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EAN : SIE205338_704
Hachette (25/10/1964)
4.02/5   21 notes
Résumé :
PAQUITA est une petite Majorquine qui descend chaque jour au marché de Palma vendre ses sandales et attire les clients en dansant sur le dos de son âne. Un jour, elle quitte son île pour la grande Espagne où elle se trouvera bien seule. L'amitié de Miguel, le petit cireur de bottes, lui permettra-t-elle de réaliser son rêve : devenir ballerine du roi ?
Hélas! la vie n'est pas aussi simple. Pour-quoi Miguel a-t-il subitement disparu ? Se montre-t-il jaloux du ... >Voir plus
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Critiques, Analyses et Avis (5) Ajouter une critique
Ce livre là m'accompagne depuis plusieurs décennies. Je l'ai lu quand j'étais petite et que je dévorais les histoires des bibliothèques Rose, Verte ainsi que Rouge & Or. Et c'est l'un des rares que j'ai toujours gardés dans MA bibliothèque, sur l'étagère aux vieux souvenirs. Il m'arrive de le sortir de son rayonnage et de le parcourir, avec attendrissement.
C'est que bien que s'adressant à un jeune public, il est bien fait ce livre. Et je me souviens qu'il m'a beaucoup fait rêver autrefois. Alors non, l'histoire de la danse, le combat de l'héroïne pour devenir danseuse, ça ne m'a jamais fait fantasmer. Non, moi je rêvais d'aller tous les jours au marché avec mon âne ! D'ailleurs si je me souviens bien (et même si je n'ai jamais eu d'âne), c'est à cause de ce roman qu'à l'époque je suis allée chaque mois au marché aux puces. Pas pour acheter : pour vendre. Eh oui, c'était une autre époque. Une pré-ado pouvait passer un samedi matin à tenir seule un étal au marché aux puces. Passons.
Je me souviens aussi avoir été un peu amoureuse du courageux Miguel (en plus, j'ai toujours eu un faible pour les personnages tragiques). Mais surtout, ce livre m'a fait rêver pendant des années de l'Espagne, décrite ici dans tous ses détails de façon totalement immersive. On ressent la brûlure du soleil, on entend les rires et les voix aiguës, on parcourt les ruelles étroites de Valence et on admire les avenues de Madrid. On voit se côtoyer richesse et pauvreté. On sent même l'odeur de la friture. Roman jeune public OK, mais cochant toutes les cases du cahier des charges qu'on demande à un roman.
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Un des merveilleux romans qui ont bercé mon enfance et qui m'a décidé à aller visiter l'Espagne, quand je l'ai refermé. Jean-Paul Bonzon avait le don de transmettre une émotion intense, une ambiance, des odeurs, dont je me souviens encore 40 ans plus tard...
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Le second livre sans image de ma petite enfance (après Fifi Brindacier), il me donnait envie d'apprendre à danser ( stupide illusion ) , de porter des espadrilles (cela n'existait pas dans ma région) , et bien sûr d'avoir un âne (je réfléchis encore à la questions plus de 6 décennies plus tard, lol). Un bibliothèque rose bien "genré" petites-filles, mais bon, sans stupidités ni mièvrerie: à garder dans une liste: faire aimer la lecture ...
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c'est gràce à ce livre que j'ai découvert qu'on pouvait voyager à travers les livres, ce livre est une pure merveille qui à bercé mon enfance que j'ai lu et relu sans fin...... et que j'ai gardé précieusement et aujourdh'ui je nai hate que d'une seule chose le lire à ma petite fille!
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Lu en 1985 juste après "L'éventail de Séville". J'ai beaucoup aimé également mais je ne me souviens plus de l'histoire.
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Citations et extraits (1) Ajouter une citation
Alors, la voix bouleversée, Paquita parla de Miguel, raconta comment elle l'avait rencontré, tout ce qu'il avait fait pour elle et comment il se trouvait injustement en prison.
- Le mendiant, c'était lui, Conchita ; il s'est sauvé de l'asile pour venir me retrouver. Ah ! comme je regrette de ne t'avoir jamais parlé de lui...Si, au moins, il n'avait pas su où j'étais ! Il a cru que l'amitié de Ramiro avait remplacé la sienne, que la richesse, les belles robes, m'attiraient plus que tout. Pourtant, ce n'est pas vrai, Conchita. Quand, pour la première fois, j'ai frappé à la porte de la señora Moralès, c'était justement avec l'espoir qu'on pourrait m'aider à faire libérer Miguel.
Des larmes roulaient sur ses joues.
- Puisqu'il est venu une fois, il reviendra, murmura Conchita pour la consoler.
La petite Majorquine sursauta :
- Jamais ! Je connais Miguel, il est fier comme un Aragonais. Il souffrira en silence, en se cachant.
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