Elle s’allonge sur le dos, place ses poignets sous sa nuque. Ses paupières restent closes. Barricadées. Hermétiques. Le soleil voudrait les pénétrer, mais ne fait que les brûler.
Il était une fois Lysandre et son trop beau projet. Trop beau pour entrer dans une seule vie. Pour se matérialiser, se légitimer. Il était une fois Lysandre l’artiste. Et son travail. Et son cœur découpé en autant de tableaux.