Enlila, tome 2 : L'Astrocyte 218

Après s'être faite cyber-attaquée, agressée physiquement, traquée et que l'on eut eu espionné ses moindres faits et gestes sans qu'elle ne sache trop comment, celle qui se faisait alors appeler Enlila Apkallu, romancière, a décidé de se couper du monde. Plus d'ordinateur, plus de téléphone portable, plus de téléphone tout court d'ailleurs et de commencer une nouvelle vie. Pour seuls bagages, ses précieux disques durs, témoins de ce qu'elle a vécu et fidèles garants de son passé et sa chatte, Meissa, fidèle compagne de toujours. Ici, changement radical de décor et celle que l'on connaît dorénavant sous le prénom de Philippidine est sur la ligne de départ d'un marathon. Athlète de haut niveau en diverses disciplines, elle est sur le point de s'engager pour plus de 42 kilomètres de courses sur l'île sur laquelle elle a refait sa vie.
Un coureur de haut niveau lui-même va cependant attirer son attention, sans qu'elle ne sache trop pourquoi : Marco Niccolopo et ensemble, ils se promettent de remporter ce marathon ensemble, chacun dans sa catégorie respective, masculine et féminine. Cependant, tandis qu'elle court, un étrange phénomène se produit : notre héroïne fait la connaissance de l'une de ses astrocytes (une cellule nerveuse de son cerveau garante de ses vies antérieures et futures), la numéro 218 exactement (numéro de son maillot de marathonienne comme par hasard - sauf qu'il est bien connu que le hasard n'existe pas - et qui va lui faire découvrir des pans de sa, ou devrais-je plutôt dire, de ses vies antérieures, qui la mèneront à mieux comprendre certains traits de sa personnalité actuelle et à mieux comprendre entre autre certaines de ses phobies.

Entre Philippidine, ou Enlila comme vous préférez et Marco, une étrange alchimie va naître et ensemble, ils vont faire front aux tragiques événements auxquels cette dernière a dû faire face récemment (mais pour cela, je ne peux que vous inciter à lire le premier tome ou du moins, dans un premier temps, à lire ma critique apposée sur babelio.

Un ouvrage vraiment différent du premier mais toujours aussi bien écrit et avec un suspens et un dénouement qui dépasse l'imagination ! Où conscient et subconscient se rejoignent, ou rêve et réalité s'entremêlent avec même un fonds historique... bref un vrai régal d'imaginaire qui plonge le lecteur dans un au-delà envoûtant et, parfois déroutant ! A découvrir !

Je suis l'auteure de ce premier ouvrage de la trilogie intitulée ENLILA.

Vous pouvez découvrir la critique de Patrick Chabannes sur http://www.quidhodieagisti.fr/

Voici la préface de la trilogie, écrite par Bleuette Diot, historienne, romancière et essayiste :
"En explorant l'univers romancé de Caroline Comte, nous ne sommes pas loin de découvrir l'archétype d'un genre nouveau. Sa trilogie pourrait bien être un OLNI, entendez : objet littéraire non identifié. À la frontière entre polar, roman intimiste et science-fiction, nous goûtons là à toutes les facettes d'un talent hors normes. le subtil déroulement des événements entraîne le lecteur dans plusieurs dimensions. Un voyage stellaire dont il ne sortira pas indemne ! Tout commence par une palpitante intrigue, puis le mystère va s'épaissir au fil des tomes jusqu'aux dernières révélations, inattendues, renversantes ! Autant vous prévenir tout de suite, l'auteure ne ménage pas nos nerfs ! le vertige nous guette au bord des vortex qui nous emportent toujours plus loin, du cyberespace aux voyages cosmiques, en passant par de passionnantes explorations historiques et mythologiques, très documentées. Un petit bijou de littérature que n'aurait sans doute pas renié un certain Isaac Asimov."

Lien : http://carolinecomte.wix.com/enlila



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