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EAN : 9791028103323
Bragelonne (13/03/2019)
3.49/5   47 notes
Résumé :
1643. Richelieu est mort.
Mazarin préside aux affaires de la France, en proie à des conflits politiques exacerbés par le trépas de Louis XIII. Dans l’ombre, les dragons poussent leurs pions. L’Italien est seul. Ou presque.
Car Richelieu, comme ultime présent, lui a légué son plus formidable atout : les Lames du Cardinal, une troupe de bretteurs et aventuriers qui, si souvent par le passé, ont mis les dragons en échec. Reformées autour du Comte de Cléme... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (17) Voir plus Ajouter une critique
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En 2007, Pierre Pevel publiait le premier tome d'une trilogie de fantasy qui rencontrera un succès retentissant : « Les Lames du cardinal ». Neuf ans plus tard, l'auteur acceptait de passer le flambeau à un confrère, Philippe Auribeau, qui proposait une suite se déroulant dix ans après les événements de la trilogie initiale. Éditée dans un premier temps uniquement en format numérique et sous la forme de feuilletons (dans la collection Snark des éditions Bragelonne), cette suite a récemment fait l'objet d'une publication papier (toujours chez le même éditeur) réunissant les sept épisodes et intitulée « L'héritage de Richelieu ». Nous sommes en 1643 : le cardinal et Louis XIII ne sont plus, tout comme les Lames, petite troupe d'élite à la composition et aux compétences très hétéroclites autrefois au service de Richelieu et désormais dissoute. C'était toutefois sans compter sur l'opiniâtreté de Mazarin, bien décidé à reformer le groupe, en dépit de l'opposition de ses anciens membres. L'histoire se déroule plusieurs années après les événements narrés dans la première trilogie et, si on retrouve effectivement un cadre et un historique similaires, les personnages, eux, ne sont pas les mêmes. Ne vous attendez pas, en effet, à retrouver les protagonistes de Pierre Pevel, car c'est à la deuxième génération de Lames qu'Auribeau s'intéresse. Adieu donc La Fargue, Marciac, Agnès et Saint Lucq, bonjour le comte Clément-Lefert, Thibaut Levance, Gribouges ou encore Da'Kral. Si les visages changent, l'enjeu, lui, reste le même : combattre l'influence des dragons en Europe et déjouer les menaces que ces derniers font peser sur le royaume de France. Cette fois, c'est un étrange trafic de substances draconiques qui intriguent nos Lames qui ne vont pas tarder à se voir entraîner dans une machination de plus vaste ampleur.

Le pari qui consiste à s'emparer de l'univers d'un autre auteur et à proposer une suite à l'une de ses histoires est osé, et Philippe Auribeau y met de toute évidence beaucoup d'enthousiasme. On sent bien tout au long des différents épisodes l'affection que l'auteur porte à la trilogie de base, dont il tente de faire retrouver l'ambiance aux lecteurs nostalgiques. Il y parvient d'ailleurs sur certains points. le style est, par exemple, assez similaire à celui des romans de Pevel : fluide, sans fioritures et dont le vocabulaire et le ton sont parfaitement adaptés à l'époque traitée. La reconstitution historique est d'ailleurs elle aussi assez fidèle à celle des romans originaux, Auribeau adoptant la même méthode que son prédécesseur qui consiste à insérer dans son récit plusieurs petites anecdotes concernant l'histoire ou la spécificité des lieux traversés. Si ces deux aspects sont incontestablement réussis, il n'en va malheureusement pas de même du reste. le premier gros bémol vient de l'intrigue qui, malheureusement, est bien trop minimaliste pour combler les plus de quatre cents pages du roman. L'auteur se voit alors contraint de l'étirer au maximum, si bien qu'on a parfois l'impression qu'il ne s'est pas passé grand-chose au cours de l'épisode. Tous sont d'ailleurs construits selon le même schéma : les Lames obtiennent un indice, se rendent sur place, tombent dans un piège dont ils parviennent plus ou moins facilement à sortir… avant d'être envoyés sur une autre piste qui donne lieu à un nouvel épisode. Ce manque d'épaisseur de l'intrigue oblige l'auteur à combler son récit par des scènes d'action de plus en plus longues et de plus en plus nombreuses au point qu'on finit par avoir l'impression que le roman se résume à cela : une très très longue scène de combat/course poursuite/explosion, interrompue de temps en temps par de petits interludes. le changement de décor proposé lors de certains épisodes aurait pourtant pu permettre à l'auteur de diversifier un peu le récit (on fait un détour par Caen, Saint-Malo…), pourtant on retrouve chaque fois la même trame qui se résout inévitablement par une grosse scène de baston dans laquelle le surnaturel occupe une place plus ou moins importante.

