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La chose , oui la chose ! Petit être rampant, gluant , jugulant son flot de mou et de visqueux jusqu'au milieu des entrailles. Mùm , vous avez saisi de quoi il s'agit ? Second indice : immondice qui glisse et tant vers vous un regard oblique, catatonique et forcément unique. Ha, cela se rapproche hum. Pour ceux et celles qui donnent en ce moment dans le festif, je conseille d'oubliez le digestif . Car ma critique sera l'hommage du Ver des profondeurs, des odeurs de caves et autres humidité peu ragoûtante . Car effectivement il s'agit bien de cela la fameuse chose : celle qui dévore crûment , avale goulument , pénétrant dans votre chair avidement, pour s'y repentir de vos éléments vital au profit de son appétit bestial . ( J'en vois deux-trois tomber de l'oeil ? ) Guettez donc la suite : non content d'être aussi vorace et vivace, le Riftia pogonophora Jones ( nom plus noble n'est ce pas ?) semble vouloir contaminé la Terre;, envahir les cellules souches des hommes s'en faire l'hôte principal . Fallait pas les inviter ceux là ! La faute à qui , à quoi : à une expédition sous -marine qui débute le roman et nous confinent à 20 000 lieux sous les mers. Ca commence donc en toute beauté, peuplé de belles fresques digne d'un Jules Vernes . Sauf qu'à défaut de Némo ou de trésors profonds des mondes engloutis, nos gaillards remonte les pires gloutons de la biologie. Nos personnages : Un Père tranquille Michael Cross et sa fillette prénommé Jo (hanna) vont vivre l'horrible vérité, l'épidémie de la bactérie, la contamination des leurs et l'affrontement du Ver à travers un propagation affolante ... mais qui pourra arrêter l'ignominie ? Et comment y échapper ? Excitant , alléchant, appétissant , engageant, ( rayer la mention inutile) , La chose des profondeurs est un roman d'horreur frémissant, dans la pure tradition des années 90. Matthew J. Costello , auteur nous signe donc avec propreté une histoire soigné , qui nous entraine dans nos frayeurs les plus repoussantes , les peurs phobique et angoisse atypique du 'gluant-rampant' A consommer avec Modération , le ver à tendance solitaire pourra bien s'avérer solidaire de quelques autres,, c'est dur de lâcher prise surtout sous l'emprise du pouvoir. + Lire la suite |