« Elle se concentrait toujours sur sa respiration à lui pour apaiser son coeur. Parfois, lorsque sa fatigue affaissait ses épaules, Jean posait la tête d'Emma contre sa poitrine. Ils ne bougeaient plus. Emma devenait légère, ses paupières se fermaient. Jean sentait qu'elle s'apaisait enfin. Ses pensées s'assoupissaient aussi. Il osait caresser sa nuque, ses épaules sans qu'elle ne s'en aperçoive. » Sous le ciel de Paris se succèdent des histoires d'amour passionnées... >Voir plus