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3,93

sur 2451 notes
1940 Londres Winston Churchill crée le Special Operation Executive (SOE), une branche des services secrets britannique, qui va changer le cours de la Seconde guerre mondiale. Les Derniers Jours de nos pères est un des premiers romans à en évoquer la création longtemps tenue secrète et à revenir sur les véritables relations entre la Résistance et l'Angleterre de Winston Churchill.
Dans ce roman, nous suivons Pal, recruté parmi les civils. Son parcours est exemplaire, mais est-on jamais à l'abri lorsque l'on est Agent secret britannique du SOE...
Un roman fabuleux. Joël Dicker est un grand auteur. Vraiment.
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Une histoire d'amitié et d'entraide, sur fond de Résistance durant la seconde guerre mondiale. Malheureusement, au bout de 100 pages l'histoire m'ennuie toujours autant, je trouve le style plat et lassant, et n'éprouve aucune empathie pour les personnages.
Grosse déception pour ce roman aux multiples critiques dithyrambiques...
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Ce roman n'est ni un policier façon Harry Québert ou Stéphanie Mailer, ni une saga familiale façon Roman des Baltimore. Joël Dicker nous propose un roman historique, qui se situe en pleine 2e Guerre Mondiale. le SOE, les services secrets britanniques, recrute et forme des Français afin qu'ils organisent des opérations de sabotage, d'espionnage ou des attentats en France, contre les Allemands. Nous suivons une promotion de recrues de leur formation jusqu'à la fin de la guerre.

Joël Dicker est littéralement venu me cueillir avec ce roman qui, bien plus qu'évoquer la guerre, est une merveilleuse plongée dans le coeur des Hommes. Qu'est ce qui anime un homme qui s'engage dans ce conflit, qu'est-ce qui le motive, lui donne du courage, l'aide à s'accrocher. Qu'est-ce qui l'effraie pour lui, pour ceux qu'il aime ? Quels sont ses tourments ? Ses aspirations ? Ses faiblesses ? Les plus forts sont-ils vraiment ceux qu'on croit ?

Dans un style magnifique, épuré et pudique, Joël Dicker émeut au plus profond, par ces quelques portraits ciselés, vrais et bouleversants. Pal, Laura, Claude, Stanislas et surtout Gros m'ont plus d'une fois tiré quelques larmes et j'ai aimé chacune de leurs facettes.

