La charmante librairie des flots tranquilles

Un roman de Jenny Colgan est toujours une parenthèse de douceur, de plaisir et de détente.
L'histoire de Zoé ne fait pas exception. Une jeune femme un peu dépassée, qui élève seule son petit garçon Hari, en ayant beaucoup de mal à joindre les deux bouts.
Elle aimerait offrir une vie meilleure à son fils et comme elle ne peut pas compter que sur elle-même, elle va décider de tenter le tout pour le tout en acceptant de quitter Londres pour aller s'occuper de 3 enfants en Ecosse.
Elle ne sait presque rien de ce qui l'attend mais sa volonté, et sa gentillesse feront qu'elle et son fils s'y épanouiront bien plus qu'elle ne le pensait.
Jenny Colgan nous délivre une histoire douce, attachante, aux personnages plus ou moins fragiles, écorchés, un roman plein d'humanité, d'humour, de tendresse dans lequel la patience, la solidarité, et l'amour ont une place primordiale.
Il est bon de découvrir une intrigue faite de bienveillance et de gentillesse, de faire la connaissance de personnages forts et fragiles à la fois qui évoluent dans les magnifiques paysages écossais (si bien décrits que j'irais bien y faire un petit tour 😉).

En résumé, un feelgood addictif comme on les aime, qui procure un vrai sentiment de bien être et d'évasion sans prise de tête …

Un seule déception dans ce roman : il ne parle pas assez de livres !
En lisant le titre et en découvrant le résumé, je m'étais attendu à un roman qui se passe dans une librairie, avec une jeune femme entourée de livres, de clients etc
Eh bien pas du tout ! On suit en fait beaucoup plus le côté de l'histoire où cette fameuse jeune femme, Zoé, se retrouve, avec son fils de 4 ans, nounou de 3 enfants complètement perdus, dans un immense manoir plus ou moins coupé du monde, dans la superbe région d'Inverness en Écosse.
Du coup, je suis restée sur ma faim à ce niveau là ... Pour le reste, les personnages, bien que tirant un peu sur le cliché parfois, sont attachants. C'est un roman qui fait quand même 500 pages, mais qui se lit bien, et vite.
Pas le coup de coeur de l'année, mais une lecture qui m'aura fait passer un agréable moment.

"La charmante librairie des flots tranquilles", deuxième tome de la série de Jenny Colgan, nous plonge dans une nouvelle aventure aux côtés de Zoé, une mère célibataire en quête d'un nouveau départ pour elle et son fils Hari. le récit démarre sur les chapeaux de roues alors que Zoé répond à une annonce pour un poste de nounou dans les Highlands écossais. Ce qui semblait être une opportunité de travail ordinaire se transforme rapidement en une expérience hors du commun lorsqu'elle se retrouve à prendre en charge trois enfants turbulents dans un château en ruine au bord du Loch Ness. Avec l'aide précieuse de Nina, la libraire locale au grand coeur, Zoé tente de s'intégrer dans cette communauté singulière tout en jonglant avec les défis de la vie quotidienne et les secrets enfouis de cette famille brisée. J'ai trouvé ce deuxième tome tout aussi sympathique que le premier, avec des personnages attachants et des thèmes plus profonds abordés de manière sensible. La relation qui se développe entre Zoé et les enfants, ainsi qu'avec leur père timide, est particulièrement touchant. L'auteure parvient à équilibrer habilement les moments émouvants avec des touches d'humour et d'optimisme, créant ainsi une lecture divertissante. Bien que le récit aborde des sujets plus sérieux tels que la parentalité, la responsabilité et les luttes personnelles, il parvient néanmoins à conserver la même atmosphère chaleureuse et réconfortante que le premier tome.

Avec Jenny Colgan, les suites de ses sagas sont quittes ou doubles. Soit j'aime beaucoup soit j'ai du mal. Heureusement, là, j'ai aimé. On part sur une nouvelle histoire avec toujours la petite librairie mobile en fond. J'ai beaucoup aimé ces nouveaux personnages. Par contre ça n'a rien à voir avec le 1er tome, il ne faut pas espérer la même chose : pas les mêmes personnages, pas la même ambiance.

Grande amatrice des romans de Jenny Colgan, c'est donc avec plaisir que je me suis plongée dans le deuxième tome de sa saga La charmante librairie. Ce livre était d'ailleurs mon choix pour la lecture commune d'octobre de notre bookclub Les pages parisiennes, le thème étant « automne cocooning ».

Dans cette suite, nous retrouvons Nina mais l'histoire se concentre sur Zoé et son fils Hari. Ayant des difficultés financières, Zoé quitte Londres pour un double emploi dans les Highlands : être la nounou de trois enfants et faire fonctionner la librairie itinérante de Nina durant le congé maternité de cette dernière. Nous suivons donc l'installation de Zoé en Écosse, les rencontres qu'elle y fera et la façon dont sa vie va prendre un nouveau tournant.

Zoé est un personnage que j'ai rapidement apprécié. C'est une maman solo qui ne manque pas de courage pour tenter d'offrir le meilleur à son fils Hari alors qu'elle a de graves problèmes financiers. La relation mère-fille qu'ils ont est très touchante. En revanche, j'ai détesté Jaz, le père du petit garçon. Il est profondément égoïste et j'ai trouvé Zoé bien trop gentille avec lui. J'étais ravie de retrouver Nina et Lennox, que l'on rencontre dans le premier tome. Ils sont à l'aube de vivre un tournant dans leur vie puisqu'ils vont avoir leur premier enfant. C'était intéressant de voir les questions que Nina se pose et les peurs qu'elle a.

