J'ai passé l'avant-propos et l'introduction pour en venir directement aux propos du
Dalaï-Lama et d'
Eugen Drewermann.
J'ai l'intime conviction que toutes les religions ont un projet humaniste commun, même si le vocabulaire, la liturgie et la pratique diffèrent parce qu'ils sont le reflet de la société où ils se sont développés. Ce qui m'intéressait a priori c'était de mieux comprendre la convergence des religions et de trouver, dans ces deux discours, des éléments pour alimenter ma réflexion. Les propos du
Dalaï-Lama s'en tiennent à des généralités mais j'ai trouvé dans ceux de
Drewermann (la traduction de l'allemand au français laisse cependant souvent à désirer…); j'ai donc trouvé, si ce n'est des arguments directs pour me conforter dans mes convictions, des explications sur le sens de ce que prêchait le Christ.
Drewermann éclaire par exemple de façon remarquable le sens de l'expression « fils de Dieu » et le sermon sur la montagne qui est l'essence de l'enseignement du Christ.
Je n'ai pas lu les notes à la fin du texte de peur de diluer ma lecture dans des détails superflus.
Je garde donc le souvenir d'une lecture édifiante à l'instar de
la parole qui guérit. Je reviendrai sûrement à cet auteur qui a le talent pour transmettre sa science à la lectrice ordinaire que je suis.