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sur 698 notes
Septième aventure d'Agatha Raisin.👠

Une société d'eau minérale crée la polémique dans le village voisin d'Agatha Raisin. Cette dernière devenue entre-temps la chargée de communication de cette société voit sa tâche se compliquer lorsque le président du conseil municipal est retrouvé assassiné dans la source... puis sa propriétaire. Comment pouvoir vanter les mérites d'une source saine avec autant de cadavres y baignant ? Sans compter qu'Agatha Raisin semble plaire à Guy Freemont, l'un des directeurs plus jeune qu'elle... rendant James Lacey son ex-futur-mari et voisin fou de jalousie.


Bon après le sixième tome, je m'étais juré de ne plus en lire et d'en acheter.
Noël approchant et ayant dans mon entourage une maman totalement fan dont le cadeau sera les deux derniers livres, j'ai trahi ma promesse. Par curiosité, j'ai lu les livres avant de les empaqueter dans un joli papier cadeau (eh oui... autant savoir ce qu'on offre dit-elle le regard fuyant 🙄). Comme quoi, l'expression "Fontaine, je ne boirai pas de ton eau" est bien de circonstance.🤣


À la claire Fontaine nous offre une intrigue assez sympathique par rapport au précédent. Étonnamment, j'ai été ravie de retrouver les éléments qui m'avaient plu dans les premiers livres et qui semblaient disparus dans les deux derniers. Ici, M.C Beaton nous brosse une intrigue mouvementée où Agatha Raisin doit jongler entre son métier, le regard des autres (surtout dans un village) et ses sentiments pour James. le tout donne une touche plus humaine à Agatha, lui apportant une fragilité détonnant avec son personnage de femme blasée.


Seul gros bémol : l'enquête manque cruellement de consistance et ne sert pas le récit. Nous avons ici une série de crimes, une enquête bâclée et une résolution sur le vif qui comme toujours me laisse sur ma faim. 😞

Heureusement, les personnages récurrents croisés au fil du récit apportent un sentiment de familiarité qui compense ce manque avec notamment Roy, l'arriviste ; Mrs Blomsby, la femme au coeur d'or et Bill Wong, le policier aux relations amoureuses vouées à l'échec par sa mère.🤪


Je vais vite terminer le tome 8 avant de l'emballer pour l'offrir ce soir. Je suis curieuse de voir si la série suit cette pente ascendante ou si elle va encore sombrer dans l'ennui. 😊

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Une Agatha Raisin qui reprend du poil de la bête. C'est toujours des romans d'une facilité déconcertante et surtout sans prise de tête. J'apprécie tout particulièrement l'humour dans ce tome qui est très présent. Je me suis prise plusieurs fois a éclater de rire.

Il faut reconnaître que d'imaginer la réputation d'Agatha mise a mal par un boy toy était assez cocasse. Bref un bon moment .
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J'avais fait connaissance avec Agatha Raisin dans une série télévisée qui présentait les premiers tomes.
C'est donc tout naturellement, encouragée par les quelques critiques de mes amies babeliotes que je me suis lancée dans la lecture du tome 7 " A la claire fontaine". Il faut avouer aussi que les couvertures des livres sont attrayantes.
Je rappelle qu'Agatha, jeune retraitée de la pub, la cinquantaine élégante et séduisante, est célibataire et cherche un compagnon.
Passons aux faits, dans le village où elle possède son cottage, une source historique va être exploitée pour la distribution.
Agatha va en assurer la com.
Avant cela,à la demande d'une habitante, elle s'y rend pour remplir une gourde et découvre un...cadavre.
Elle s'y est abonnée.
Celui-ci affiche un âge certain et exerce la fonction de président du conseil municipal.
Agatha va mener son enquête en soupçonnant tantôt un des deux frères qui vont exploiter la société de distribution de l'eau, tantôt un des membres du conseil municipal divisés sur le sujet de la source.
Un livre sans grande prétention mais à bonne valeur humoristique.
J'ai aimé les réparties sans limites de politesse d'Agatha et les descriptions des personnages. L'écriture et le style sont plaisants.
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Après un séjour par Chypre dans le tome précédent, on retrouve Agatha dans les Cotswolds. le petit village d'Ancombe se dispute une source d'eau douce : faut-il préserver le lieu ou l'exploiter. La population est tellement divisée qu'un meurtre est commis. Heureusement Agatha et James vont se lancer dans l'enquête.

