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Code Stalingrad tome 1 sur 3
EAN : 9791022798969
300 pages
Alexandre ALLAMANCHE (25/02/2019)
4.5/5   11 notes
Résumé :
Rivé au hublot du module Colombus, l'équipage de la Station Spatiale Internationale regarde avec stupeur le vaisseau inconnu qui vient d'apparaître à trente mètres des panneaux solaires tribord, Immobile, n'émettant aucun signal et ne renfermant apparemment aucune activité, les Nations Unies décident de tenter une première approche par l'intermédiaire de l'ISS.
Trois cosmonautes de la Station effectuent alors une sortie et réussissent à entrer dans l'apparei... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (9) Voir plus Ajouter une critique
Code Stalingrad - Tome 1 - Alexandre Allamanche - Lu en PDF en juillet 2020.
Originaire de la région lyonnaise Alexandre Allamanche est né le 23 décembre 1980 à Sainte-Colombe. Amoureux des livres depuis son plus jeune âge, il publie son premier roman en auto-édition à la rentrée 2017. Intitulé "Le Treizième Empereur", il raconte le règne de Trajan dans un récit riche en rebondissements et anecdotes historiques.
Son second roman, Code Stalingrad, dont les deux premiers tomes sont d'ores et déjà disponibles, est une épopée de science-fiction dont le tome III doit sortir au dernier trimestre 2020.

C'est du 1er tome que je vais vous parler, je ne suis pas trop amatrice de SF, mais comme l'auteur m'a si gentiment demandé de le lire, je me suis dit ; pourquoi pas ? Et bien m'en a pris. Je lis souvent des chroniques de SF sur Babelio, j'hésite sans fin à me lancer dans ce genre de lecture parce que ce n'est pas de la réalité, bien que certaines choses pourraient bien arriver et aussi parce que ma PAL est monstrueuse.

Revenons-en à nos moutons, ou plutôt au Code Stalingrad.

Nous sommes à Paris, il est 3h47. le chef de programme de l'Agence Spatiale Européenne se trouve dans son bureau, il attend fébrilement une réponse qui concrétiserait ce qu'il a découvert et il la reçoit , quelques mots sur un fax "qui allaient changer notre vision du monde."

7h plus tard, siège des Nations Unies à New-York.
Réunion extraordinaire , Oscar Williamson, Secrétaire Général, se rend au plus vite dans la salle où elle a lieu avec les membres permanents du Conseil, il s'agit de discuter "d'un événement qui changerait la vie non pas d'un seul pays, mais de l'humanité entière et pour les siècles à venir."

Suite à cette réunion, une conférence de presse est ordonnée par le Secrétaire Général des Nations-Unies ainsi qu'une convocation du Conseil de Sécurité.

"Un engin spatial de la taille d'un porte-avions s'est placé en orbite autour de la terre aujourd'hui..."

Si vous croyez que je vais vous en dire plus, c'est peine perdue, mais je peux vous assurer que je n'avais de cesse de lire la suite, ne pouvant pas le lire en une fois.

D'où vient cet engin ?
Qui l'a envoyé ?
Que veulent-ils ?
Amis ou ennemis ?
Pourquoi 5000 couchettes à l'intérieur ?
Pourquoi pas de pilote ?
Pourquoi des animaux ayant une similitude avec des fossiles terrestres
datant de cent à deux cents millions d'années?
Et pourquoi le titre Code Stalingrad ?

Et voilà, j'espère que je vous ai mis en appétit et que ma petite et humble chronique vous alléchera, moi j'ai aimé !



