Tout ce qui est sur terre doit périr - La dernière licorne

Voila une lecture intéressante.
Il faut reconnaitre tout de suite un talent à l'auteur pour distiller du mystère et du suspense. Beaucoup de mystères qui nous tient en haleine jusqu'à l'épilogue. Avec des retournements de situation, de l'action, des paysages différents... On ne s'ennuie jamais, il n'y a pas de temps mort mais des rythmes différents.
Et puis j'ai beaucoup apprécié le sujet choisi par l'auteur avec l'anomalie d'Ararat. Bien réelle mais avec de nombreuses théories autour de croyances. L'auteur utilise des informations véridiques (j'ai vérifié^^). J'ai appris beaucoup de choses car je ne connaissais pas du tout le Mont Ararat.
Par contre tout cet ésotérisme complique parfois les explications notamment avec le livre d'Enoch. C'était parfois un peu flou pour moi. Et on se demande constamment où l'auteur veut nous emmener. En effet, il a pris le parti de nous révéler qu'à la fin le but de Zak et le mystère d'Ararat. Je suis d'accord ça aurait eu moins d'intérêt autrement mais du coup on ne sait pas où on va et ça n'aide pas à comprendre les informations données au compte goutte. Ca a un côté un peu frustrant par moment.
Si l'auteur est très fort pour le suspense, il l'est moins pour amener les révélations. Que ce soit sur les licornes ou sur l'arche, je n'ai pas pu m'empêcher d'être déçue alors que c'était bien trouvé. Ca donne un peu à plat, comme si il nous manquait toujours quelque chose.
Et puis il y a quelques passages pas ou peu exploités. Je n'ai pas vraiment compris l'intérêt du récit datant de l'arche de Noé. Ni ce qu'apporte les chapitres sur la fille aux yeux verts. Et on n'a pas de détails sur le rapport du pilote russe. Peut être parce qu'il a disparut et que l'auteur n'a pas voulu extrapolé sur ce sujet.
Quant aux personnages si on aime les suivre, ils sont un peu caricaturaux. Si la plupart du temps ce n'est pas gênant, la relation entre Zak et Cécile n'est pas du tout une surprise. On la voit venir de loin. Ca manque de finesse et parait saugrenue.

Une lecture agréable qui se lit vite.

Une fois n'est pas coutume, Bussi nous livre un thriller ésotérique.
Ce roman est troublant, ambiguë. En effet, l'auteur, en préface, nous apprend que tout les faits scientifiques et historiques sont exacts, véridiques.
Sur le style, pas de commentaire, c'est du classique.
C'est plutôt un bon roman, mais 760 pages pour ça, c'est beaucoup trop.
Surtout que, à la fin, ben....on est pas p lus avancé.
A lire, oui, une fois que l'on a rien d'autre à lire....

Ne vous fiez pas à la note moyenne de cet ouvrage. Vous l'apprécierez si vous voulez :

- Des personnages ultra-stéréotypé.es.
- Une intrigue qui oscille entre le brinquebalant et le ridicule.
- du c*l et du sang.
- La touche d'ésotérisme bas-de-plafond.
- Deux/trois anecdotes scientifico-pantoufle.

Si rien de tout ça ne vous inspire - et je vous comprends - tournez vous vers un roman de gare qui vaut le coup.

Une étoile en plus pour l'avant-propos de l'auteur, qui semble témoigner d'un désir sincère d'écrire une belle histoire. Quand bien même tous les ingrédients du "blockbuster" du roman de gare sont réunis dans un seul but apparent : le fric.

Michel Bussi change de style et c c'est plutôt une bonne chose,en nous offrant un roman ou le lecteur ne s ennuie pas une seule minute.
L histoire nous fait voyager, nous offre de l action, l auteur tiens ses promesses, pour ma part ce sera un coup de coeur.

Excellent livre qui nous emmène à travers l'Europe et le Moyen Orient pour découvrir le secret de l'Arche de Noé.
Une aventure palpitante entre Indiana Jones et Da Vinci Code.
Une théorie intéressante sur l'histoire des religions même si on est dans une fiction. Tous les éléments évoqués dans le livre se basent sur des éléments réels et vérifiés même si l'auteur s'en fait son interprétation, elle demeure crédible.
Un bon moment de lecture.