Le second gros reproche que l'on peut faire à cette suite concerne les personnages qui, en plus d'être pour certains trop calqués sur ceux de Pevel, pâtissent surtout d'un manque de profondeur. L'auteur évoque à plusieurs reprises des événements passés censés donner une part d'ombre à ses héros, mais la plupart du temps ces informations se révèlent trop lacunaires pour véritablement susciter l'intérêt du lecteur. de plus, contrairement à leurs prédécesseurs, ces nouvelles Lames ne sont pas dotées d'un caractère très amène. Certes, Saint-Lucq et La Fargue n'étaient pas ce qu'on pouvait appeler des bouts-en-train, mais même eux n'avaient pas un aussi mauvais caractère que Gribouges ou encore Clément-Lefert qui passent leur temps à houspiller tout le monde. On peut également regretter que le sentiment de camaraderie qui régnait entre les premières Lames ait ici totalement disparu : il n'y a aucune complicité, aucune amitié entre les personnages qui ne semblent collaborer qu'à contre coeur. Enfin, j'ai pour ma part eu du mal avec le personnage d'Éléonore Horville, la caution féminine du groupe. Je ne sais pas si c'est moi qui fait une fixette en ce moment sur le traitement des personnages féminins dans les romans, mais je constate depuis quelque temps que certains éléments qui pouvaient seulement m'agacer légèrement il y a quelques années me hérissent aujourd'hui beaucoup plus le poil. le problème n'est pas tant le personne d'Éléonore en lui-même, mais plutôt le comportement qu'adoptent les personnages masculins quand ils doivent interagir avec elle, et inversement. Outre le fait qu'il s'agisse du seul personnage féminin d'importance du roman, on peut surtout s'agacer de voir cette jeune femme, que l'auteur veut nous présenter comme « bad-ass », être constamment infantilisée. Ainsi, si l'héroïne s'en sort parfaitement face au danger lorsqu'elle y est seule confrontée, elle devient en revanche totalement nunuche dès lors qu'un mâle arrive dans les parages et se cantonne trop souvent au rôle de « demoiselle en détresse » (parfois elle s'évanouit même complètement, comme ça on n'a vraiment plus du tout à s'en occuper…). le comportement de son frère à son égard est lui aussi insupportable (ça manie de l'appeler « petit chat » à tout bout de champ m'a régulièrement donné envie de jeter le roman par la fenêtre), de même que celui des autres Lames, même si c'est moins flagrant (on notera toutefois que le capitaine ne la trouve enfin digne d'intérêt que lorsqu'elle refuse de jouer le rôle de prostituée pour une mission : ouf, la jeune femme n'est pas une « fille facile », on peut donc enfin lui accorder un peu d'attention !).

Cette suite de la trilogie des « Lames du Cardinal » proposée par Philippe Auribeau peine malheureusement à convaincre, et ce en dépit de l'enthousiasme et de l'affection manifestes de l'auteur pour les romans de Pierre Pevel. La faute à une intrigue trop simpliste qui pousse l'auteur à multiplier inutilement les scènes d'action, et surtout à des personnages qui manquent d'épaisseur et entre lesquels ne règne aucune alchimie. A réserver aux fans les plus mordus de la série qui voudraient s'octroyer une petite pause nostalgie.
Lien : https://lebibliocosme.fr/201..
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Pierre Pevel façonne un monde. Philippe Auribeau le reprend.
Pour qui a aimé Les Lames du Cardinal, il ne sera pas déçu par cette "suite" écrite par d'autres mains. Bien sûr, l'idée est de faire peau neuve, tout en gardant le même univers. Cet univers, c'est un univers de Cape et d'Epées. Une série de personnage hétéroclite, les Lames, luttant contre le fléau que peuvent représenter les dragons et leurs manigances dans un Paris alternatif. Notre-Dame est l'île des Ecailles, emplis de dracs. La poste a recours à des dragonnets ou des vyvernes. le mont Saint-Michel abrite des châtelaines versées dans l'art de la lutte contre les Dragons... Peau neuve veut dire nouvelles Lames mais aussi nouveau chef : Richelieu n'est plus, les rênes du pouvoir sont maintenant détenus par Mazarin.

J'ai trouvé que la reprise de cet univers est réussie. Si la plume est différente, elle se lit tout aussi facilement. le récit est divisé en 7 parties, chacune agrémentée de chapitres courts, percutants, avec une alternance de personnages, de lieux narratifs. le tout avec un objectif bien défini pour la fin de partie. Trahisons, manipulations, sont là, de même que la loyauté, le devoir. On retrouve certains personnages de Pevel, mais en tant que personnages secondaires. La nouvelle équipe est toute aussi hétérogènes, avec un passif qu'on apprend à connaître au fur et à mesure des pages, des caractères qu'on apprend à apprécier, certains forcément plus que d'autres.
Enfin, cette fin donne une toute autre résonnance au titre.