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La sortie du dernier tome de Code Stalingrad étant imminente, je me permets de parler du tome 1, moins pour le noter que pour suggérer l'idée potentielle qu'il est envisageable que des curieux puissent éventuellement...
BREF, pour être plus pragmatique, je dirais qu'il s'agit de science-fiction contemporaine, puisque les événements se déroulent de nos jours, sur Terre (du moins à certains moments...) avant que...
SSHHHHTTT!
Paradoxalement, la trame de Code Stalingrad m'est venu bien avant mon premier roman, le Treizième Empereur, lorsque j'étais adolescent même si la nouvelle écrite à l'époque ne faisait que quelques pages.
Les ouvrages d'Hubert Reeves ou de Stephen Hawking lus au cours des mois précédents les premiers mots de Mission Protéo m'ont donné des pistes "plausibles" lorsque j'aborde certains passages, et mon imagination a fait le reste au gré d'événements parfois inattendus, même pour moi...
Je n'en dis pas plus, vous remercie d'avoir lu ces quelques lignes, et vous souhaite d'excellentes lectures à venir!
Cordialement à toutes et tous, Alexandre.
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Mon premier livre 100% découvert chez Babelio, pour un roman de S-F magistral qui m'a littéralement emporté!
Je ne vais rien dévoiler de plus que ce que l'on peut lire dans le résumé, mais le rythme est très bien maitrisé, alternant les descriptions claires et concises de vaisseaux spatiaux ou des environnements divers que l'on traverse, avec les événements principaux ou encore les portraits psychologiques, courts mais qui campent bien les personnages.
L'histoire elle-même est vraiment géniale sur fond d'évolution "artificielle" et de créatures inquiétantes, et amène des réflexions, parfois philosophiques mais qui ne ralentissent pas ni ne brise le rythme.
Après une brève recherche, j'ai découvert que l'auteur est en autoédition, je ne connaissais pas le principe, qui signifie que l'auteur travaille seul, comprenez sans éditeur.
Pour conclure, une franche réussite, le titre Code Stalingrad résonne avec toute la gravité de cette bataille de la Seconde guerre mondiale, l'action se mêle à des interrogations pertinentes, et on s'attache aux protagonistes.
Si Babelio est là pour nous faire découvrir des ouvrages, celui-là est pour moi une pépite !
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Je lis parfois des livre auto édités ou d'illustres inconnus. Parfois j'ai abandonné car franchement leurs oeuvres ne me convenaient vraiment pas.

Parfois j'ai de bonnes surprises. Code Stalingrad faut partie de cette catégorie pour diverses raisons.

D'abord c'est écrit lisiblement. Ensuite l'histoire se tient. Il y a un peu de science (et pas que de la fiction). Il y a des rebondissements.

D'ailleurs je viens de finir le tome 2 et je prévois de finir mon abcderaire habituel pour la critique du tome 2.

Alexandre Allamanche un auteur à suivre.

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J'aurai mis un peu de temps à lire ce premier tome de "Code Stalingrad", pour une quirielle de bonnes raisons, et une autre, moins avouable.... je ne suis pas très Science-fiction.

Et bien j'ai véritablement dévoré ce livre !!!

Nous sommes à bord de l'ISS, et d'un coup, en regardant à travers un hublot, l'équipage découvre un vaisseau spatial non-identifié à quelques mètres à peine de la station.

Pour l'équipage de la Station Spatiale, c'est la surprise, la stupeur, le choc, l'angoisse.... bref, toutes les émotions concentrées en un minimum de temps. Amis ? Ennemis ? Joie ou crainte ?

Là est toute la question, et très vite, ce sentiment mitigé va parcourir la terre entière, au rythme des fuseaux horaires, chacun apprenant cette nouvelle incroyable, et en faisant LE sujet de discussion planétaire.

Mais pour les agences spatiales, le monde politique, l'ONU etc... très vite le naturel et la réalité vont reprendre le dessus.

Dans un premier temps, on demande à l'équipage de la Station d'essayer d'entrer en contact, puis, faute de résultats, de faire ni plus ni moins qu'une sortie dans l'espace pour aller examiner le vaisseau, de détecter une forme de vie et d'essayer de communiquer.

