Depuis bien avant Magma, je prends régulièrement des photos, avec les appareils dont je dispose. Le moment venu, à l’aide d’un bon reflex et du fameux film Ektachrome de Kodak, j’exerce mon œil de graphiste au travers de l’œilleton, en attendant la surprise du résultat, une fois le film révélé. Je monte consciencieusement les diapos sous cache et je range le tout dans des classeurs.
Une cache au trésor où sont enfouies certes des dizaines de bonnes images mais aussi une masse unique de documents sur l’aventure de Magma. Des photos qui ravivent ou rectifient des souvenirs ayant tendance à s’estomper avec le temps…