre de Molinari dans une buanderie de Mailloux. Après les nouvelles du
Traité de balistique, Alexandre Bourbaki s'engage dans la voie du roman, «se» racontant dans une oeuvre où l'irréel côtoie l'infraordinaire, où la chaise Solair,plaçé à la porte d'un motel, fait face à une montagne qui a le projet de disparaître.
Grande plaine IV est, j'espère, encore au début d'un projet d'écriture de ce groupe bourbakiste.
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