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sur 1184 notes
C'est avec ce thriller ésotérique de Michel Bussi que je clos mes lectures de vacances. Je crois que l'été, je suis bon public car j'ai vraiment été emportée par ce roman, contrairement à un certain nombre de critiques plus sévères que moi. Premièrement, le thème avait déjà tout pour me plaire car je suis intéressée par tout ce qui touche aux origines de l'humanité, aux croyances primitives qui trouvent des échos dans nos civilisations modernes, et surtout aux mystères qui entourent les religions.
Pourtant, je l'avoue, je n'avais jamais entendu parler non pas de l'histoire de Noé, que chacun j'imagine connait, mais de son lien avec le mont Ararat. Il n'en faut pas plus pour que j'aille chercher des informations et des photos sur ce sujet.
Michel Bussi développe donc son roman autour d'un mystère réel: l'arche de Noé se serait échouée sur le Mont Ararat: réalité? pur délire? mensonge? mise en scène? Toutes les théories vont bon train mais ici, au fil des pages, des personnages se livrent une véritable guerre aussi bien pour préserver ce secret que d'autres pour avoir le fin mot de l'histoire.
Autant dire que les "méchants" ne font pas dans la dentelle: véritables terroristes qui tirent à la kalachnikov plus vite que leur ombre, ils sont à l'origine de plusieurs scènes assez choquantes car très violentes.
Les autres personnages sont un tantinet clichés, c'est vrai: Cécile l'universitaire coincée mais finalement pas si coincée que ça, Zak le mystérieux et ténébreux (preux chevalier) héros, Yalin la tête brûlée... de rebondissements en rebondissements, j'ai parfois été choquée, j'ai souri, j'ai haussé les sourcils, j'ai été surprise, je me suis interrogée, bref, certaines scènes sont, il est vrai, invraisemblables - vous savez, ce truc qui m'énerve, même dans les films : un événement tragique est sur le point de se produire, le doigt commence à appuyer sur la gâchette, et pile à ce moment-là, à la seconde précise, un secours tombé du ciel vient sauver la situation!
Bon, hormis ces éléments et même si je suis quelque peu frustrée par la fin car je voulais la vérité sur ce mystère, moi! (ok, j'attendrai la fonte des glace comme tout le monde...hum...), bref, j'ai aimé cette lecture qui en plus m'a appris plusieurs choses.
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J'étais partie pour mettre les 5 étoiles, un roman palpitant du début à la fin qui nous fait voyager, enquêter, réfléchir... Mais à la fin le mystère reste entier c'est un peu frustrant même si obtenir une réponse aurait été plus décevant.
Bonne lecture, je conseille vivement ce thriller ésotérique qui à la fois glace le sang par certains passages très violents et fait rêver par ses mystères ancestraux et la question existentielle: chèvre ou licorne?
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Mon premier Bussi et un "flop". J'ai cru comprendre heureusement qu'il n'est pas représentatif de son oeuvre en général. Je ne m'arrêterai donc pas sur ce livre et réitérerai l'auteur. Looooong et insipide, que ce soit dans l'histoire ou dans ses personnages, je n'ai rien appris que je ne savais déjà. D'autres lecteurs y trouveront peut-être leur intérêt, mais ce ne fut définitivement pas mon cas.
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Zak Ikabi, doctorant et passionné par l'épisode du déluge et de l'arche de Noé, se lance dans une enquête: retrouver toutes les pièces d'un puzzle permettant de trouver l'arche de Noé. Il prend en otage Cécile Serval, glaciologue et son professeur Arsène Parella. Mais l'intention est bonne: c'est pour leur sauver la vie. Alors que dans le monde entier, des hommes se lancent aussi à la recherche de l'arche de Noé, les trois personnages principaux vont devoir éviter les pièges pour survivre. Pendant ce temps, une petite fille remarque une licorne en jouet…

