Très bien raconté (on lit les 129 planches d’une traite), le récit est captivant (il s’y passe bien d’autres péripéties !) tout en étant instructif.
Lire la critique sur le site : ActuaBD
Cette bande dessinée est excellente puisqu’elle est une histoire qu’on lit avec intérêt et qui nous ouvre sur d’autres découvertes à faire : c’est une porte d’entrée vers des pans de culture dont on ne soupçonnait peut-être même pas l’existence.
Lire la critique sur le site : Sceneario
De situations amusantes en scènes burlesques, le tout posé sur un fond beaucoup plus grave, elle mène le lecteur par le bout du nez et parvient à captiver son attention de bout en bout. Une réussite.
Lire la critique sur le site : BDGest
... le père de Mussolini était un anarchiste notoire. Il avait donné comme prénom : Benito à son fils , en l'honneur du révolutionnaire mexicain Benito Juares... Et voilà que son fils faisait la révolution fasciste et devenait dictateur.
Nathalie Baillot Balilla, les enfants du Duce 2013