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Enquête du commissaire Workan tome 8 sur 12
EAN : 9782372600491
1 pages
PALEMON (DU) (23/09/2016)
3.68/5   14 notes
Résumé :
Quel est le lien entre les crimes de Whitechapel perpétrés par Jack en 1888, les meurtres de cinq femmes dans Paris en 1999 et le récent assassinat du Décollé à Saint-Lunaire ? C'est ce que cherche à comprendre le commissaire Workan.
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Critiques, Analyses et Avis (7) Voir plus Ajouter une critique
Après le succès du Quai des enrhumés – je veux dire, le succès de l'enquête – nous retrouvons le commissaire Workan sur la route de Saint-Lunaire par mauvais temps. Il a été en quelque sorte convoqué par une vieille dame qui ne peut se déplacer mais veut l'entretenir d'une affaire importante, qui le touche de près. Il ne sera pas déçu, ou plutôt si, il se demandera à maintes reprises s'il n'est pas tombé chez les fous, ou, du moins, chez une mystificatrice hors pair. Cependant, à Saint-Lunaire même, un meurtre en suit un autre, puis c'est au tour d'un habitant des lieux d'être agressé tandis que la jeune femme qu'il hébergeait disparait. C'est une enquête pour le commissaire Workan !

Et bien non, à cause de complexité administrative. Lui et ses hommes avaient été chargés de la toute première enquête, mais, comme ils n'avaient pas brillé par les progrès qu'ils avaient fait effectuer à l'enquête, ils en avaient été dessaisis. Workan, qui, après les révélations de Mrs Drumond (quand je lis ce nom, je ne peux pas m'empêcher de penser à la série Arnold et Willy) veut absolument reprendre cette enquête, fera des pieds et des mains pour cela, quitte à accepter une autre enquête, et à les confier à ses subordonnés, dont je ne sais pas trop quoi penser. Il faut dire que j'ai l'impression qu'ils ne pensent pas beaucoup, tant ils commettent bourde sur bourde – à croire que si le commissaire Workan ne leur donne pas des ordres clairs, nets, précis, ils sont incapables de faire quelque chose de simple, pour ne pas dire d'évident – comme interroger la victime de l'agression, par exemple. A mon avis, ils ont dû tout donner lors du concours d'entrée de la police, et après bien… ils ne leur restaient plus grand chose ! Ou alors, les candidats étaient si peu nombreux ce jour-là qu'ils ont été recrutés d'office.
Workan, pendant ce temps, est pris dans les ombres du passé, de son passé, mais aussi celui de la famille de Mrs Drumond. Oui, selon elle, son ancêtre ne serait rien moins que Jack l'Eventreur, et elle peut le prouver. Ce n'est pas que Workan soit septique, non, c'est qu'il lui rappelle les livres, vrai-faux journal, vrai-faux témoignage de personnes qui ont prétendu être Jack. Ce dont il est sûr, cependant, c'est qu'il est face à un imitateur, qui connaît très bien les crimes commis par Jack. Il le sait, lui qui, depuis quinze ans, veut faire la lumière sur la mort de sa propre mère, dont l'assassin ne manque pas de le narguer à chaque date anniversaire. Workan – est-ce parce que cette enquête le touche de près ? peut être parfois très naïf, déstabilisé, penaud, alors qu'à d'autres moments il retrouve tout son mordant, son cynisme, à la limite de la misogynie et de la misanthropie. . Bref, être en sa présence est tout sauf reposant, que l'on soit son équipier, un suspect ou pire un simple badeau qui a eu la mauvaise idée de croiser son chemin.
L'auteur avait promis que dans ce tome, le mystère qui entourait la mort de la mère de Workan serait élucidé. Ce n'est pas moi qui dirais le contraire. C'est simplement que je ne vous dirai pas comment elle sera résolue – ou pas.

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Suite à un appel particulièrement insistant d'une certaine Mrs Drummond, le commissaire Workan se retrouve un soir à partager un whisky avec cette septuagénaire. La vieille dame prétend pouvoir l'aider concernant une série de meurtres non élucidés ayant au lieu dans le 15e arrondissement de Paris quelques années auparavant. Si l'on en croit Mrs Drummond ces meurtres seraient liés non seulement à l'assassinat de la mère du commissaire elle-même, mais aussi au plus grand meurtrier que le Londres du XIXe siècle ait connu : Jack l'Éventreur.

Comme beaucoup je suis passionnée par l'histoire de Jack l'Éventreur, donc merci à Masse Critique et aux éditions Palémon pour ce partenariat !

