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4,05

sur 12365 notes

Critiques filtrées sur 3 étoiles  
J'ai bien aimé l'histoire mais j'ai vraiment eu du mal à accrocher. Je trouvais qu'il manquait un petit plus qui me ferait vouloir lire encore et encore ce livre... J'ai eu beaucoup de mal avec la fin qui m'a fait décrocher de l'histoire malheureusement...

Je suis donc mitigée avec d'un côté une histoire qui m'a attiré et d'un autre une déception profonde sur la fin de l'histoire...
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Le sujet était alléchant et prometteur, le titre universellement reconnu, je me suis donc plongée confiante dans cette lecture. Malheureusement, je n'ai pas du tout accroché, en grande partie au style d'écriture, me demandant parfois si cela venait de cette nouvelle traduction ou pas. Beaucoup d'éléments manquent de précision et de détails, ce qui rend le contexte et l'atmosphère difficiles à cerner, on comprend l'idée générale mais jai eu l'impression que ma lecture évoluait dans un brouillard perpétuel.
Une grande déception pour ma part, à mon grand regret.
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Classique de la SF donc, dystopie dont le résumé est très accrocheur (un monde où la lecture est interdite, quelle horrible mais originale idée), tout ce qu'il faut pour faire un bon livre...Mais hélas, il manque quelque chose...
Lecture très addictive dont l'écriture est très poétique, on est rapidement pris dans l'histoire. le monde imaginé par Bradbury est très crédibles et malgré que le livre date des années 50, il nous montre tout à fait nos problèmes actuels, quoique de manière exagérée ; A savoir les écran et les médias qui nous noient sous des tonnes d'images au point de nous lobotomiser et nous faire oublier le plus important : le savoir (représenter par les livres).
Mais voilà, on termine le livre avec un gout d'inachevé. L'histoire s'arrête alors qu'on s'attend à bien plus. le livre à délivrer certains messages sur l'importance du savoir, l'importance de la patience. Il sous-entends que le temps n'est pas encore venus de se battre contre cette ignorance forçée et puis, le mot FIN apparaît au bout de la page et tout s'arrête...On croirait presque que l'auteur s'est égarée dans toutes ses pensées poétiques et, ne sachant pas comment continuer, à décider de publier son bouquin comme ça.
Bref, le bilan est mitigé ; j'ai apprécié le lire mais il manque quelque chose pour que ce soit une réussite...
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Classique de la littérature j'ai lu ce roman en ayant Les combustibles d'Amélie Nothomb en tête. Oui le thême est un peu semblable (lorsqu'ont est aculé au pied du mur, quel type de littérature est plus «valable», lequel est le moins important) mais le fond est très différent.
J'ai réellement appréciée Fahrenheit 451 même si, par moment, je n'y comprenais rien. L'histoire par moment ne semblait avoir ni queue ni tête, se perdant dans les méandres du cerveau paranoïaque du personnage principal. Mais, pour un roman de science fiction, un des premier essai du genre, je n'ai pas complêtement détesté non plus. J'ai même adorée le personnage de l'adolescente qui disparait en cours du roman, m'identifiant un peu à elle. Un livre a lire parce qu'il s'agit d'un classique même s'il ne s'agit pas vraiment d'une grande oeuvre non plus.
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Impossible de savoir quoi penser de cette petite dystopie, pot-pourri d'idées et de visions en tout genre, et pétrie par un style malheureusement tout aussi foutraque. J'ai eu en effet l'impression de constamment alterner entre un discours de vieux réac, et d'autres passages beaucoup plus visionnaires. Tout d'abord, les propos de Clarisse sonnent vraiment comme les paroles d'un vieux Républicain aigri : “Une époque où les enfants ne s'entretuaient pas. Ils croyaient à la responsabilité. […] Voyez-vous, je me sens responsable, j'ai reçu des fessées quand je le méritais autrefois.” Elle parle plus loin également de la disparition de l'art figuratif des musées pour les remplacer uniquement par de l'abstrait. A travers Clarisse, on a la ferme impression que Bradbury rejette toute forme de modernité. de la même manière, on croit d'abord que Bradbury conspue les médias autres que le livre. La radio, et la télé naissante à ce moment-là ne peuvent être source de savoir ou de débat selon ses personnages.