Quel auteur surprenant !
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"...ils avaient appris à tuer avec leurs mains, à égorger en silence, à mitrailler, à fusiller, à poser des bombes et à faire exploser des des bâtiments, des trains, des convois de soldats."
"Ils", ce sont Frank, Grenouille, Gros, Key, Faron, Slaz-le-porc, Prunier, Chou-Fleur, Laura, Grand Didier, Max, Claude, et d'autres encore des hommes, des femmes de l'ombre qui s'opposent par tous moyens à l'armée allemande, qui savent que leur capture signifierait pour eux, la torture, les coups, puis enfin le peloton.
Ils ont été recrutés pour mener des actions derrière les lignes de l'ennemi, pour saboter des équipements, des lignes de chemin de fer, et également pour se fondre dans la population et rapporter des renseignements.
Pour cela, ils, qu'ils soient hommes ou femmes, tous volontaires, ont subi des entrainements spéciaux, identiques, pour les hommes comme pour les femmes. Certains voulaient par cet engagement, par ces risques, donner un sens à leur vie...certains étaient des têtes brûlées, d'autres au contraire étaient plus rêveurs, poètes presque.
Ils sont tous appris à se taire, à se fondre dans la vie...ils ont du mourir sous la torture sans jamais rien dévoiler de leurs engagements de leur amitiés. Certains ont craqué, et ont entraîné des camarades dans leur chute, d'autres sont morts dans leurs cris de douleur sans rien dévoiler....d'autres ont craqué face à la douleur... D'autres ont trahi. Simplement trahi.
Ils étaient tous membres du SOE - Spécial Operations Executive -membres d'un Service secret de l'armée britannique voulu par Winston Churchill. Leur mission était à la fois simple et dangereuse. Il leur fallait, en faisant des navettes entre France et Angleterre, accompagner  les mouvements de résistance,  les former, les structurer dans les pays occupée par l'Allemagne,  dans tous les pays en guerre, rapporter des renseignements...et éliminer des comabattants.
Ils agissaient seuls, en ignorant tout des missions de leurs camarades, de leurs amis...seuls sans possibilités de joindre leurs responsables resté en Angleterre
Il devaient se rapprocher des divers mouvements de résistance,  mettre en place des actions de sabotage, de renseignement, de parachutage d'hommes ou d'armes...etc.
Parce qu'ils intervenaient dans leurs pays d'origine, ils en parlaient la langue, pouvant ainsi se fondre dans la masse, en éveillant le moins possible de soupçons
Ils n'en demeuraient pas moins des hommes et des femmes avec leurs sensibilités, des hommes et des femmes avec leur forces mais aussi leur faiblesses, des hommes et des femmes pouvant  s'aimer, se comporter en héros voire trahir sous les coups....trahir leurs engagements, mais aussi leurs camarades, ceux qui les ont accompagné dans leur formation. Combattre...oui, mais aussi s'aimer, faire une rencontre qui changera leur vie, qui leur fera connaître ou appréhender le perte de l'être cher
Certains sont morts sans rien dévoiler, mais d'autres, retournés par les services allemands, ont trahi leurs camarades.
Roman fondé sur des faits historiques, roman d'amour et roman de guerre..roman sur les formes et faiblesses de la nature humaine.
Lien : https://mesbelleslectures.co..
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Il s'agit du premier roman du suisse Joël Dicker, paru donc avant le roman « La vérité sur l'affaire Harry Quebert ».
J'avais beaucoup apprécié le roman sur « l'affaire », ravi de lire un jeune auteur francophone de qualité.
Ce livre aborde un sujet qui m'intéresse beaucoup, à savoir l'histoire de la seconde guerre mondiale.
J'ai donc trouvé ce roman encore meilleure que le second qu'il a écrit. Je trouve qu'il y a ici encore plus de recherche sur la psychologie des personnages.
Il y a une vraie recherche sur un aspect métaphysique de la guerre. Quels individus devient on après avoir tué nos semblables ?Même dans des circonstances aussi exceptionnelles qu'un conflit armé, peut-on tuer sans ressentir de la culpabilité, un malaise, un mal être ?La guerre n'est pas un jeux et tué n'est jamais un acte banal dénué d'impact, malgré ce que la majorité des jeux vidéo ultra violent peuvent laisser penser.
L'auteur aborde également de manière très adroite le thème de l'après. Que fait –on après la guerre ? Comment peut-on se reconstruire et exister après ?des jeunes gens sont devenus des adultes pendant le conflit, ils ont appris à se battre, à penser, à être des soldats. Mais quand le conflit prend fin, comment retrouve-t-on une vie quand on a sans cesse des « fantômes » a côtoyés ?
Pour un premier roman, c'est vraiment très bon. Comme quoi le talent n'attend pas le nombre d'années.
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Le démarrage est très long et très lent ; l'écriture et l'intrigue ne sont pas abouties ; c'est un bon roman mais qui ne m'a pas passionnée et qui m'a déçue.
J'ai aimé La vérité sur l'affaire Harry Québert et j'ai été embarquée par le Livre des Baltimore !
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Ecouté en voiture. Deux CD. Une douzaine d'heures qui en ont parut 50. J'ai même arrêté l'écoute pendant quelques jours, tellement je m'emmerdais.
Je n'ai même pas compris le titre.
Ni la finalité du livre.
Si c'est juste nous apprendre des choses sur le SOE, mieux vaut lire un vrai livre sur le sujet (par exemple "Les saboteurs de l'ombre" de Giles Milton, mais il y en a plein d'autres)
J'ai même du supporter des anachronismes dans un bouquin qui se veut historique
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Pendant la deuxième guerre mondiale, des jeunes gens sont recrutés par l'armée anglaise pour devenir des agents secrets au sein du SOE. Après un entraînement difficile et sélectif, ils sont envoyés en France pour des différentes missions. Premier roman de Joël Dicker qui évoque le conflit à travers le regard de plusieurs personnages aux destins mêles. Une histoire instructive et très prenante.
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Mais comme je l'ai adoré !!!
J'avais lu (comme tout le monde sûrement) la vérité sur l'affaire Harry Quebert et je l'avais bien aimé comme un (très) bon livre de plage.
Mais là franchement ! Ce premier livre est génial :)
Dès le début on s'attache aux personnages car comme le personnage principal on se greffe à un groupe qui va nous porter de bout en bout du livre. On rit avec eux, on pleure pour eux, tout se passe dans ce livre. L'arrière plan historique est intéressant car peu connu et bien utilisé du début à la fin et l'ensemble est tellement ... touchant !
Bon vous l'aurez compris j'ai adoré ce premier livre de Dicker, cela me donne envie d en lire d'autres alors que j'avais été franchement refroidi par celui qui a suivi l'affaire Quebert.
Affaire à suivre donc !
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Une belle histoire qui permet de nous faire comprendre les dessous des services secrets britanniques durant la seconde guerre mondiale.
Les personnages sont attachants et déchirants.
La relation des pères-fils mise en avant tout le long du roman donne une autre dimension à la guerre et nous ressentons tout l'amour et la détresse des personnes qui ont vécu la perte d'un enfant et/ou d'un père durant cette période !

Joël Dicker a encore tapé fort avec ce roman historique.
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