Même si j'ai passé un excellent moment, je pense que c'est le tome que j'ai le moins aimé des 7. L'enquête est moins prenante et les personnages un peu moins attachants. Heureusement Agatha est la et l'écriture de M.C. Beaton toujours aussi drôle. Malgré tout je reste très contente d'avoir découvert cette série et je file de ce pas commencer le tome 8.
Lien : https://missmolko1.blogspot...
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On qualifie ce genre de « cosy mystery » ou de « polar soft », probablement parce il n'y a que deux meurtres et les victimes ne sont que des personnes âgées… 😉

En fait, c'est plutôt un polar qui se lit facilement et où l'héroïne-enquêtrice n'est pas une policière. Elle consacre d'ailleurs plus de temps à se languir de ses amours et à se préoccuper de ses vêtements et de son âge qu'au suspens criminel.

Agatha habite un village anglais et dans la bourgade voisine coule une fontaine naturelle où un promoteur aimerait puiser de l'eau pour l'embouteiller. Bien sûr, tous les villageois ne sont pas d'accord, mais lorsque Agatha découvre le cadavre du président du Conseil, elle lance son enquête. Son acolyte James n'est cependant pas là pour la soutenir, ils se sont brouillés dans un tome précédent. Qui a tué et pourquoi? Agatha fera connaissance des factions des « pour » et des « contre », mais rencontrera surtout beaucoup de gens mesquins, jaloux et vindicatifs. Comme il s'agit d'un « polar soft », gageons que les choses s'arrangeront…

L'écriture est efficace, avec des touches humoristiques et un certain suspens avant le dénouement, un ensemble plutôt plaisant pour ceux qui aiment le genre.

Pour ma part, j'ai choisi ce roman pour répondre à un item du Multidéfis-2022, et non, je ne retournerai pas me promener dans ces villages anglais bucoliques et meurtriers. Je n'irai pas chercher les autres livres de la série, car, disons-le franchement, elle me tape un peu sur les nerfs, la chère Agatha!
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C'est toujours un plaisir pour moi de sortir de ma bibliothèque un opus d'Agatha Raisin. La couverture en elle-même donne le ton. Toujours très travaillée, on sent la pointe d'humour cynique qui ne manquera pas à la lecture.
Notre Miss Marple des temps modernes n'est pas épargnée dans ce tome. Un conseil municipal est en désaccord sur la commercialisation d'une eau de source. La fontaine, macabre, est ornée d'une tête de mort. Agatha Raisin est engagée en free lance dans l'entreprise qui cherche à la commercialiser. Toujours pas loin, un crime pointe le bout de son nez : le président du conseil municipal est assassiné et retrouvé mort dans cette fontaine. Un lien avec cette commercialisation? On peut le supposer. Sauf que c'est oublier bien vite que les membres du conseil municipal sont à couteaux tirés, pleins de rancunes, de vexations et de jalousies les uns envers les autres.

On retrouve le climat de la campagne anglaise, un décor particulier qui me séduit lorsque je lis les Agatha Raisin. On retrouve également les amours d'Agatha, un fait que j'apprécie de moins en moins. Je me passerai bien des montagnes russes concernant la relation James-Agatha. Hormis cela, Agatha est sur le coup, secondée par James et Roy. L'un est rancunier, l'autre, carriériste et intéressé. Des alliés qui ne sont pas d'un grand soutien moral pour une Agatha insultée et menacée en permanence dans cet opus. Répliques cinglantes sont au rendez-vous, offrant une dose d'humour bienvenue.

Je pense qu'il n'est pas nécessaire d'avoir lu la série entière pour lire ce tome. On retrouve la recette habituelle de cette série : je n'ai pas l'impression pour l'instant qu'un tome soit au-dessus d'un autre. J'apprécie de les lire cependant espacés les uns des autres. Trop semblables sur bien des points et surtout ayant peu d'évolutions sur les personnages et leurs relations, les lire d'une traite doit être quelque peu rébarbatif. En lire un de temps en temps, selon son humeur, leur donne, à mon sens, davantage de saveur lorsque l'on recherche de la légèreté.