Ce roman est palpitant ! Plus on tourne les pages, plus le rythme est effréné. Si les premières pages m'ont laissée pantoise, l'histoire, entre thriller et ésotérisme, m'a fascinée. En plus d'une intrigue ficelée à la perfection par l'auteur, ce livre donne l'envie de se (re)plonger dans cet épisode de la Bible, et d'en savoir plus sur le livre d'Enoch… Amateurs du Da Vinci Code, ce livre est pour vous !
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J'aime particulièrement ce genre de roman basés sur des faits réels qui s'appuient sur l'Histoire, et ce qu'elle recèle de mystérieux… J'aime les questions que cela pose et surtout les réponses que l'auteur tente d'apporter… Et quand c'est bien fait c'est un must…

« La dernière Licorne » est basé sur le mythe de l'Arche de Noé et sur celui de la licorne. La licorne, dont l'imaginaire collectif a fait un animal aux pouvoirs qui dépasseraient notre entendement… L'auteur en fait la gardienne d'un secret dont la révélation menacerait l'équilibre de l'humanité…

L'auteur, Tobby Rolland fournit un roman très bien documenté, avec les détails du mythe de l'arche que l'on retrouve dans les trois religions monothéistes mais pas seulement, puisque certaines légendes à travers différentes civilisations aborderaient ce mythe de l'arche et de la licorne… Des preuves seraient disséminées à travers le monde… Il se base aussi sur « l‘anomalie Ararat » découverte en 1840 et repérée en 1949 par des avions de l'armée américaine…

L'auteur nous entraine en en France, avec ce laboratoire scientifique et la glaciologue Cécile Serval qui a pondu le rapport secret de la fonte des glaces… Melbourne où le Parlement mondial des religions évoque un rapport inquiétant : les glaces du mont Ararat fondent…Inexorablement. L'« Anomalie l'Ararat », cette forme détectée au coeur du glacier, est-elle « la » preuve que l'arche de Noé s'y est échouée comme le racontent la Torah, la Bible et le Coran ?… le Vatican, où nous faisons la connaissance de de Zak Ikabi, ethnologue et aventurier, à la recherche du Livre d'Hénoch. … En Arménie, où des mercenaires s'emparent d'une relique sacrée qui se trouve dans une cathédrale : un fragment de l'arche. C'est le début d'une vague meurtrière… La Turquie et cette fillette kurde, dont la famille est gardienne du mystère de l'Ararat …

Débute une aventure sur les chapeaux de roues… Enfin, c'est rapide certes, mais trop rapide… Au point que les situations sont tirées par les cheveux… Les 200 premières pages se lisent toutes seules, on découvre l'intrigue et puis on a pas le temps de s'ennuyer entre les courses poursuites, les fuites pour échapper aux méchants… Et les méchants qui canardent à tout va…

Seulement voilà, une fois qu'on a lu ça, on aimerait avoir quelque chose à se mettre sous la dent… Une petite révélation… Histoire de ne pas s'ennuyer… Sauf que l'auteur tourne en rond et une fois qu'on a lu les 200 premières pages, on se dit qu'il en reste 394 ! Et là c'est juste l'horreur, car tout devient insupportable et la moindre répétition (Cécile par ci, Cécile par là) devient un vrai supplice avec une seule envie que l'intrigue avance ou que ça se termine, mais c'est long… Long… Au point de devenir soporifique… le pire a été l'intégration d'une romance entre les deux personnages principaux… Là l'auteur m'a complètement perdu…

La scientifique casse pied, acariâtre, bornée, mais qui se laisse séduire par cet aventurier, personnage bourré de clichés, macho, têtu, vont être irrésistiblement attirés l'un par l'autre et l'auteur ne nous épargne même pas la partie de jambes en l'air dont on ne comprend pas le pourquoi du comment dans ce livre…

J'ai trouvé les clichés grossiers et l'auteur ramène la femme à « soit belle et tais toi »… Son intelligence n'est pas nécessaire, puisque Zak Ikabi ne fait que se moquer d'elle avec une intonation et un style qui frise le ridicule dans les dialogues, lorsqu'il la prend de haut : « mais Cécile…. Voyons Cécile… » Elle a beau avoir un doctorat, elle est présentée comme une femme objet, partiellement idiote qui ne devient passable qu'une fois qu'elle se tait et s'amourache de cet homme, présenté comme l'archétype de la virilité, intelligent, beau comme un dieu et plein d'humour…

