La pensée moderne et contemporaine a accordé une place croissante à la « sensibilité » pour évacuer presque totalement la notion d’âme au profit d’un organe capital : le cerveau.
Si la mort supprime les organes des sens, que reste-t-il de l’âme et de sa vie supposée ? Evidemment, si nous nions la réalité de l’âme et son immortalité, la problématique s’évapore, mais persiste en nous le sentiment d’être une âme, voire d’être immortels, puisque nul ne peut se ...
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