Tous les deux mois, je retrouve avec grand plaisir la famille Emerson. Grande famille puisqu'elle comprend les êtres liés par le sang mais aussi par le coeur. Et dans ce tome ci, un personnage emblématique de la série est enfin accueilli dans ce groupe comme il le mérite.
Encore une fois, nous allons d'aventures en rebondissements, et la conclusion est magnifique puisque nous assistons à la découverte d'un ancien temple.
On ne s'ennuie jamais avec les péripéties d'Amélia et c'est toujours avec délectation que j'en lis un tome.
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Je conseille cette série à tous les amoureux d'Egypte, d'archéologie, de policier, de mystère et de personnages attachants et un brin malicieux, d'humour,… Bref à tout le monde. le style d'Amelia Peters est efficace, rythmé. On passe un excellent moment avec le couple Peabody et leur fils facétieux, Ramses.
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Salisbury n’avait pas renoncé aussi facilement. Une seconde invitation – un dîner dans l’hôtel particulier de la famille à Londres – nous parvint peu après mon premier refus courtois. Je savais parfaitement qu’il n’était pas poussé par le désir de faire notre connaissance. Il agissait ainsi sous la pression d’autres personnes qui n’étaient guère disposées à renoncer, elles non plus. Je fis valoir ce fait à mon époux grognon, et il finit par admettre que nous ferions aussi bien d’affronter Sa Seigneurie et de mettre un terme à cette affaire une bonne fois pour toutes.
Russell se prend pour un détective, qu'il vienne et détecte !
Donnez moi un cheval ! cria Emerson, aussi obstiné que Richard III.
Emerson aurait insisté pour conduire. Or, pour lui, manoeuvrer une automobile consiste à filer tout droit vers sa destination sans ralentir ni changer de direction.
Elizabeth Peters parle de "A River in the Sky"
(Non sous-titré en français)