Les troubles et difficultés de Komi sont toujours aussi bien tracées, et mention spéciale à son père. Dans son "malheur", elle a la "chance" d'être considérée comme une "déesse".
Katai fait son apparition, il ressemble à un voyou mais tout est plus compliqué. L'humour est mieux dosé dans ce tome, sauf au niveau de Yamai qui est toujours aussi gênante et peut donner envie de fuire le manga, ce qui serait dommage vu qu'on n'a pas souvent ce genre de thématique abordée et en plus correctement.
Dans ce tome, Komi va faire l'effort d'aller au karaoké avec ses amis, mais pourra-t-elle chanter ? Elle y était déjà allée avec sa famille.
Elle tient de son père, et ils sont aussi troublant que touchant quand ils leur faut de nouveaux vêtements, mais la mère de famille semble aussi doué que Tadano pour décrypter ce qu'ils veulent dire.
Les jeunes hommes en ébullition vont jouer à un jeu où ils fantasment une situation où ils sont avec une fille, c'est plutôt truculent, Komi leur semble toujours aussi inaccessible.
Katai débarque alors qu'il a été aux abonnés absents, avec ses airs de loubard, ce sourire qui fait peur, mais décidemment les apparences peuvent être bien trompeuses.
Quelques évènements de lycée, des moments à partager et Tadano qui encourage Komi à demander à d'autres personnes pour l'entraîner. Il sera également question d'examen de fin de trimestre et de révision, ainsi qu'un bar à chats.
Les difficultés de Komi sont toujours aussi bien représentées : la peur d'entrer dans un magasin, la difficulté de demander quelque chose, la crainte du rejet, etc.
Komi est toujours aussi craquante et progresse à son rythme, elle est plus à l'aise avec Tadano que d'autres. Les gens se trompent toujours face à certaines personnes et choses.
Une série qui vaut le coup pour Komi et ce qu'elle aborde : l'anxiété sociale.
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Un trailer fan-made ( non officiel ) pour le manga "Komi can't communicate"