Un tome 2 moins mauvais car moins décousu que le tome 1, mais un assez bof quand même…
Iker poursuit sa formation de scribe, tout en enquêtant sur l'affaire du « Rapide », mais son incroyable naïveté fait qu'il est la dupe d'absolument tout le monde entre ceux qui veulent le tuer on ne sait pas pourquoi et ceux qui veulent le protéger on ne sait pas pourquoi… Sinon il recueil un jeune ânon portant la marque de Seth et assiste à une cérémonie de réjuvénation qui relève complètement du genre fantastique mais qui est finalement complètement OSEF…
Pharaon poursuit sa quête pour redonner vie à l'Acacia d'Osiris et sa reconquête des provinces d'Egypte. Les passages le concernant sont assez bien, et aurait pu constituer un bonne bande dessinée, mais cela est mis en avant par intermittence avec un manque d'explication qui confine au manque de professionnalisme…
le trésorier Médès complote à qui mieux-mieux
des agents étrangers complotent à qui mieux-mieux
le prédicateur islamiste complote à qui mieux-mieux
… J'ai envie dire qu'au lieu de comploter dans votre coin contre Pharaon, il suffirait de collaborer, mieux de collaborer avec les adversaires que Pharaon combat tout au long du récit… Oui mais non, des mystères oui mais du suspens non !
J'en ai lu un paquet des récits avec des ados orphelins au grand destin, mais celui-ci est trop basique, trop brouillon et trop stéréotypé pour emporté mon adhésion… (sans parler des 20 cases boobs !)
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Dans ce second tome, Iker, notre jeune scribe monte en grade et se rapproche des hautes sphères du pouvoir. de son côté Sésostris a réussi à unifier les provinces du royaume, mais la menace sur l'acacia sacré est toujours aussi chronique, l'Annonciateur n'ayant pas renoncé à détruire le pouvoir de pharaon pour instaurer sa religion et ayant trouvé des appuis au sein même du palais. Ce second tome prend un peu moins des allures de fables que le précédent. Il mêle un univers romanesque à une discours ésotérique sur les croyances des anciens Egyptiens et il faut bien le reconnaître, certains situation sont plus qu'improbables pour l'époque, mais c'est du roman, alors place à la fantaisie.
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Les hiéroglyphes ne sont pas des dessins et des sons. Ce sont aussi des symboles de magie et de mystères. Ce langage sacré est avant tour une force cosmique. Ne l’oubliez jamais !
La vérité est parfois plus dangereuse que l’ignorance.
- Cette fille est comme une eau profonde, recelant mille dangers, et je vois qu’elle t’a déjà pris dans l’un de ses tourbillons…
Dans le 152e épisode du podcast Le bulleur, on vous présente La sage-femme du roi, album que l'on doit au scénario d'Adeline Laffitte, au dessin d'Hervé Duphot et c'est édité chez Delcourt dans la collection Mirages. Cette semaine aussi, on revient sur l’actualité de la bande dessinée et des sorties avec :
- La sortie de l’album Deviens quelqu’un ! Que l’on doit à Daniel Blancou et aux éditions Sarbacane
- La sortie de l’album Dehors ! que l’on doit au scénario de Ludovic Piétu, au dessin de Jika et c’est sorti aux éditions Rouquemoute
- La sortie du cinquième tome de la série Stern que l’on doit au scénario de Frédéric Maffre, au dessin de son frère Julien Maffre, un cinquième tome baptisé Une simple formalité qu’édite la maison Dargaud
- La sortie de l’album L’animateur que l’on doit à Juanungo et aux éditions Delcourt dans la collection Shampooing
- La sortie de L’incroyable histoire de la bière que l’on doit au scénario de Benoist Simmat, au dessin de Lucas Landais et c’est sortie aux Arènes BD
- La sortie de l’intégrale de War ans dreams que l’on doit au scénario conjoint de Maryse et Jean-François Charles dont ce dernier en signe aussi le dessin, une intégrale sortie chez Casterman.
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