Vous l'aurez compris : j'ai adoré.
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Merci à l'équipe de Babelio de m'avoir offert l'occasion de découvrir ce roman de Pierre Auribeau, L'héritage de Richelieu, dans le cadre de l'édition de Masse critique consacrée aux mauvais genres.

Comme le laisse entendre la première de couverture, Pierre Auribeau tente de faire revivre une trilogie particulièrement réussie de Pierre Pevel : Les lames du cardinal. le pari est osé et même l'éditeur semble sceptique quant à la réussite de la démarche. La quatrième de couverture vante les mérites de la saga de Pevel en exhumant des critiques favorables, rappelle les faits d'armes de l'auteur (avoir adapté les romans en jeu de plateau). La première de couverture n'est guère tentante et le format du roman est pour le moins classique pour un grand format lorsque l'on connaît le talent de Bragelonne pour produire des beaux livres.

Il s'agit, ici, d'autant de signes révélateurs de ce qui va suivre. Assurément, ce roman ne parvient pas à hisser au niveau des Lames du cardinal. Il faut pourtant bien reconnaître que les temps ont changé : nous voici plongés à l'époque de la Fronde, Mazarin a remplacé Richelieu et Louis XIII n'est plus. Dans un premier temps, les pages rappellent une nouvelle ambiance, qui fait davantage penser à Vingt ans après qu'aux Trois mousquetaires. Mais tout cela ne dure qu'un temps.

Très rapidement l'orientation fantasy va prendre le pas sur toute l'intrigue. le côté cape et d'épée ne ressert que transitoirement dans les trop nombreuses scènes d'action (du moins quand la magie n'est pas de mise).

Sans en révéler plus que nécessaire, les dragons, la jusquiame, mais surtout les dracs et les créatures qui sont plus au moins apparentées aux dragons tiennent ici la première la place. Cette rupture d'équilibre est préjudiciable à l'ensemble puisqu'elle laisse trop de place à l'action. le découpage, assez curieux de l'intrigue, va d'ailleurs clairement dans cette voie.

L'histoire est ici limitée à sa plus simple expression. D'ailleurs, le scénario tient en peu de ligne. La seule complexité vient ici des fausses pistes, des imprévus, qui imposent aux personnages de faire face à des situations toujours plus dangereuses. Les meilleures scènes d'action sont, hélas, placées au début du livre. Ce qui suscite des belles espérances, bien vite démenties. le lecteur expérimenté, comprendra bien vite où l'auteur veut en venir : une succession de scènes d'action qui empêchent de trop songer à la trame générale, et pour cause…

Les personnages sont sympathiques, mais un brin stéréotypés. Leurs relations suivent un même canevas avec quelques passages attendus. Leur psychologie n'est d'ailleurs guère développée, à l'image de l'intrigue. L'auteur n'hésite toutefois pas à sacrifier ses personnages en cours de route, à les laisser de côté, puis à les réutiliser. Il s'agit-là des seuls réels imprévus…

Le dénouement est tout aussi décevant que ce qui précède et reste à l'image du roman : deux batailles finales s'enchaînent et la dernière se termine de manière trop abrupte pour être appréciée à sa juste valeur. Et le pire étant à venir puisque l'intrigue laisse des portes ouvertes pour une suite possible.

Malgré les efforts de l'auteur, un talent certain pour l'écriture (son écriture est particulièrement fluide et agréable), ce roman ne parvient pas à faire ressusciter l'ambiance des Lames du Cardinal. L'héritage de Richelieu, tient d'ailleurs davantage du Chevalier de Wielstadt (notamment quand à la construction de l'intrigue).
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Merci à l'équipe de Babelio de m'avoir offert l'occasion de découvrir ce roman de Pierre Auribeau, L'héritage de Richelieu, dans le cadre de l'édition de Masse critique consacrée aux mauvais genres.

Comme le laisse entendre la première de couverture, Pierre Auribeau tente de faire revivre une trilogie particulièrement réussie de Pierre Pevel : Les lames du cardinal. le pari est osé et même l'éditeur semble sceptique quant à la réussite de la démarche. La quatrième de couverture vante les mérites de la saga de Pevel en exhumant des critiques favorables, rappelle les faits d'armes de l'auteur (avoir adapté les romans en jeu de plateau). La première de couverture n'est guère tentante et le format du roman est pour le moins classique pour un grand format lorsque l'on connaît le talent de Bragelonne pour produire des beaux livres.

Il s'agit, ici, d'autant de signes révélateurs de ce qui va suivre. Assurément, ce roman ne parvient pas à hisser au niveau des Lames du cardinal. Il faut pourtant bien reconnaître que les temps ont changé : nous voici plongés à l'époque de la Fronde, Mazarin a remplacé Richelieu et Louis XIII n'est plus. Dans un premier temps, les pages rappellent une nouvelle ambiance, qui fait davantage penser à Vingt ans après qu'aux Trois mousquetaires. Mais tout cela ne dure qu'un temps.