Je remercie NetGalley et Les Presses de la Cité de m'avoir permis de découvrir ce livre qui aurait gagné en qualité, si l'auteur avait élagué le superflus, car le postulat de départ aurait aboutit à une intrigue rondement menée, sans tenter de broder pendant près de 400 pages…
Lien : https://julitlesmots.wordpre..
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Il y a à la fois du Jules Verne et du Dan Brown dans ce premier roman étonnant à plus d'un titre. À commencer par cette déclaration liminaire qui nous explique que tout est vrai dans ce récit, « qu'il s'agisse des témoignages des chercheurs d'arche, de l'énigme scientifique posée par l'anomalie d'Ararat, des révélations sur les animaux unicornes, sur le déluge universel, sur le Livre d'Enoch et les anges. Bien que peu croyables, ces thèses sont défendues en dehors de ce livre, par les scientifiques les plus sérieux jusqu'aux blogueurs les plus farfelus. »
Tobby Rolland ne s'est toutefois pas contenté de rassembler une solide documentation, il a su la mettre au service d'une mise en scène épique, riche de rebondissements et d'épisodes qui vont se dérouler sur tout le globe, entraînant le lecteur dans une course-poursuite sanglante. Car il ne s'agit rien de moins que de sauver l'humanité! du moins, si l'on s'en tient aux aspirations les plus nobles. Car un groupe de truands de haut-vol va lui aussi se mettre à la recherche des preuves scientifiques, des fragments d'arche, de témoignages et documents.
Dès les premières pages les pièces du puzzle vont se mettre en place. Un voleur intrépide va réussir à s'infiltrer dans la bibliothèque secrète du Vatican et photographier les pages d'ouvrages restés secrets à ce jour. Quelques jours plus tard, on le retrouve dans un musée de Bordeaux où il s'intéresse à un vestige bien particulier. Mais avant même que la police n'arrive sur les lieux, il est pris en chasse par des tueurs qui n'ont eux aucun scrupule à éliminer tous ceux qui entraveraient leurs noirs desseins.
À Melbourne, le Parlement mondial des religions suit l'affaire avec autant de crainte que d'intérêt. Grâce à son réseau international, il espère lui aussi pouvoir arrêter cette quête susceptible de mettre à mal toutes les croyances. La prochaine pièce du dossier est du reste une étude initiée par le parlement et confiée à une glaciologue toulousaine. Bien entendu, notre Arsène Lupin, qui répond au doux nom de Zak Ikabi, va faire irruption dans son bureau. Mais Cécile Serval, la scientifique qui a réalisé l'étude, va refuser de lui transmettre le précieux document. Toujours traqué par la bande de tueurs, il choisit de fuir en prenant la jeune femme ainsi qu'un professeur en otage.
Après de nouvelles péripéties – tout aussi distrayantes – le dossier se complète jusqu'à l'ultime étape qui va mener notre trio au pied du Mont Ararat. Bien entendu, je ne dirais rien de l'épilogue, ni même du titre énigmatique de cet excellent suspense. Disons tout simplement que ce périple nous permettra de découvrir un pan essentiel de l'histoire des religions et, cerise sur le gâteau, à nous faire réfléchir sur la manière dont les théologiens s'en sont emparés. C'est distrayant et passionnant. C'est une belle réussite!

Lien : https://collectiondelivres.w..
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Amateurs de thriller ésotérique, vous serez conquis. Pour les moins adeptes, n'ayez crainte, il y a de quoi profiter de la lecture.