L'intrigue m'a bien plu, je suis facilement rentrée dans l'histoire, mais c'est toujours le cas avec les romans de Jenny Colgan. Elle possède un vrai don pour rendre ses histoires captivantes et émouvantes à la fois. J'ai adoré le cadre, en Écosse, et toutes les coutumes dont parle l'autrice. Elle fait la part belle à la formidable culture de ce pays, ça m'a encore plus donné envie de m'y rendre !

La charmante librairie des flots tranquilles a donc été une chouette lecture, j'ai passé un bon moment. Vivement que je lise la suite, déjà dans ma PAL !

On est sur un personnage assez différent de Nina. Zoé est plus renfermée et à du mal à se faire une place dans cette communauté où tout le monde se connaît. Mais, elle est tenace et, elle a toujours l'idée qu'il faut pour parvenir à ses objectifs. Hari est un petit garçon auquel on s'attache. le fait qu'il ne parle pas le rend très expressif.
Pur roman feel-good comme Jenny Colgan sait en faire. Les personnages sont très plaisants et avec une vraie histoire. Je suis un peu déçue par le côté romance. La relation tombe un peu comme un cheveu sur la soupe.
Bref, c'est un livre qui nous fait passer un excellent moment. le premier tome est à mon goût meilleur. Mais, c'est le genre de récit qui a un charme qui lui est propre. On ne peut que finir satisfait après notre lecture.
Lien : http://chroniquesmerveilleus..

J'ai découvert Jenny Colgan avec ce livre offert par une amie. Ayant besoin de légèreté en ce moment, l'objectif a été rempli. Dès les premières pages, je me suis attachée aux différents personnages de cette histoire et ils sont nombreux. Tout d'abord Zoé et Hari son fils mutique. Cette dernière fait ce qu'elle peut pour lui et c'est difficile pour plusieurs raisons : le manque de moyens financiers (elle travaille dans une crèche huppée de Londres) et le manque de soutien du père de Hari. Aussi quand elle a la possibilité de cumuler deux emplois (Nounou et libraire), soit deux salaires, elle plaque tout et débarque dans un manoir perdu sur les bords du Loch Ness au fin fond de l'Ecosse où l'attendent trois enfants en souffrance, une mère absente, un père complètement dépassé par les évènements et une gouvernante austère. Au début, les enfants entièrement livrés à eux-mêmes parce que renvoyés de l'école qu'ils fréquentaient n'ont de cesse de lui mener la vie rude pour la faire fuir comme les 6 nounous précédentes. Il l'appellent Nounou numéro 7 tellement ils sont persuadés qu'elle ne fera pas long feu. N'ayant rien à perdre, au fil des jours, elle parvient à percer la carapace de chacun de membres de cette drôle de famille et à faire son trou. Avec un peu d'attention et de temps, elle permet à Shackleton de révéler ses talents de cuisinier. C'est plus difficile avec Mary dont les blessures sont très profondes. Quant à Patrick, le plus jeune enfant du manoir, il devient rapidement le meilleur copain de Hari, sûr et certain !
Côté librairie, après avoir dompté le van récalcitrant et compris les besoins des touristes du coin, elle parvient à vendre des livres et d'autres articles.
J'ai trouvé ce roman porteur d'espoir car il montre qu'avec de la détermination, du temps, de la patience, une qualité de présence, de la compassion et de l'attention, il est possible de rendre sa vie et celle de son entourage plus douce et plus belle.

Aaaah les livres de Jenny Colgan sont toujours un moment de plaisir ! J'ai surnommé ces livres "livre bonbon au miel", car il n'y a rien qui se passe, il n'y a pas grand chose à comprendre, c'est juste la vie qui s'écoule avec ces hauts et ces bas.

Ce livre n'est pas une suite direct à la charmante librairie des jours heureux, nous retrouvons simplement certains personnages. J'ai été ravi de retrouvé Nina et Lennox.

Dans ce style de roman, la fin est tellement prévisible qu'au premier chapitre on la connaît déjà, et c'est cela que j'adore avec ces romans bonbon au miel, ils font du bien. C'est encore le coeur lourd que je referme ce livre j'aurai aimé rester plus longtemps en compagnie de Zoe, Ramsay et les enfants.

Je suis une fan inconditionnelle de l'écriture de Jenny Colgan

Zoe, mère célibataire, vit à Londres. Son quartier commence à se dynamiser et les loyers à augmenter. Il lui est de plus en plus difficile de faire face au quotidien.

Elle prend alors la route de l'Ecosse où deux jobs l'attendent: libraire ambulante la journée et fille au pair le reste du temps, dans un grand manoir.

Au bord du loch Ness, Zoe se retrouve face à des enfants très dissipés et à des locaux pas très enthousiastes. Arrivera-t-elle à trouver sa place avec son petit garçon ?

Il s'agit du deuxième volet de « La Charmante Librairie ». Les personnages principaux du premier tome passent au second plan dans celui-ci.

L'histoire commençait bien et s'est plutôt bien finie mais elle aurait pu être raccourcie, j'ai trouvé le milieu creux avec beaucoup de longueurs et des incohérences (problèmes de traduction ?).

Je me suis tout de même attachée à Zoe et aux enfants de ce manoir coupé du monde. Cela reste une belle histoire sur la famille dans sa diversité malgré des scènes peu probables.

Je lirai tout de même le troisième volet l'année prochaine pour clôturer cette saga !

Se plonger dans un Jenny Colgan c'est comme retrouver un doudou. J'adore ses romans, sa façon de décrire les paysages du nord et ses personnages. Pour autant, ici j'ai moins accroché. Je n'ai pas vraiment adhéré à l'histoire de cette famille mystérieuse dans laquelle se retrouve malgré elle Zoé, l'héroïne.
Néanmoins le roman se lit bien, comme un joli roman d'été. Et l'auteur me.donne toujours autant envie de vivre en Ecosse...