Dans la perspective d’une philosophie morale, cette nouvelle conception permettra un rejet du subjectivisme. L’éthique des vertus conteste en effet le point de vue selon lequel c’est l’agent qui a seul autorité pour déterminer à la fois ce qu’il a fait (voir la seconde partie de l’ouvrage intitulé « philosophie de l’action ») et si ce qu’il a fait est bon ou mauvais.
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