Installez-vous bien confortablement dans votre fauteuil, prévoyez de quoi vous hydrater et vous pouvez vous plonger dans les 594 pages de ce roman. N'hésitez pas cependant à faire des pauses à l'intérieur de ce livre que je qualifie tout de suite de thriller ésotérique : il se divise en neuf courses et il est bon de s'arrêter avant chacune d'elles, ne serait-ce que pour savoir où celle-ci nous entraîne.
En effet, quand nous lisons les premières pages, nous pouvons presque croire que nous allons nous retrouver dans un récit assez « confortable ». Certes, il est question d'un secret, transmis de génération en génération (grand classique) mais la petite Aman, qui fête son anniversaire, semble mener une vie simple, sereine, entourée des siens et de Leka, animal de compagnie inséparable de la petite fille. Dès le chapitre suivant, fini le confort, et il en sera de même tout au long de la lecture.
Le rythme est très soutenu, les personnages principaux ont peu de temps entre chaque péripétie pour se poser, pour réfléchir vers la nouvelle étape de leur périple, qui les mène de l'Europe aux portes de l'Asie – faites attention à ne pas vous perdre entre les différents lieux. de même, ne vous perdez pas dans les différentes temporalités : ainsi, un récit est enchâssé dans le récit principal. Il est nettement repérable mais il peut aussi créer un sentiment de flottement – le choix des prénoms n'est pas innocent.
Mais, me direz-vous, qui sont les personnages principaux ? En effet, les personnages secondaires sont nombreux, nettement caractérisés, mais disparaissent parfois très rapidement, alors que j'aurais aimé poursuivre un bout de chemin avec eux (preuve de la force avec laquelle ils ont été caractérisés). Ainsi, et l'erreur est humaine, j'étais persuadée que celle qui est devenue l'un des personnages féminins principaux du roman ne ferait qu'une apparition. Cécile avait tout du professeur d'université revêche que l'on a qu'une envie : renvoyer à ses recherches qui n'intéressent pas grand monde et surtout qu'elle y reste ! Erreur, erreur, il ne faut pas se fier aux apparences, ce que certains ont fait trop longtemps, dans de tout autre domaine.
Et les autres, me direz-vous encore ? Nous avons le charmant Zak Ikabi, qui paraît attirer les ennemis et leurs armes avec une facilité déconcertante. Chercheur ostracisé par ses théories pour le moins ésotériques (nous y revoilà), il prend des risques et en fait prendre aussi à ses proches. Ce n'est pas entièrement de sa faute, mais tout de même. Nous avons leurs adversaires, avec à leur tête Cortès. Pouvoir et destruction sont ces deux moteurs. J'ai rarement vu un personnage aussi négatif, il est impossible de lui accorder ne serait-ce qu'une once de sympathie, et pourtant, j'ai très souvent de la sympathie pour les « méchants ». Ses acolytes sont à l'avenant.
Ce livre est un thriller mais son sujet est tout de même assez difficile, bien loin des licornes des oeuvres de littérature jeunesse. J'aurai presque envie de vous recommander la lecture d'extraits de la Genèse, comme le fait Cécile au cours du roman, voire de l'épopée de Gilgamesh : quand on commence un parcours parfois ardu, il est bon d'avoir balisé le terrain avant.
La dernière licorne est un roman qui demande du temps pour être lu, même s'il est vrai que l'on a envie de s'avoir ce qui va se passer juste après.
Lien : https://deslivresetsharon.wo..

Je dois dire que j'ai été agréablement surpris par cette lecture, et plus précisément cet auteur. J'avais un mauvais passif avec Michel Bussi mais la quatrième de couverture a su me convaincre d'acheter ce roman.
Tout d'abord, les personnages, un peu nombreux mais tous bien travaillés avec de la complexité dans leurs traits de caractère, ça change de la scientifique qui croit tout dès le premier rebondissement, du vieux professeur qui sait tout et la joue hautain et du mercenaire antipathique un peu doux-dingue. Zak, Cécile et Arsène seront donc notre trio principal, avec le grand méchant évidemment Cortés qui lui est un peu plus cliché mais au moins malin, quoique parfois ses plans ressemblent à ceux de Coyote voulant attraper Bip-Bip. Mais c'est bien là le seul défaut, d'où la note, on passe proche du coup de coeur.
L'intrigue est bien ficelée, avec des péripéties qu'on n'attend pas, bien qu'on se doute où va finir la course, on ne sait pas toujours qui en ressortira vivant. C'est un bon page-turner aussi, les chapitres très courts incitent à en lire toujours d'avantage et l'excellente intrigue m'a plongé directement au coeur du roman. J'aime bien l'ésotérisme, les contes, légendes et autres folklores et voyager en lisant et c'est exactement ce que j'ai eu, bien que le côté ésotérisme tienne plus du religieux que de l'obscure. On a aussi des pointes d'humour, un parlement mondial des religions qui est plutôt bien trouvé, ça évite un énième complot vaticanais. Que dire de plus, sans trop vous ne dévoiler… J'ai aimé la fin, j'ai eu la réponse à toutes les questions que pose le livre et les miennes. Pour moi c'est le meilleur Michel Bussi que j'ai lu.