Difficile de ne pas penser au Da Vinci code lorsque le livre débute au Vatican. Cette évocation, aurait pu, je l'avoue me faire rebrousser chemin, mais, sans qu'il s'agisse de pastiche évidemment, l'humour omniprésent dans l'aventure en raison, notamment, d'un héros qui n'est que difficilement pris au sérieux par ses acolytes, m'a permis de me plonger pleinement dans le roman.
J'ai apprécié les détails fournis sur l'arche et la licorne évidemment, qui s'appuient sur des éléments plus ou moins concrets. J'ai beaucoup moins aimé les changement géographiques intempestifs et les maintiens en haleine systématiques de fin de chapitre façon "to be continued".
Par ailleurs, j'aurais apprécié que l'aspect psychologique des personnages soit davantage étayé, mais je comprends que l'auteur ait du faire des choix, et qu'il ait préféré s'arrêter sur les aspects ésotériques.
Une lecture agréable pour les vacances, qui vous fera voyager (peut être à outrance) si vous êtes punis au bureau.
SP
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Tout d'abord merci à Babelio et aux Presses de la Cité pour m'avoir choisie pour lire ce livre.
Lorsque j'ai été contactée pour le Masse Critique spécial d'un thriller ésotérique portant sur la légende du déluge universel intitulé "La dernière licorne", je me suis dit pourquoi pas. J'aime beaucoup les romans policiers en général et je suis toujours très curieuses des théories engendrées par les croyances établies.
J'ai été impressionnée par l'épaisseur du livre, près de 600 pages, mais ça se lit très bien: reçu lundi soir, terminé mercredi soir. L'écriture glisse, c'est facile à lire, assez accrocheur, on a envie de savoir si nos héros vont s'en sortir. Les chapitres s'enchaînent rapidement, nous faisant voyager par bonds de l'Arménie à l'Australie, de la France à Hong-Kong... J'ai même découvert des petits pays que je ne connaissais pas, au pied de l'Ararat, Turquie, Iran, Arménie, Nakhitchevan... le point de de convergence : le mont légendaire où se serait échouée l'Arche de Noé.C'est dans cette région hautement explosive, avec le peuple kurde comme boucle émissaire que la quête de l'Arche nous entraîne.
Plus Indiana Jones que Robert Langdon, Zak entraîne contre son gré Cécile Serval, glaciologue, dans une course mortelle pour la protection d'un secret pluri-millénaire sur lequel se sont constituées les grandes religions et même la justification de l'esclavage.
Notre groupe improbable tente d'échapper aux Néphilim, farouches protecteurs du secret, aux autorités ecclésiastiques, à la police de tous pays et à une mafia azérie. Dans ce livre, personne n'est réellement ce qu'il semble être et l'introduction sporadique d'un chapitre se déroulant 5000 ans avant notre ère apporte un éclairage différent à l'histoire.
Ce livre mérite bien son qualificatif de thriller, en effet les morts pleuvent... j'ai recensé une moyenne d'un mort toutes les 10 pages. Ce n'est qu'une moyenne globale, et très incertaine, le nombre des victimes est parfois indéfinissable. Les mafias de ces régions n'étant pas réputées pour faire de la dentelle, meurtres gratuits, rituels, tortures, ne pas laisser de témoins ou se défendre, tous les prétextes sont bons pour sortir son arme. Parfois même si il n'y a aucune rapport avec l'intrigue. J'ai trouvé qu'à ce niveau, le passage sur les jeunes filles kurdes aux yeux verts était inutile pour l'histoire et ne servait que dans un but voyeuriste à faire monter l'horreur que nous inspire le personnage qui en est responsable.
C'est également une aventure trépidante avec infiltration dans l'enfer de la bibliothèque du Vatican, musée, université, parc d'attraction religieux, ainsi que les visites des grands sites touristiques bien que l'on soit traqué par Interpol. Cela nous entraîne parfois dans des situations un peu "tirées par les cheveux" et des exfiltrations par des moyen qui "tombent à pic ".
De nombreuses versions du mythe du déluge sont abordées, la version biblique, bien sûr, est la plus répandue avec de nombreuses représentations très connues. Seulement si ces oeuvres nous sont présentées parce qu'elles contiennent des éléments propres à étayer la thèse de Zak, on ne sait pas pourquoi ils sont représentés. Rien ne vient confirmer qu'il s'agit bien d'indices laissés par des initiés et non de simples éléments de décor. Même si j'ai beaucoup apprécié me retrouver dans la salle des tapisseries de la dame à la licorne du musée de Cluny, je ne comprends pas pourquoi elles interviennent dans l'enquête. Pourquoi le créateur de l'oeuvre a-t-il représenté la licorne avec un bouc et des sabots de chèvre? Rien n'indique qu'il y ait eu une raison pour cela plus que pour lui avoir fait une tête de cheval et et une corne de narval. Il s'agit à priori d'une chimère comme de nombreuses autres ont été élaborées durant cette période, mais rien ne vient prouver un lien entre les créateurs de l'oeuvre et les licornes "réelles". du coup, il devient assez improbable que Cécile Serval, scientifique cartésienne et laïque affirmée se convertisse à la thèse de Zak après le récit de quelques légendes et l'observation de quelques peintures qui ne sont pas du tout contemporaines de l'histoire évoquée.
Il reste de tout cela une formidable construction autour des différentes recherches scientifiques menées sur "l'anomalie d'Ararat" même si la révélation tant attendue ne me parait pas si exceptionnelle que cela et déjà plus ou moins entendues, et un complot mondial ourdi par le parlement mondial des religions, pour un livre très divertissant.
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Après le très décevant "J'ai dû rêver trop fort" (car écoeurant par excès de "guimauve"), quelle surprise et quel bonheur de retrouver Michel Bussi dans un thriller ésotérique qui propulse le lecteur aux quatre coins de la planète dans un univers mêlant habilement légendes et réalités. Dan Brown et son "Da Vinci Code" n'ont qu'à bien se tenir.