Je ne cache pas que j'étais, avant même d'avoir ouvert le livre, un peu sceptique. Comment pourrait-on relier ainsi deux séries de meurtres commis à plus de cent ans d'intervalle ? Il fallait oser et Hugo Buan l'a fait. Avant ce livre je ne connaissais pas du tout le commissaire Workan et son unité. Adepte de l'humour noir, du sarcasme et de l'ironie, je ne peux pas nier que ce trentenaire me plaît bien. Il dérange, il n'a de respect pour presque personne (et certainement pas pour ses supérieurs ou les politiciens). En toute honnêteté, on se demande comment il est parvenu à ne pas se faire virer. Il est mal poli et ne mâche pas ses mots, ce qui n'a pas manqué de me faire rire plus d'une fois. Il va parfois trop loin, ses méthodes ne sont pas conventionnelles, on s'offusque, on frôle l'inconfort mais une réplique bien sentie vient apporter une touche d'humour et la lecture se poursuit sans anicroche.

Il s'agit ici d'une huitième enquête mais Hugo Buan s'est arrangé pour que même les néophytes dans mon genre parviennent à suivre l'histoire sans se sentir perdus (la preuve, je ne me retrouve pas avec une liste de comment et de pourquoi à la fin de ma lecture). Je ne vais pas vous mentir, L'héritage de Jack l'Éventreur met un certain temps à démarrer. Je me suis vite retrouvé agacée par cette Mrs Drummond qui tout au long de l'histoire veut soi-disant aider le commissaire mais sans pour autant lui dévoiler tout ce qu'elle sait. Elle parle en demi teinte, cache beaucoup trop de choses, garde toutes les preuves qui permettraient d'étayer ses dires et devient vite exaspérante. Sur ce point le commissaire Workan lui-même n'est malheureusement pas en reste. J'apprécie énormément son côté peu conforme aux normes mais parfois, sans que je ne comprenne bien pourquoi, il semble perdre quelques points de QI au cours d'un dialogue et se retrouve penaud ou tout simplement pris dans un exemple flagrant de stupidité. Comme si l'auteur hésitait encore sur le caractère même de son personnage ou ne le maîtrisait pas complètement. C'est une sensation plutôt étrange qui a failli plusieurs fois me faire sortir de l'histoire.

Puisqu'on en est à parler de stupidité, je n'ai pas du tout accroché avec la brigade (presque inexistante d'ailleurs) de Workan. Si le commissaire enquête sur cette histoire de Jack l'Éventreur, son équipe se penche sur le cas d'un chirurgien violemment agressé un soir sur le parking de son lieu de travail. Je ne sais pas comment Mahir, Lerouyer et Roberto on fait pour entrer dans la Police Judiciaire … En se trompant de porte au détour d'un couloir, peut-être ? La victime est un chirurgien spécialisé dans les opérations des membres supérieurs (notamment bras et mains), ce qui les pousse à rechercher un coupable parmi les opérés du gros orteil. Comme on dit chez moi : paie ta logique. le pire est sans doute que ce n'est absolument pas une blague de leur part. de la part de l'auteur peut-être éventuellement, mais dans ce cas elle est loin de m'avoir fait rire. Il y a peut-être dans ce trio un second degré qui ne m'atteint absolument pas. Pourtant j'ai l'humour facile ! Au final c'est sans doute une bonne chose qu'on ne voit pas beaucoup ces trois-là. On se retrouve d'ailleurs avec une tripoté de personnages secondaires. Certains disparaissent très vite, d'autres sont entourés d'une aura de mystère. D'autres encore sont presque transparent et ne sont pas indispensables à l'histoire. Certains sont morts sans vraiment l'être, ce qui relance l'intrigue.

Côté scénario, tout progresse très lentement. Cette impression est due au fait que le commissaire enquête sans réellement le faire, peu sûr de vraiment croire à cette histoire en apparence cousue de fil blanc. Paradoxalement Workan fait parfois des raccourcis auxquels on ne s'attend pas mais qui se révèlent toujours payant, ce qui m'a quelque peu chagriné. Comme si tout était presque trop facile. Il faut que l'histoire avance, d'accord, mais le commissaire semble avoir une bonne étoile particulièrement performante.