Et pourtant, plus loin dans l'histoire, le personnage de Faber affirme l'inverse : ”Les livres n'étaient qu'un des nombreux réceptacles destinés à conserver ce que nous avions peur d'oublier.” L'intervention du vieux Faber, faisant l'éloge du débat, du dialogue et de la connaissance, lors de sa première rencontre avec Montag m'a de fait un peu rassuré sur le message du livre que j'avais jusqu'ici du mal à bien discerner, et tranchait clairement avec les longues litanies aux arrière-goûts réactionnaires de Clarisse. Les propos sur la société de consommation et de divertissement sonnent également plutôt justes aujourd'hui et assez avant-gardistes pour l'époque.

Bien entendu, je n'oublie à aucun moment la date de publication du livre. Mais je trouve tout de même qu'à travers ses personnages Bradbury force clairement le trait en décrivant notamment une jeunesse ivre de violence gratuite (la bande de jeunes qui essaie d'écraser Montag pendant sa fuite, sans aucune raison apparente) et chérie un peu trop le passé (Montag qui apprend finalement des passages de la bible) au détriment d'un discours qui aurait gagné à être moins binaire, et plus ouvert.

De la même manière, le décorum délicieusement rétro-futuriste (les coquilles-écouteurs, les murs-écrans…) a pris son petit coup de vieux évidemment, et est relativement mal introduit dans le livre. J'ai mis un peu de temps à cerner ce concept de famille qui parle dans le salon, ou les appareils en forme de serpent mécanique qui sondent le corps de la femme de Montag au début du roman.

Ainsi, l'une des autres grosses réserves que j'ai sur Fahrenheit 451 est le style de Bradbury. L'écriture alterne constamment entre passages d'actions vifs, au vocabulaire simple et efficace, et entre métaphores plus ou moins maladroites, et effets de style un peu ratés. J'ai presque eu l'impression d'une écritures à 4 mains à certains moments. L'utilisation du champ lexical lié au feu (”Symphonie en feu majeur”) fonctionne plutôt bien, tandis que d'autres moments sont faits de phrases sans queue ni tête (”Frôlement d'un Sphinx tête-de-mort sur un écran noir et glacé”). La longue diatribe de Beatty envers les livres m'a franchement perdu à certains moments par son rythme saccadé, et son verbe un peu trop fleuri : “Organisez et organisez et super-organisez de super-super-sports. Plus d'images. Encore plus de dessins humoristiques. L'esprit absorbe de moins en moins. Impatience. etc…” Clairement, l'écriture ne fonctionne pas.

Enfin au-delà de tous les éléments évoqués précédemment, je me suis étonné de l'absence d'une dimension primordiale et connexe à la lecture : l'écriture. A aucun moment, dans le récit, on ne parle d'écrire, de témoigner des évènements d'aujourd'hui. On ne parle que de se souvenir, de retrouver les chefs d'oeuvres perdus, mais jamais de rendre compte de la situation actuelle, ou de créer à nouveau. C'est triste de ne regarder que vers le passé !

