Inutilement sollersienne, donc inconsistante et se prêtant à des jeux de mots ineptes (1), parfois aussi franchement énigmatique que pseudo-poétique (2), la préface que Benoît Chantre donne à son livre dont le souhait est de «faire sentir la pensée propre à l'écriture de Péguy» et de montrer une seule chose, «Que l'histoire peut être jugée, sauvée par un acte d'héroïsme» (p. 14) mais aussi de «creuser plus profond, pour parvenir à la source, recourir à l'origine» (p. 21), cette préface me semble rendre peu justice aux différents chapitres qui composent le livre.
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