Malgré tout ça je garde un bon souvenir de ma lecture. Hugo Buan m'a eu rien qu'avec son titre, de toute façon (même si je l'attendais au tournant : je n'ai que trop souvent été déçue par l'utilisation de ce grand criminel). Il fallait que je sache comment Jack l'Éventreur pouvait avoir un rapport avec Workan, comment deux meurtriers pouvaient être liés malgré 130 ans d'écart. Même si l'évidence se fait rapidement, le but devient alors de démêler le vrai du faux, le fantasque du réel. Je suis passée outre les incartades avec le fatiguant trio Mahir-Lerouyer-Roberto, je me suis armée de patience pour lire les scènes avec Mrs Drummond, mais surtout je me suis concentrée sur l'humour et le caractère bien trempé de Workan. Et j'ai bien fait parce que lorsqu'il arrête enfin de jouer et se lance pleinement dans l'enquête, je me suis retrouvé rivée à mon livre. Que dire de cette péripétie ? Je cherchais bien sûr l'identité de ce tueur du 15e qui sévissait maintenant sur Rennes, mais jamais je ne l'aurais imaginé se cacher sous ces traits-là. Tout comme je n'aurais jamais pensé à cet ultime rebondissement dans les toutes dernières lignes, rebondissement qui donne immanquablement envie de connaître la suite ! Sans oublier les théories qu'avance l'auteur concernant l'identité et surtout la vie de Jack l'Éventreur : il donne ses propres hypothèses concernant les différences entre certains meurtres mais aussi concernant son silence après (et avant) les cinq agressions qui l'ont rendu célèbre. Même si la transposition de l'Angleterre à la France m'a fait tiquer, j'ai aimé la manière dont Hugo Buan s'est approprié l'histoire de ce criminel tristement connu.

L'héritage de Jack l'Éventreur fut une lecture parfois fastidieuse mais je reste heureuse de l'avoir eu entre les mains. En revanche si je lirai sans aucun doute possible la suite (suspense, quand tu nous tiens !), l'exaspération que m'ont fait ressentir Workan et ses trois acolytes à certains moments m'ont coupé toute envie de lire les sept premiers tomes. C'est drôle comme un livre peut être à la fois intéressant et particulièrement frustrant.
Lien : http://lesmotspourrever.com/..
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Quand j'ai vu ce livre dans la sélection du masse critique je n'ai pas hésiter une seule seconde pour le cocher mais j'ai été vraiment ravie quand j'ai su que j'avais été sélectionner pour l'avoir.

Je suis, comme beaucoup fan de Londres, mais je suis encore plus fan du Londres du XIXème siècle et l'histoire de Jack l'Éventreur ne fait pas exception.

J'ai débuter ce livre avec un grand plaisir, sachant qu'on s'immerge très facilement dans l'histoire, j'ai pris mon temps pour découvrir le commissaire Workan et son unité.

Je ne sais pas si c'est le fait de me refaire les Dr House en DVD mais j'ai tout de suite adopté Workan et son caractère un peu particulier.C'est vrai que parfois sa façon de parler au gens mériterait des baffes mais je n'ai pas pu m'empêcher de penser qu'il le faisait exprès pour masquer son véritable caractère. Durant toute l'histoire, on a que très peu de moments ou on voit les autres facettes de ce commissaire de choc et je n'ai pu qu'apprécier encore plus son histoire lorsque je suis arrivée à la fin du livre.

J'ai vraiment trouvé l'histoire très intéressante, elle a un bon rythme, un peu plus lent au départ puisqu'on pose les bases de l'histoire mais au fil des pages, la vitesse s'accélère, on plonge dans l'histoire de Jack l'Éventreur avec une addiction modérée puis tout s'enchaîne, les meurtres se succèdent, Workan se lance dans une enquête qui bouleversera le court des choses, on déterrera des secrets que l'ont croyait enfouis dans le passé et on essaiera à notre tour de suivre les indices pour résoudre nous aussi ce mystère qui ne semble pas vouloir se clarifier.

J'ai quand même fait plusieurs pause pour éviter de le finir trop vite et de bâcler ma lecture mais ce livre est vraiment à lire, je l'ai trouvé un peu long à démarrer mais une fois lancé, impossible de lâcher l'histoire, impossible de dire que ce n'est pas intéressant et lorsqu' enfin notre commissaire éclaircit l'énigme policière, il tombe sur une vérité que personne n'a vu venir. J'ai été moi même surprise par le dénouement de l'histoire, c'est comme si on ressentait la claque qu'il se prenait et qu'on assistait impuissant à tout ça.

J'ai beaucoup aimé cette histoire, j'ai adoré la façon dont l'enquête a été menée, et même s'il fait partie d'une série de livre (Une enquête du commissaire Workan) et que certaines références sur ces précédents livres sont indiquées, ça ne gâche en rien la lecture.

Ça m'a même donné envie de commencer les premiers livres traitant des enquêtes de Workan et j'ai envie d'en savoir un peu plus sur les autres livres de l'auteur. Je le classe sans hésiter dans mes coups de coeur policier.
Lien : http://mes-grimoires.blogspo..
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Dans la série des sagas littéraires que je commence dans le désordre le plus anarchique, je demande L'héritage de Jack l'Éventreur, huitième tome des enquêtes du commissaire Workan ! Pourquoi faire simple quand on peut s'embrouiller, hein, pourquoi ? Et comme la couverture m'avait tapé dans l'oeil, que le titre même du papyrus me faisait du charme et que je n'avais pas les autres tomes sous la patte, j'ai commencé quand même… Ah, sacré moi ! Était-ce si gênant, de lire dans le désordre ? Même pô, c'est ça qui est appréciable : les onze tomes peuvent être lus dans l'ordre que vous souhaitez. Oui, bon, c'est mieux de suivre l'ordre, nous sommes d'accord.