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Bof, très très bof…
Je ne connaissais pas du tout, j'ai pris ce roman sur un coup de tête chez B&L car ceux que j'avais sélectionnés n'étaient bien sûr, comme d'habitude, plus disponibles. Et bien maintenant, j'ai lu et on ne m'y reprendra plus !
Pour la forme, pas vraiment de prises de tête, un vocabulaire simple et souvent grossier, des répétitions à n'en plus finir et rien qui ressemble pour moi à de l'humour, même anglais.
Pour le fond, ma foi, une enquête policière sans queue ni tête où le personnage principal se perd dans ses désirs d'amour et de jeunisme qui ne font que noyer l'histoire dans le gnangnantisme.
Personnage principal auquel je n'ai rien trouvé d'attachant tant elle manquait d'empathie, de finesse et de poésie. Et rien non plus chez les autres persos souvent très 'clichés', très désagréables et peu représentatifs pour moi des habitants de la campagne anglaise. Mais bien sûr, c'est juste mon opinion :-)

Bon, vite trouver une perle dans ma bibliothèque pour faire passer cette lecture insipide.
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Dans ce tome, Agatha reprend, peu à peu, du poil de la bête. Nous la retrouvons travaillant pour une société d'eau minérale qui veut exploiter la source d'eau douce d'Ancombe, village voisin de Carsely. Les habitants sont divisés et le président du conseil du village qui devait donner son accord sur l'éventuelle exploitation de la source est retrouvé mort au pied de celle-ci. Agatha va mener l'enquête mais rien n'est simple ...

Lecture distrayante et sans prise de tête. Intrigue sympa, mais pas très originale. Pas le meilleur de la série.
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Septième tome des enquêtes d'Agatha Raisin (en tout cas, pour ce qui est des traductions en français) et toujours un régal d'humour "so british"!!!
J'ai adoré retrouver Agatha, enquêtrice déjantée, très "fouine partout", qui cumule les déceptions amoureuses autant que les jurons. Là encore, avec son cher voisin James, ce ne sera pas une partie de roucoulades, mais on ne désespère pas pour elle...
A Ancombe, petit village tranquille des Cotswolds, tout proche de Carsely, celui où vit désormais Agatha; après avoir eu une vie trépidante de femme d'affaire londonienne; coule une source dont l'eau est réputée pour son incroyable pureté. Alors qu'Agatha s'y rend, en pleine nuit, pour aller chercher de l'eau pour dépanner une voisine, elle découvre un cadavre ensanglanté au pied de la fontaine. Son instinct de détective amateur refait surface, d'autant plus qu'un contrat avec une compagnie d'exploitation de l'eau va lui permettre de jouer les agents doubles.
Notre Agatha ne va pas être au bout de ses surprises, et le lecteur, encore une fois, se régale de ses déconvenues et autres autocritiques acerbes, qui sont devenues ses marques de fabrique!
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Dans ce septième tome, Agatha reprend du service comme chargée des relations publiques pour une société d'eau minérale. Cette société a demandé l'autorisation d'exploiter une source située dans le village d'Ancombe, situé juste à côté de Carsely. Cette situation divise la population du village car certains sont opposés à l'exploitation de la source. le conseil du village doit voter pour donner son accord, mais tout bascule le jour où son Président est retrouvé mort dans la source.

De nouveau, Agatha se retrouve à enquêter sur un meurtre, dans une ambiance plus que loufoque. Ses relations avec James Lacey sont très mauvaises depuis l'annulation de leur mariage et leur séjour mortel à Chypre. Et alors que cette enquête pourrait les rapprocher, ils vont se retrouver à enquêter chacun de leur côté.

J'ai toujours autant de plaisir à retrouver Agatha Raisin. Je suis définitivement attachée à son personnage et aux péripéties qu'elle traverse. Je suis prise dans l'histoire et parfois j'aurais envie de discuter avec elle, de l'encourager ou bien de la dissuader de faire certaines choses. Plus on avance dans les tomes et plus son personnages prend en relief, on finit par la connaître comme si c'était notre voisine, ou même une amie.

J'aime beaucoup l'ambiance que l'on retrouve dans ces romans de M.C. Beaton, ils me font passer un très agréable moment, avec des sourires et sans prise de tête.
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