Très rapidement l'orientation fantasy va prendre le pas sur toute l'intrigue. le côté cape et d'épée ne ressert que transitoirement dans les trop nombreuses scènes d'action (du moins quand la magie n'est pas de mise). Sans en révéler plus que nécessaire, les dragons, la jusquiame, mais surtout les dracs et les créatures qui sont plus au moins apparentées aux dragons tiennent ici la première la place. Cette rupture d'équilibre est préjudiciable à l'ensemble puisqu'elle laisse trop de place à l'action. le découpage, assez curieux de l'intrigue, va d'ailleurs clairement dans cette voie.

L'histoire est ici limitée à sa plus simple expression. D'ailleurs, le scénario tient en peu de ligne. La seule complexité vient ici des fausses pistes, des imprévus, qui imposent aux personnages de faire face à des situations toujours plus dangereuses. Les meilleures scènes d'action sont, hélas, placées au début du livre. Ce qui suscite des belles espérances, bien vite démenties. le lecteur expérimenté, comprendra bien vite où l'auteur veut en venir : une succession de scènes d'action qui empêchent de trop songer à la trame générale, et pour cause…

Les personnages sont sympathiques, mais un brin stéréotypés. Leurs relations suivent un même canevas avec quelques passages attendus. Leur psychologie n'est d'ailleurs guère développée, à l'image de l'intrigue. L'auteur n'hésite toutefois pas à sacrifier ses personnages en cours de route, à les laisser de côté, puis à les réutiliser. Il s'agit-là des seuls réels imprévus…

Le dénouement est tout aussi décevant que ce qui précède et reste à l'image du roman : deux batailles finales s'enchaînent et la dernière se termine de manière trop abrupte pour être appréciée à sa juste valeur. Et le pire étant à venir puisque l'intrigue laisse des portes ouvertes pour une suite possible.

Malgré les efforts de l'auteur, un talent certain pour l'écriture (son écriture est particulièrement fluide et agréable), ce roman ne parvient pas à faire ressusciter l'ambiance des Lames du Cardinal. L'héritage de Richelieu, tient d'ailleurs davantage du Chevalier de Wielstadt (notamment quand à la construction de l'intrigue).
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Bon tout d abord je préfère chez Pevel sa série sur le Paris des Merveilles a celle des Lames du Cardinal , préparée par l univers du " Dragon de Wielsstad " supérieure à mon avis . En ce qui concerne les continuateurs j ai déjà écrit toute l estime que j éprouve pour les 4 auteurs qui ont participé aux nouvelles composant " Contes et récits du Paris des Merveilles " se fondant parfaitement dans cet univers féerique. Maintenant " L'Héritage de Richelieu " de Philippe Auribeau ce n est pas la même tisane l'histoire est inconsistante meublée de scènes de combats répétitives et inutiles, pas une seconde on ne saurait douter de l issue finale . Les personnages transparents voire simplets . Ces fameux dragons de la Griffe Noire se sont fait limer les ongles et raboter le cerveaux pour dresser un plan si bébête et évident . Pour le style , bon ne soyons pas trop méchant ,c est plat , sans aucune originalité ( vice rédhibitoire pour moi) l auteur tente de le muscler en utilisant certains termes ses héros :lapent leur vins , sèchent leur verre , boivent leur soupe à l assiette et bien sûr piquent leur jambon ou "charcutailles " à la pointe de leurs dagues .Sans doute pour faire plus "Mousquetaires XVII° Dumas n avait pas de cela pour faire vrai J avais dit que je ne voulais pas être méchant ....j ai menti !!!
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critiques presse (1)
Syfantasy
16 juillet 2021
L’Héritage de Richelieu est un bon roman d’aventures qui ravira les fans de la première heure des Lames du Cardinal. Malgré quelques facilités dans le scénario, on est rapidement capté par l’intrigue qui nous permet d’explorer une époque qu’on ne voit souvent que dans les films. Philippe Auribeau réalise un hommage réussi du roman de capes et d’épées, tout en approfondissant un univers à succès mêlant dragons, bretteurs émérites et magie.
Lire la critique sur le site : Syfantasy
Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Il est plus facile de se salir les mains quand on ignore qu'on les plonge dans l'eau sale.
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Vidéo de Philippe Auribeau
Faisons la connaissance de Philippe Auribeau qui vient de faire paraître aux éditions Bragelonne, son roman "L'héritage de Richelieu", d'après "Les lames du Cardinal" de Pierre Pevel. Il connait bien le sujet puisqu'il est l'auteur du jeu de rôle paru chez Sans Détours, portant sur le même univers.
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