Une biographie courte et succincte de l'un des plus grands compositeurs ayant marqué l'histoire de la musique classique au XVIII° siècle.
L'auteur, spécialiste de l'Égypte antique, y évoque les passions amoureuses et la spiritualité du musicien, influencée par ce courant ésotérique incontournable à l'époque. Toute son oeuvre est ainsi présentée comme révélant des secrets maçonniques.
On y apprend également que Mozart fut un défenseur de la cause des femmes, il aurait plaidé en faveur de leur entrée en loge contre l'avis général des frères à l'époque.
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Aujourd'hui désuet, un terme caractérisait l'attitude du Franc-Maçon digne de son engagement : "Die Tugend", la Vertu. Elle implique la rigueur, la rectitude et la droiture grâce auxquelles l'initié parvient à demeurer impassible face aux vicissitudes de l'existence. (...) cette Vertu est une vision du monde incarnée, notamment dans "La Flûte enchantée" : "Si la Vertu et le Justice répandent la gloire sur le chemin des Grands, alors la terre est un royaume céleste, et les mortels sont semblables aux dieux."
Nombre de personnalités, à travers l'Europe entière, adhèrent à la Franc-Maçonnerie. (...) Pour Mozart, (...) il s'agit d'un engagement spirituel, au delà des croyances, des préjugés, de la philosophie rationaliste et de l'Église. Il découvre un mode de pensée et un univers de symboles dont l'ampleur influencera profondément sa démarche d'homme et de créateur.
... rechercher l'initiation consiste précisément à se frayer un passage à travers les Ténèbres. Et "Le Chant du Compagnon Franc-Maçon", mis en musique par Mozart (K 468), précise que seul l'homme courageux peut s'approcher de la source de Lumière. Heureux qui dira un jour : "La Lumière éclaire ma route !"
« Le petit homme », comme on l'appelait parfois, enchante tous les êtres vivants, quel que soit leur niveau culturel. Sa musique possède des vertus thérapeutiques, et l'on a constaté qu'elle faisait croître les plantes.
Une cantate maçonnique (K 619) recommande aux frères d'honorer le créateur de l'univers, qu'on le nomme Dieu, Jéhovah, Fu ou Brahma.
De sa plume savante et enchanteresse, Christian Jacq fait revivre Ramsès III, le dernier grand pharaon, et nous raconte la conspiration criminelle la mieux documentée de toute l'histoire égyptienne.
En savoir plus https://bit.ly/ramsesIII