Le chapitre sur la catastrophe de 1955 m'a captivé, non par son côté tragique et macabre, mais en raison des circonstances du drame, qui y sont minutieusement rapportées. La témérité de Mike Hawthorn, en lutte avec Fangio, serait à l'origine du désastre ; je ne crois avoir rien lu de tel auparavant.
Pour le reste, nombre de chapitres sont passionnants, mais pourquoi les noms de signataires n'apparaissent-ils pas ?
Le style est un peu trop celui des journalistes, quelquefois soigné, certes, mais aussi quelquefois (et sans doute plus souvent) relâché.
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