Et pourtant malgré ce long pavé à charge, j'ai du mal à juger trop sévèrement Fahrenheit 451. Car même avec toutes ses faiblesses et maladresses, il m'aura fait réfléchir, analyser, imaginer, agacer, fatiguer… Il aura créé tout un maelstrom d'émotions et d'idées que toutes les lectures ne suscitent pas. Et cette ultime pensée confirme d'une certaine manière le goût doux-amer que Fahrenheit 451 m'aura laissé : un livre qui, malgré son solide noyau d'idées passéistes et ses quelques rares aspects prophétiques, parvient tout de même à créer de la réflexion chez son lecteur. Et c'est déjà ça de pris.
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Fahrenheit 451, est un roman de science-fiction qui m'a plu. Je le recommande vivement pour ceux qui aime bien les livres de science-fiction, après je trouve que pour les enfants, c'est un livre où on doit se poser quelques questions sur la société et faut être concentrer pour lire Fahrenheit 451 . On peut se rendre compte, grâce à ce livre, que la lecture, les sources de questionnement et de réflexion sont important pour le monde et pour la société pour être informé de tous ce qui se passe et aussi d'avoir de la culture. Comme a voulu montrer Ray Bradbury que s'il n'y avait plus de livres la société s'effondrerait.

Pour commencer, l'histoire parle d'une société future où les livres sont interdits par le gouvernement car ils sont considérés comme un acte antisocial.

Par la suite l'histoire parle du métier de pompier du début jusqu'à la fin mais plus précisément d'un pompier qui s'appelle Guy Montag. Il est pompier depuis qu'il est très jeune et dans ce monde futuriste, le travail de Guy n'est pas d'éteindre le feu mais de l'allumer on peut citer «Le plaisir d'incendier!» ou bien «Quel plaisir extraordinaire c‘était de voir les choses se faire dévorer, de les voir noircir et se transformer» page 23, c'est-à-dire de brûler tous les livres possible puisque le gouvernement leur ordonnait de les brûler.
Autrement dit, si une personne signale une autre personne par exemple, en disons que sa voisine possède des livres dans son foyer. Les pompiers seront avertis et ils se se rendront chez la personne et brûleront les livres ainsi que la maison du coupable. On peut citer « conclusion ! Un livre est un fusil chargé dans la maison d'à côté. Brûlons-le. Déchargeons l'arme ».page 97

Ensuite, Guy Montag fera une rencontre au hasard avec une fille dont le nom est Clarisse. Il se rendra compte qu'elle n'est pas comme les autres personnes qui ont peu de culture comparé à elle. En raison de Clarisse il commencera à penser que les livres ne peut être pas mauvais comme le disent le gouvernement et les pompiers. Donc Guy décide alors de prendre un livre par curiosité lors d'une mission pendant que les autre pompiers ramassaient les livres, je cite « La main de Montag se referma comme une bouche,écrasa le livre avec une ferveur sauvage,une frénésie proche de l'également, contre sa poitrine » page 69. Mais plus loin dans l'histoire, on saura qu'il possède plusieurs livres je cite « Puis il tendit sa main,retira la grille du climatiseur,allongea le bras loin à l'intérieur, sur la droite,fit glisser une autre cloison métallique et sortit un livre […] et en ressortit deux autres livres » « il répéta son geste, continuant à faire pleuvoir des livres »page 106-107.
Mais à cause de cela , il est entraîné dans une suite de péripétie et sera poursuivi par la Nation entière, « Guy Montag toujours en fuite. Les hélicoptère de la police patrouille. »page 193 On peut voir que Guy est recherché pour meurtre à la fin de l'histoire. Lorsque les pompiers ont reçu l'alarme d'une voisine en dénonçant Montag à son tour.

