Gosick, tome 1

J'ai d'abords regardé l'anime de ce manga avant de le lire(le manga est sortie après l'anime en France!).
Ce qui m'a d'abrors attiré dans ce manga c'est le fait que notre héroïne, Victorica, est une charmante petite lolita(j'en suis moi même une!)!
Les tenues qu'elle porte sont sublimes!
Ensuite, vient l'histoire qui est juste parfaite.
Elle commence avec l'arrivée de Kujo un jeune élève étranger arrivant du Japon qui se retrouve mélé à une histoire de meutre. Pour prouver son innocence il va faire la rencontre de Victorica qui vit isolé des autres dans la bibliothèque et qui est un petit génie.
Toute s'enchaîne de façon fluide et l'on ne peut qu'avoir un gros coup de coeur pour ce manga!

Kujô est un jeune élève japonais qui va étudier en Europe. Il a beaucoup de mal à nouer des liens avec les autres. Un jour il est accusé de meurtre et rencontre Victorica, une étrange petite fille, qui ressemble à une poupée. Ses paroles sont mystérieuses et elle semble en savoir beaucoup sur tout le monde... alors qu'elle ne quitte jamais la bibliothèque.
Avis mitigé sur ce premier tome: il y a bien du suspense, des personnages féminins intéressants, mais les détails de l'histoire sont parfois obscurs, le personnage de l'inspecteur trop superficiel, on ne sent pas assez le côté gothique, promis sur la quatrième de couv!

Un premier tome à la frontière du gothisme et du mystérieux

Vous allez me dire que normalement les deux vont de paire mais en fait non pas toujours (mais cela n'est que mon avis, bien entendu). Donc Gosick, c'est l'histoire de Kujô qui est mêlé à une histoire de meurtres. Evidemment, il veut se faire innocenter et tombe sur une jeune fille, Victoria, dont on ne sait pas trop si elle est réelle, pas réelle, magique, ou juste super futée. Mais ce jeune couple d'enquêteurs va commencer à résoudre quelques mystères dans l'enceinte de ce pensionnat. Cela permet non seulement à Kujô de se faire des amis (même si Victoria n'a pas franchement l'air pour cette amitié) et surtout cela permet de mettre en avant les talents de déduction de Victoria.

On sent bien que l'influence Holmesienne est très présente, voire même omniprésente. Mais j'ai eu aussi l'impression de voire une version féminine de Black Butler (le majordome en moins, en tous cas). Bref, on voit ici de belles influences et la base est bien posée. A voir ce que donnera la suite des épisodes, histoire de voir si l'intrigue principale se tournera tout de même vers le mystère de Victoria.
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