Remèdes musicaux

Amoureuses, querelles
Ca a commencé au restaurant. Il y a eu un micmac dans la commande. Vos plats ne sont pas arrivés et, au bout de trois quarts d'heure, vous et votre moitié, le ventre vide, en êtes déjà à vider votre troisième verre de blanc. Vous avez fait une remarque anodine sur le bruit insupportable autour de vous. L'autre vous a répondu sur un ton exaspéré que dans ce cas-là il aurait mieux valu ne pas sortir du tout et res- ter une fois de plus sur le canapé devant la télé. Bref, ça s'est vite envenimé et, de retour chez vous, les cris ont fusé et les portes ont claqué. Il règne désormais dans votre appartement un silence à couper au couteau, où les seuls signes de vie sont les robinets qu'on ouvre ou qu'on ferme. La perspective de vous étendre à côté de l'autre est au-dessus de vos forces. Plutôt dormir sur le canapé en t-shirt et en caleçon que d'af- fronter ce bloc de froideur hostile qui se couche tous les soirs à côté de vous. Dans vos entrailles, vous ressentez les spasmes d'une relation à l'agonie. Le pire, c'est quand soudain remontent à la surface des images de dîner en amoureux au clair de lune sur la petite place d'un village en Toscane. Elles viennent vous frapper comme un cOup de poignard. Que s'est-il passé ? Comment en êtes-vous arrivés là ? Où donc ont disparu les...

Amoureuses, querelles
Ca a commencé au restaurant. Il y a eu un micmac dans la commande. Vos plats ne sont pas arrivés et, au bout de trois quarts d'heure, vous et votre moitié, le ventre vide, en êtes déjà à vider votre troisième verre de blanc. Vous avez fait une remarque anodine sur le bruit insupportable autour de vous. L'autre vous a répondu sur un ton exaspéré que dans ce cas-là il aurait mieux valu ne pas sortir du tout et res- ter une fois de plus sur le canapé devant la télé. Bref, ça s'est vite envenimé et, de retour chez vous, les cris ont fusé et les portes ont claqué. Il règne désormais dans votre appartement un silence à couper au couteau, où les seuls signes de vie sont les robinets qu'on ouvre ou qu'on ferme. La perspective de vous étendre à côté de l'autre est au-dessus de vos forces. Plutôt dormir sur le canapé en t-shirt et en caleçon que d'af- fronter ce bloc de froideur hostile qui se couche tous les soirs à côté de vous. Dans vos entrailles, vous ressentez les spasmes d'une relation à l'agonie. Le pire, c'est quand soudain remontent à la surface des images de dîner en amoureux au clair de lune sur la petite place d'un village en Toscane. Elles viennent vous frapper comme un cOup de poignard.

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Ca a commencé au restaurant. Il y a eu un micmac dans la commande. Vos plats ne sont pas arrivés et, au bout de trois quarts d'heure, vous et votre moitié, le ventre vide, en êtes déjà à vider votre troisième verre de blanc. Vous avez fait une remarque anodine sur le bruit insupportable autour de vous. L'autre vous a répondu sur un ton exaspéré que dans ce cas-là il aurait mieux valu ne pas sortir du tout et res- ter une fois de plus sur le canapé devant la télé. Bref, ça s'est vite envenimé et, de retour chez vous, les cris ont fusé et les portes ont claqué. Il règne désormais dans votre appartement un silence à couper au couteau, où les seuls signes de vie sont les robinets qu'on ouvre ou qu'on ferme. La perspective de vous étendre à côté de l'autre est au-dessus de vos forces. Plutôt dormir sur le canapé en t-shirt et en caleçon que d'af- fronter ce bloc de froideur hostile qui se couche tous les soirs à côté de vous. Dans vos entrailles, vous ressentez les spasmes d'une relation à l'agonie. Le pire, c'est quand soudain remontent à la surface des images de dîner en amoureux au clair de lune sur la petite place d'un village en Toscane.

Amoureuses, querelles
Ca a commencé au restaurant. Il y a eu un micmac dans la commande. Vos plats ne sont pas arrivés et, au bout de trois quarts d'heure, vous et votre moitié, le ventre vide, en êtes déjà à vider votre troisième verre de blanc. Vous avez fait une remarque anodine sur le bruit insupportable autour de vous. L'autre vous a répondu sur un ton exaspéré que dans ce cas-là il aurait mieux valu ne pas sortir du tout et res- ter une fois de plus sur le canapé devant la télé. Bref, ça s'est vite envenimé et, de retour chez vous, les cris ont fusé et les portes ont claqué. Il règne désormais dans votre appartement un silence à couper au couteau, où les seuls signes de vie sont les robinets qu'on ouvre ou qu'on ferme. La perspective de vous étendre à côté de l'autre est au-dessus de vos forces. Plutôt dormir sur le canapé en t-shirt et en caleçon que d'af- fronter ce bloc de froideur hostile qui se couche tous les soirs à côté de vous. Dans vos entrailles, vous ressentez les spasmes d'une relation à l'agonie...

Amoureuses, querelles
Ca a commencé au restaurant. Il y a eu un micmac dans la commande. Vos plats ne sont pas arrivés et, au bout de trois quarts d'heure, vous et votre moitié, le ventre vide, en êtes déjà à vider votre troisième verre de blanc. Vous avez fait une remarque anodine sur le bruit insupportable autour de vous. L'autre vous a répondu sur un ton exaspéré que dans ce cas-là il aurait mieux valu ne pas sortir du tout et res- ter une fois de plus sur le canapé devant la télé. Bref, ça s'est vite envenimé et, de retour chez vous, les cris ont fusé et les portes ont claqué. Il règne désormais dans votre appartement un silence à couper au couteau, où les seuls signes de vie sont les robinets qu'on ouvre ou qu'on ferme. La perspective de vous étendre à côté de l'autre est au-dessus de vos forces. Plutôt dormir sur le canapé en t-shirt et en caleçon que d'af- fronter ce bloc de froideur hostile qui se couche tous les soirs à côté de vous...