En conclusion, c'est une histoire intéressante. Toutefois, le début du livre est ennuyeux mais au fur et à mesure qu'on avance dans l'histoire, l'histoire devient de plus en plus intéressante et captivante surtout pour la fin.
On peut voir aussi comme Guy Montag change de comportement et de pensée envers les livres à la fin de l'histoire en se rendant compte que les livres ne sont pas mauvais.
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Cela faisait longtemps que je voulais lire ce classique de la littérature de science fiction américaine et je le referme avec, si ce n'est pas de la déception, au moins le sentiment d'être passée à côté.
On est plongé dès les 1ers instants dans une société totalitaire où la pensée, le libre arbitre ont été anéantis, où les livres et la réflexion sont proscrits et les quelques âmes qui résisteraient sont éliminées par le feu. La télévision, les écrans occupent la place laissée vacante par l'absence des livres, tout passe par les écrans collés aux murs des demeures et plus il y en a, mieux c'est. Cette nouvelle "famille" est visuelle et toute puissante. La propagande est largement expliquée et relayée par le chef de la caserne des pompiers, supérieur du personnage principal, un homme imbu de son pouvoir, d'un savoir que lui possède mais qu'il refuse aux autres. Montag, le personnage principal, va s'éveiller un jour, ne plus accepter cet ordre et va vouloir savoir ce que disent les livres. Il en possède illégalement quelques uns, cachés dans un mur. Cela va entraîner la perte de ses possessions mais sa conscience est libérée.
J'ai trouvé ce court récit très long, et quand enfin les choses bougent, c'est la fin du livre! Bref, un sentiment d'inachevé.
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Amoureuse des livres, enseignante en lettres, je ressentais une petite honte de n'avoir toujours pas lu ce classique de la littérature. J'avais déjà étudié certains extraits, je connaissais l'histoire, mais je ne m'étais toujours pas lancée dans cette lecture. A chaque fois, je commençais le roman, puis j'abandonnais! En cette période de parenthèse, je me suis accrochée au transat et ai réussi à poursuivre!
Je parlerai d'abord de l'écriture. Belle, presque poétique. Mais les métaphores abondent tellement qu'elles en deviennent parfois lourdes. Très intéressantes si l'on doit étudier le roman, mais lassantes si l'on ne cherche qu'à se divertir.
Les personnages, quant à eux, m'ont laissée de marbre. C'est peut-être le but puisque nous sommes dans une société où il n'existe plus de lien social, plus de lien humain. L'amour, l'amitié, l'empathie… Tout a disparu! Les hommes vivent, accrochés à leur "famille" virtuelle, éprouvant un mal être dont ils ne prennent pas conscience. Là-dessus, justement, je trouve que certains éléments ne sont pas exploités: l'abrutissement de Mildred dans les cachets, son "lavage"... Et Montag ne lui en reparle pas plus tard?!! Bien sûr, cela montre encore le manque de communication inhérent à cette société, mais cela manque au lecteur. de même, les entrevues entre Clarisse et Montag, l'éveil de celui-ci alors qu'il était si heureux, dans la première scène, d'embraser ces livres, l'ambivalence de Beatty qui connait tant d'oeuvres et qui pourtant est le chef de ceux qui les détruisent… Tout cela aurait mérité des développements, je trouve.
En résumé, j'attendais un peu moins d'écriture stylisée et un peu plus de réflexion sur l'humain.
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Je viens seulement de découvrir et lire ce grand classique de science fiction. Une histoire sur fond sombre où il est question de pompiers qui brûlent des livres pour préserver le bonheur de la civilisation. le thème est original, certains passages de l'histoire résonnent avec l'actualité et la lecture est fluide. En mettant de côté le héros peu attachant et quelques longueurs, j'ai aimé ce livre.
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J'attendais beaucoup de ce classique de la science-fiction et comme souvent, trop d'attente mène à la déception...
C'est un bon roman, effrayant en ce qu'il évoque de réalisme.
Bien sûr, notre réalité n'en est pas là... pas encore... et pourtant, comment ne pas croire que tout ce qui est raconté ne pourrait pas un jour être réel ?
Bien que la science-fiction ne soit pas mon genre de prédilection, j'ai aimé ce côté-là de l'histoire.
Je n'ai par contre pas aimé la trame. J'ai trouvé que l'histoire manque de profondeur, que les événements sont quelque peu survolés. J'ai comme la sensation que l'auteur a voulu surprendre, voire choquer ses lecteurs, en négligeant le fil du roman.
De plus, la façon dont est traité le thème n'apporte pas vraiment de réflexion sur notre avenir, tout au plus un constat visionnaire mêlé à une rébellion légèrement faiblarde et cousue de fil blanc...
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