Qui dit première lecture dit découverte de l'auteur ! Et des personnages ! Celui que l'on retiendra le plus, c'est bien ce cher Lucien Workan, un commissaire qui jure (pas mal) et connu pour ses méthodes douteuses. Vulgaire, un peu, mais toujours avec humour ! On retiendra le reste de sa bande infernale, dont Leila, une plaie emmerdante, mais sympa quand même. Un chouia, allez ! Une équipe pas très fine mais qui fonctionne bien, et à laquelle on s'attache, même si on ne lit que le huitième tome. On se souviendra aussi de la très mystérieuse et irritante Mrs Drummond.

Bourré d'humour et de phrases à vous faire sourire parfois jusqu'aux oreilles, il en faut pour contraster avec certaines scènes d'hémoglobine particulièrement bien décrites dans le journal de… j'vous dirais pas. Reste que le mélange de l'humour noir et les scènes de crime fonctionne pas mal ; un peu de légèreté, ça aide ! Accompagné de quelques sous-entendus sexuels, un ton un peu vulgaire par moment mais sans être pesant, le juste milieu est atteint. le tableau est complété par une enquête très secondaire mais qui met en valeur (enfin, on se comprend !) la bande de Workan. Pas la partie la plus excitante du papyrus, mais elle n'était pas faite pour non plus, et elle permet de faire des pauses avec le sinistre de l'enquête principale.

Et ce Jack l'Éventreur, alors ? Hugo Buan y va de ses hypothèses et nous en profitons jusqu'au bout ! Si je ne l'avais pas mentionné avant, cette sombre enquête nous permet de replonger un peu dans le passé de Workan, dont la mère a été sauvagement assassinée par un inconnu. Inconnu, vraiment ? Et si l'Éventreur et Lucien étaient liés ? Et si j'osais vous parler de la fin, de la toute fin… oh, démentielle, quand même ! Les dernières lignes qui arrivent, et PAF, on se retrouve avec une fin exquise qui laisse présager une suite à cette histoire sordide.

Première rencontre avec le commissaire Workan et sa bande si particulière ! J'en dis que… faudrait vraiment que j'apprenne à lire dans l'ordre, parce que je veux continuer à suivre ces flics qui se fichent de la hiérarchie (un chouia, disons) et foncent dans le tas (pas qu'un peu). Et éclaircir enfin le mystère qui entoure ce cher Lucien. En route ?
Lien : https://saveurlitteraire.wor..
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Merci aux éditions palémon pour cet envoi.
Je suis ravie, ma famille est originaire de saint Malo, et j'habite près de Dinan.
Alors je me retrouve avec une enquête policière sur mes terres.
J'avoue avoir eu un peu peur, je ne suis pas emballée par l'histoire de celui que l'on a appelé Jack l'éventreur.
Á dose homéopathique ça passe, le lien entre l'histoire du Jack, et ce qui arrive au commissaire Workan, ça se tient plutôt bien, on s'accroche, l'intrigue est bien menée, même si les jeux de mots me semblent parfois un peu lourds ...
Que voulez vous avec les années mon sens de l'humour ne s'arrange pas, c'est même plutôt le contraire !
Bonne lecture divertissante, Avec une intrigue qui tient la route, pas trop simpliste, pas trop gore non plus : un bon dosage.
C'est bien pour l'alternance entre lecture confort et lecture sérieuse, nous avons là un bon compromis.
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Citations et extraits (3) Ajouter une citation
Des news qui tourneboulent les cerveaux les plus endurcis. Le résultat est inéluctable, le bouchon du bocal commence á se dévisser lentement et puis tout se précipite : le bouillonnement interne ne se retient plus, il fait exploser le couvercle et les cases bien rangées se transforment en vide greniers ou foire à la brocante. Messieurs les psychiatres, prenez votre pelle et votre balayette : y a du ménage à faire dans le grenier. Ne pas oublier de ranger ce qui peut être sauvé dans les poubelles vertes, jaunes et bleues.
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A ce moment de notre conversation, je dois préciser que je ne suis pas homophobe. Je suis moi-même homosexuel ... mais seulement le dimanche. C'est jour de rugby.
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Je commence à me demander si je ne suis pas maudit pour avoir récolté tant de flics immatures dans mon équipe !
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