Astérès

J'ai vraiment apprécié cette "réflexion philosophique" qui m'a permis de voyager dans le temps, de voguer entre passé et futur, tout en considérant notre présent sous un autre angle...
J'ai été tout particulièrement séduite par la place centrale accordée à la musique : j'ai accompagné la lecture des pages des morceaux auxquels elles faisaient référence.
Quel plaisir de se projeter dans un univers futuriste en redécouvrant Bach ! J'ai lu les dernières lignes en tentant vainement de repousser la fin, en ralentissant tant bien que mal mon rythme de lecture, et, j''écris habitée par un léger sentiment de vide. En résumé un très bon livre !

Un roman d'anticipation qui sort des sentiers battus pour vous confronter à un des plus grands défi, aussi lointain soit-il, auquel l'humanité devra réellement se confronter d'une manière ou d'une autre.
L'héroïne est fortement attachante et son interface avec une IA soulève bien des questions philosophiques et d'actualité avec cette technologie naissante.
Enfin les références à la musique classique vous laisseront l'occasion de découvrir ou de redécouvrir des chefs-d'oeuvre intemporels.
Bon voyage et très bonnes réflexions !

Un roman d'anticipation qui nous renvoie à certains questionnements actuels: comment survivre à la fin de notre planète, comment survivre à notre propre mort... L'intrigue est futuriste mais le réalisme avec lequel elle est traitée ne manque pas de nous faire frissonner pour cet avenir si lointain mais en même temps si proche. J'ai dévoré cette histoire qui s'étale sur la longueur d'une vie humaine et qui nous capte jusqu'à la fin grâce au rythme et au suspense bien entretenu au fils des pages.

Astérès nous embarque sur un vaisseau où les hommes et les IA recherchent leur idéal. A la quête de la perfection pour les deux protagonistes. Au fil des pages on se laisse porter et, drogué, on se surprend à attendre les chapitres où l'auteur nous fait entrer dans les interstices des IA.
Roman cinématographique dans la veine d'Inception, I am a mother…
Le livre se lit bien, l'écriture est dynamique. Vivement le deuxième livre !