Je salue le travail colossal de recherche fait en amont de l'écriture mais rien n'est impossible à notre géographe de métier. Il assure en prologue que la plupart des lieux cités, et leur nombre donne le tournis, sont exacts. Quant aux thèses qui servent de base au roman, libre à vous de croire aux licornes...ou pas.
J'ai été happée par cette course-poursuite qui demande du souffle, mais la cause était juste : protéger un secret, je devrais dire "the secret", situé au sommet du Mont Ararat, et dont la révélation mettrait à mal l'ordre mondial (ou ce qu'il en reste...), sachant également que les hauts dignitaires de toutes les religions verraient alors leur pouvoir fondre comme neige au soleil. J'ai aimé la confrontation de deux univers, celui de la science incarné par le personnage de Cécile et celui du mysticisme à travers les différentes religions. J'ai personnellement beaucoup appris notamment sur celui de l'Arche de Noé. J'arrive à excuser la psychologie un peu caricaturale des deux protagonistes principaux, parce qu'elle apporte un peu d'humour et donc de légèreté dans une ambiance très violente. La beauté et la sagesse de ces bergers kurdes chargés depuis la nuit des temps de protéger le secret restera une belle image. Je ne mettrai pourtant pas la note maximale car je reconnais que la fin m'a paru assez nébuleuse comme si le brouillard sur le sommet du Mont Ararat avait englué mon cerveau.

Un thriller ésotérique de haute volée auquel j'accorde un 16/20 car malgré un scénario complexe, il a eu la magie de me faire croire à l'existence des licornes. Je préfère largement quand Michel Bussi se la joue version "Dan Brown" plutôt que "Guillaume Musso".
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Ce roman de Bussi m'a surprise à plus d'un titre. L'auteur nous offre ici, une sorte de Da Vinci Code et d'Indiana Jones entremêlé, dont l'intrigue porte sur les origines de l'arche de Noé. Un trio de personnages, deux scientifiques et un homme mystérieux pour lequel nous ne savons pas de quel côté il se situe, se retrouvent embarqués dans une course poursuite à travers le monde, avec à leur trousse des mercenaires. La lecture est addictive et distrayante. L'intrigue tient la route et est pleine de rebondissements. La violence et le sexe surprennent chez un auteur qui ne nous a pas habitués à cela. Bussi a d'ailleurs publié une première fois le roman, sous le pseudo de Tobby Rolland, pour tester les réactions des lecteurs.
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