Soudain, sur la paroie du vaisseau, une fine forme de main, d'apparence humaine se dessine.
Pour les trois cosmonautes désignés pour cette mission, un russe, un américain et un français, les surprises s'enchaînent, en y apposant une main, la commande active l'ouverture d'une porte.

En pénétrant à l'intérieur du vaisseau, une forme singulière et connue de tous : la sonde Voyager 2, lancée en 1977 dans l'espace pour essayer d'établir un contact avec une hypothétique espèce extraterrestre.

Mais le vaisseau que l'on vient de baptiser Hermès est très loin d'en avoir terminé avec les surprises....
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Citations et extraits (8) Voir plus Ajouter une citation
Il s’arrêta tout à coup avant de prendre doucement la fusée des mains de Baptiste, pour éclairer une zone précise d’où il ramena quelque chose :
— On dirait le crâne d’un enfant…
— Il a une malformation importante au niveau de la tête remarqua immédiatement Baptiste.
En effet, l’arrière du crâne n’était pas rond, une grosse excroissance le déformant monstrueusement.
Waylon le reposa délicatement pour en prendre un autre.
Celui-là était ravagé au niveau du visage.
Les deux amis se regardèrent, sans comprendre. Cette joie qu’ils avaient ressenti en découvrant la présence possible d’une espèce plus évoluée volait maintenant en éclats devant ces ossements difformes.
Ils cherchèrent encore un long moment mais ne découvrirent plus que des ossements déformés.
— Ce ne sont pas des coups, on dirait qu’il s’agit de malformations de naissance dit Baptiste en examinant attentivement un autre crâne.
— Comment expliquer qu’ils soient tous dans cet état ? Les petits ont tous été atteints, il ne peut s’agir que d’une maladie…
— Mais aucune maladie ne décime des espèces entières Waylon, au bout d’un moment les organismes trouvent un moyen de combattre l’infection…
— Qui nous dit que cette espèce a entièrement disparu ?
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Partout sur le plateau, des animaux se mettaient également à vaciller avant de s’écrouler en libérant des dizaines de monstruosités affamées qui se jetaient sur tout ce qui se trouvait à leur portée, et le poste de communication fut bientôt submergé d’appels entrecoupés de hurlements :
— NOUS SOMMES SUBMERGES !
— IL Y EN A PARTOUT !
— LES ANIMAUX TOMBENT LES UNS APRES LES AUTRES !
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Au cours des centaines de millions d'années d'histoire de la Vie sur Terre, aucune espèce n'a été capable de construire quoi que ce soit, nulle part... Les hominidés apparaissent il y a seulement deux cents mille ans, et en un clin d'oeil à l'échelle de l'Evolution si l'on se réfère à tout ce que nous connaissons, nous sommes capables d'édifier des bâtiments titanesques, de soigner des maladies, et de lancer des sondes dans l'espace !
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- Le temps, Monsieur, le temps... Leur civilisation est bien antérieure à la nôtre, c'est la rapidité de notre évolution qui devrait tous vous interpeller. Elle est contre-nature et j'en veux pour preuve notre incapacité à respecter l'ordre des choses.
(...)
- Encore un exemple de l'immaturité de l'Humanité, bien trop jeune pour appréhender de tels dangers, dit-il en se levant.
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Il se jeta pour l’attraper et commencer sa remontée, mais dans son empressement, il trébucha sur une pierre et tomba en heurtant violemment le sol avec son scaphandre, déjà fragilisé par le choc contre le sas.
A l’impact le polycarbonate se fissura en laissant passer un mince filet d’eau qui lui cingla violemment le visage en commençant à remplir la combinaison.
— Mon scaphandre est fendu ! Je ne vois plus rien ! » hurla-t-il dans les ténèbres de la caverne, cette fois en proie à une panique incontrôlable.
Mais le fil de liaison rompu, rien d’autre qu’un grésillement ne remontait du puits en résonnant dans les haut-parleurs du cockpit, où Brabant et ses techniciens s’égosillaient dans les micros…
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