Un thriller ésotérique que j'ai apprécié, il ne dépare pas à côté du Da Vinci Code par exemple. C'est vrai que sur ces 20 ou 30 dernières années ce genre de littérature a explosé, mais pour quoi se priver d'une bonne paire d'heures à aller de mystère en mystère ? Ici, on tourne autour du déluge et de la genèse des grandes religions, et on passe un bon moment.

Ce sont principalement la couverture et le sous-titre "la dernière licorne" qui m'ont attirée en librairie. Après ce fut le nom de l'auteur (dont j'ai déjà lu Sang famille) et le résumé qui ont fini de me convaincre. Quand il y a un mélange de thriller, d'histoire, de religions et d'animaux légendaires ça me parle !
J'ai mis un peu de temps à me laisser emporter par ma lecture. Certes très agréable mais un brin difficile à suivre par moment. Au final, malgré le fait qu'on suive des actions se déroulant dans différents coins du globe, on est surtout tenu au même rôle que celui de Cécile la chercheuse : on se fait baloter par les événements et surtout par les délires de Zak.
Pas vraiment simple de s'y retrouver. On se demande souvent où il veut en venir et ça semble parfois tiré par les cheveux. D'autant que la plume de Bussi semble plus chercher à convaincre qu'elle n'est réellement convaincante dans l'ensemble.
Sauf... Si on a pris le temps de lire la préface ! Qui explique que toutes les théories exposées et les faits historiques mentionnés existent réellement et qu'il n'a fait que les recouper. Alors, quand on garde ça en mémoire, ça devient vachement plus intéressant et palpitant. Impossible de ne pas foncer sur le net pour voir l'anomalie d'ararat en "vrai" ou faire des recherches sur le parc d'attractions Noa's arch en Chine... Il a dit vrai le bougre ! Et là on se dit que non seulement on passe un bon moment de fiction mais qu'en même temps on apprend plein de choses incroyables mais vraies ! Ce qui rend les conclusions finales d'autant plus troublantes et l'envie de connaître le fin mot de l'histoire terriblement dévorante.
Au final, j'ai beaucoup apprécié cette lecture mais je reste dubitative quant au nouveau titre (l'ancien correspondant bien mieux) et à la raison qui motive véritablement les différents protagonistes au courant du fin mot de l'histoire à cacher ce qui se trouve (selon la théorie finale de Bussi) sur l'Ararat...

Lorsque Zak Ikabi débarque dans son laboratoire universitaire, la volcanique Cécile Serval est loin de se douter de ce qui l'attend. Et pour cause, prise en otage avec son mentor Arsène Parella les voilà embarqués dans une histoire insensée où le mythe va côtoyer la réalité. Une réalité qui va pourtant sembler bien concrète pour l'esprit rationnel de Cécile. Tout semble lié à la légende de l'Arche de Noé qui serait dissimulée dans les neiges éternelles du Mont Ararat. Ni plus ni moins !
Cécile, Arsène et Zak forment d'abord un trio improbable mais se rallient peu à peu à la cause commune et c'est ensemble qu'ils se lancent à la recherche des pièces du puzzle qui permettrait d'élucider l'énigme du fabuleux navire rescapé du Déluge.
De la scientifique rigide et bornée, Cécile se découvre une intelligence pratique exceptionnelle qui sera d'une aide précieuse car leur parcours sera parsemé d'embûches, tour à tour sous la protection ou la menace de Viorel Hunor, l'Eminence du Parlement mondial des Religions.

Poursuivis par le terrifiant Cortés à la tête des Nephilim, ils comptent mener à bien leur quête qui les emmènera aux quatre coins du monde pour terminer à l'ombre du Mont Ararat où les neiges éternelles garde le secret de l'Arche depuis des millénaires.
Mais qui sont ces fameux Nephilim ? Les gardiens censés protéger le secret ou des criminels sanguinaires ?
Les neiges du Mont Ararat renferme-t-elle vraiment le secret de l'existence des licornes, ces mythiques créatures unicornes qui n'ont cessé de nourrir les légendes les plus folles depuis la nuit des temps ?

Publié sous le pseudonyme de Tobby Rolland, ce thriller fantastique change du style habituel de Michel Bussi et ce n'est pas pour me déplaire, bien au contraire.
Une histoire biblique revisitée, une aventure fabuleuse et rocambolesque, le tout sous fond de croyances religieuses avec un goût de « Da Vinci Code », j'ai tout simplement adoré !
Alors laissez-vous embarquer dans cette aventure ésotérique qui apporte de la magie et du voyage dans notre quotidien Ô combien difficile en cette période de confinement.